samedi 14 août 2010

Romain

Je voulais aller chercher le dernier larron de l’équipe, Kévin, mais je me dis qu’il fallait commencer par humilier Romain pour pouvoir le dresser correctement. Sans quoi, il nous créerait des ennuis. En réfléchissant, j’ai trouvé une solution qui allait pimenter la punition. Le faire fesser par ses 3 copines qu’il avait utilisé comme des jouets sans se préoccuper de leurs sentiments, elles pourront le punir de tout ce qu’il leur a fait subir !
J’ai récupéré le portable de Romain, je trouve donc de suite les numéros que je cherche,  on a Roxane, Virginie, et Sonia. J’appelle donc Roxane « Bonjour - Oui - Roxane ? - C’est moi, qui êtes vous ? - Je vous appelle concernant Romain - Ce Salop ! - Oui, il vous a fait du mal … - Il m« a utilisée, oui, et moi, comme une conne, j’ai marché dans ses je t’aimes, et tout le reste, jusqu’à ce que je comprenne pourquoi on se voyait que les Lundis et Samedis, j’étais pas la seule, - Écoutez, j’ai la possibilité de vous offrir une vengeance, de le punir pour tout ce qu’il vous a fait comme mal, tout ce qu’il vous a fait souffrir ! - Ah ? Oui ? - je pourrais vous rencontrer pour vous expliquer ? - bien sur, disons dans un quart d’heure  - vous connaissez le café du bord de l’eau ? - Oui, je vous y attends. Je vous reconnaîtrai. - Bien, à plus. » Et d’une, reste à convaincre les autres. Le plus dur sera de leur faire accepter de se voir, quoi que, si c’est pour se liguer pour punir celui qui les a fait souffrir, j’ai bon espoir.
« Bonjour, Roxane, C’est moi qui vous ai appelé tout à l’heure - Bonjour - Asseyez vous, je vous prie - merci. - vous buvez quelque chose - pourquoi pas ! - Garçon !  - Alors ? - Voilà, j’ai pris Romain parce qu’il a fait pas mal de bêtises ces derniers temps, et quand j’ai appris qu’il s’était mal comporté envers vous, je me suis dit qu’après tout sa première punition peut lui être donnée par celles qu’il a humiliées. Par contre, je vais proposer à toues les 3 de venir s’amuser ensemble pour le punir et l’humilier, de lui montrer que pour une fois, c’est lui qui est votre jouet, que vous pouvez lui faire ce que vous avez envie sans qu’il ne puisse rien faire pour l’éviter, ni rien dire. - C’est super génial ! Où ? Et quand ? - Chez lui, je l’amènerai il sera attaché, je le fesserai puis vous pourrez vous amuser avec lui, avec son corps. Vous pourrez vous le passer de l’une à l’autre, le fesser, je lui mettrai un collier et une laisse ! Il me faut contacter Virginie, et Sonia, puis je pense que demain ce sera faisable.  - on va pouvoir lui montrer qu’on est pas sa chose, et lui faire payer tout le mal qu’il nous a fait, tout ce qu’il nous a fait souffrir ! - Bien, a plus, je vous tiens au courant. » 
Après avoir eu Virginie, et Sonia, aussi ravies que Roxane, je retourne pour préparer Romain, le détacher un peu. 
« Salut, les boys, alors ? Comment va ? » Lucien arrive et m’embrasse, Damien viens et fait pareil, sous l’œil surpris de Romain. Damien va pour parler, Lucien lui fait signe que c’est à lui de parler. « maître, tout s’est bien  passé, Damien a bien travaillé, il a nettoyé toute la maison - c’est bien, Damien, continue - merci maître - Il a fait la vaisselle, il me faudrait aller faire des courses, - vas y je reste là en t’attendant. Je vais m’occuper de Romain et de Damien - Merci maître » Lucien enfile le Bermuda sur son slip et le T-shirt, puis sort.
Je demande à Damien de décrocher Romain de la corde, je viens le soutenir, l’asseoir sur une chaise, il doit être en forme pour sa punition. Je fais signe à Damien de se mettre à genoux à côté de moi. « Romain, as tu soif ou faim ? - oui, les deux - Damien, va lui chercher de quoi manger, et boire … - euh, je peux aller au WC ? J’en peux plus ! - Ok, viens » je l’aide à aller jusqu’au WC, lui défais son bermuda, lui baisse son caleçon et l’aide à s’asseoir. Tu n’a pas demandé à Damien pour pisser ? - oui, mais il n’a pas voulu - bon, tu vas voir ce qu’il en coûte de ne pas m’obéir. Pour toi, je vais t’expliquer la suite » 
Je le ramène et pendant qu’il mange, j’attrape Damien par l’oreille, le tire à moi lui baisse le slip et le mets sur mes genoux. « comme ça tu as refusé à ton copain de pisser, tu m’a désobéi encore une fois ! - je, je peux … expliquer, il … m’a … insulté, j’y suis pour … - tu m’a désobéi ! C’est tout  ! » et je commence une fessée alternant les fesses, frappant assez fort, ses fesses rougissent vite, il se trémousse « Romain, regarde ce que je fais quand on me désobéit » au bout de 50 claques, Damien ne bouge plus, il gémit des « pardon » je lui donne encore une dizaine de claques bien fort sur le haut des fesses, et le fait pleurer, c’est ce que je voulais. « va au piquet, mains sur la tête, tu restes à poils ! Jusqu’à demain. Va mettre le slip dans ta chambre » Romain était blanc, de voir son copain se prendre une fessée magistrale et surtout de le voir pleurer, il ne l’avais jamais vu pleurer, même quand il le menaçait. Alors ? Tu as compris Romain ? Ça va être à toi quand tu aura fini de manger, dépêches toi ! » 
Il n’avait plus faim, mais mangeât de peur de me déplaire, « maintenant, viens ici, devant moi, au garde à vous ! » je lui retirai son T-shirt, son bermuda et son caleçon, je lançai le tout à Damien « va me laver tout ça, je le veux propre pour demain » il  partit très vite content de se lever de son piquet, « Romain, tu l’as insulté ? - ce minable pourri, oui il est lamentable dans son petit slip de merde - Ah oui ? Et toi, tu t’es vu ? Avec ta nouille pendante ? Qui fait souffrir tes copines, les utilise comme des jouets pour ton plaisir ? Et s’en fout de leurs sentiments ? » je le mène à la table, lui enlève les menottes pour lui attacher les mains à la table je lui écarte sans ménagement les jambes tire un peu sur ses couilles pour les mettre bien entre ses jambes, que je les voient de derrière. Je prends le martinet, et commence à lui en donner, pas trop fort pour ne pas trop le marquer, il le sera suffisamment demain, mais il ne le sait pas encore. Je lui donne une série de coups sur le bas du dos, là où ça fait bien mal sans trop marquer, à la naissance des fesses aussi. « Aïe, ouille, aïe,Aïe, non, ouille, noon, mal, AÏE,AAÏE AAAAÏE, AAAAAAAh, NOÔOON, Aïe, » une petite série de 50 coups de martinet, je le détache, « viens ici - non - tu va dérouiller ! - non, z’avez pas l’droit - j’ai tout les droits de te punir, ou de te livrer à la police si tu fais mine de partir ! Que ce soit clair, je te ferai subir le châtiment que tu mérites, il sera exemplaire ! Comme tous ceux que je donne, ou fait donner ! - pitié - fermes la! » et je le colle sur la chaise, les mains attachées dans le dos et les pieds aux pieds de la chaise. Je lui donne deux paires de baffes « Tu vas m'écouter, vaurien ! Demain, tu vas avoir ta première humiliation, Roxane, Virginie, et Sonia, vont venir - NON - Si, et tu sera leur jouet pour te punir e tout ce que tu leur a fait subir. Jusque là, tu restes attaché, je ne te fais pas encore confiance. Je vais aussi te fesser devant elles. » tout cela le laissa sans voix. 
Lucien revient des commissions, je lui explique pour Romain, lui dis d’en prendre soin, mais si nécessaire, il peut lui donner des gifles. Je lui dis que Damien est puni jusqu’à demain, il devra rester au piquet tant qu’il ne travaille pas. Lucien regarde romain, lui pince un peu les seins, lui tripote la queue, la pince, la tire, la tord, elle reste molle. «  Je sens qu’on va bien s’amuser avec ça ! - pas encore, Lucien, laisse le ! - OK » et il lui tape sur la tête, « crapule, tu as fait du mal a mon frère  ! Prends ça » et il lui donne une bonne paire de gifles. « … »  Romain le regarde et va pour l’insulter, croise mon regard furieux, secoue la tête. « Allez à Demain » 

vendredi 13 août 2010

L'arrivée de Romain

Je passe voir les 2 frères pour leur donner l’information, et voir si tout se passe bien. Il est 21h30 et je trouve Lucien sur le canapé en train de regarder la télé et Damien à genoux, mains sur la tête, jambes écartées, je peux voir que les traces de la strap commencent à partir, il va pouvoir reprendre ses activités, et aller voir ses parents. Il ne tourne pas la tête quand je rentre, je fais signe à Lucien de ne rien dire, je vais doucement derrière Damien et lui attrape les cheveux, en les tirant « alors, il se passe quoi ici, en mon absence ? - Aïe, maître, je suis puni, maître - je vois bien, dis moi pourquoi ? - Euh, … je, …, j’ai insulté l’autre, la bas, ce … , il voulait que je nettoie ! Que je fasse la vaisselle, non mais et puis quoi encore ? Il m’a bien regardé lui ! Il m’a puni, sans manger depuis ce matin et ¼ d’heure de piquet toutes les 2 heures, il m’a même donné une baffe ! - Ouille, il a eu raison, il va falloir que tu lui fasse des excuses, et que tu devienne sage avec Lucien, je ne le tolérerai pas plus longtemps, vous étiez si mignon la dernière fois que je suis passé  ! - nan, je lui f’rai pas d’excuses à ce gros cochon - tu dois m’obéir, - a vous oui, maître, pas à lui - insolent que tu es, à lui aussi ! Et tu va m’obéir de suite, mets toi face à ton frère ! Pourquoi cochon  ?  Il arrête pas de me câliner, il veux que je le caresse, il veut me … heu… sucer, - et tu n’aimes pas ? - ben, heu, oui j’aimes ça, mais j’ai la haine contre lui, je me retrouve ici, à cause de lui, - Tout d’abord, si tu es ici, c’est à cause de tes bêtises, ton frère t’aimes et il ne veut pas que tu agisses mal, en plus, je lui ai donné toute autorité sur toi en mon absence, donc lui désobéir, c’est me désobéir. Tu mérites une punition. Mais d’abord, va t’excuser, demandes lui pardon. De plus, il a raison, tu vas mieux, tu dois travailler, comme prévu, faire les tâches qu’on a décidé. » 
Je le pousses devant son frère, toujours à genoux, il baisse la tête, hésite, je lui donne une paire de gifles bien fort, il me regarde avec son air triste, et dit « Lucien, j’aurais pas du te faire ça, tu essaye de m’apprivoiser, et moi je me rebelle, mais ne m’en veux pas, je ne suis pas encore aussi gentil que tu le voudrais. … merci d'essayer de me rendre meilleur. - Bien, tu peux mieux faire, mais bon. Tu vas commencer par le sucer comme il faut, en geste de soumission, et tu le fais jouir puis tu avales, je te regarde ! » il me regarde, regarde Lucien, me regarde, puis commence à prendre en bouche la queue de son frère. Il s’applique à bien le lécher, le long de la queue, descend sur les couilles, qu’il met en bouche, l’une, l’autre, reviens à la première, remonte au sommet du gland, on voit l’excitation de Lucien qui lui prends la tête pour bien lui enfoncer son membre au fond de la bouche, et Damien de se concentrer, il prends en main le paquet de son frère le malaxe délicatement et n’en pouvant plus, Lucien explose dans la bouche de son frère avec un râle de plaisir. Le sperme coule par terre, Damien s’est brusquement reculé. Je lui colle une paire de baffes « tu vas me nettoyer ce que tu as laissé tomber ! Avec ta langue ! » il me regarde tristement, et s’exécute. 
Quand c’est fini, je le fais venir à moi, il tremble, « viens recevoir ta punition, maintenant » je le tire par l’oreille jusqu’à une chaise, je m’y assoie dessus et lui montre mes genoux, il s’installe pour la fessée. « Tu sais que je ne te laisserai rien passer, surtout pas la désobéissance et la fainéantise, ton cul va comprendre la leçon » et je commence la fessée, il gigote peu, résigné, je commence par deux séries de claques fortes sur la fesse gauche, toutes au même endroit, il crie un peu, je continue de malmener sa fesse gauche encore 10 puis 20 claques. Je le sens se raidir à chaque claque, il commence à comprendre que je veux le faire pleurer, je change de fesse et c’est reparti pour 10 puis 20 puis jusqu’à 50 claques, il a du mal a ne pas crier mais il résiste, je sens qu’il veut faire son dur ! Je me mets à claquer en alternance les 2 fesses toujours au même endroit qui devient très vite violet il commence à renifler, j’augmente la puissance des claques, je varie le temps entre les claques pour le perturber, il y a déjà plus de 20 minutes qu’il reçoit, il renifle plus fort je reprends la fesse gauche et claque bien fort au centre, et d’un coup, il éclate en sanglots, je ne m’arrête pas pour autant, « Bouuuh, s’cusez, … bouuuuh, moi, … boouuuh, ouuuuuh, oinnnn, pardon, … pardon… je serai sage, obéissant, pardon, » une claque à chaque mots. Il a déjà reçu plus de 150 claques. J’arrête net. « Lucien portes moi la cane ! - NOÔOON - fermes là Damien ! » Je me lève, le mets à genoux, lui colle deux paires de baffes, il pleure de plus belle. « Voilà la cane, maître, - alors vas-y, punit le, qu’il comprenne que tu as tous les droits sur lui tant que j’en aurais décidé ainsi ! Tu as compris crapule ? - snif, boouuuh, bouuh, ouuuh, ouuui, bouuuh, maître » et Lucien commence avec la cane. Des coups qui marquent bien après la fessée ! Mais il donne surtout sur les cuisses, le haut des cuisses, 5, 10 à chaque fois zwip « aaaïlle, pardon, pitié » puis 20, 30, zwip « noon, p’donne moi » zwip « ‘rrète, l’r’frais plus » zwip « bouuuh, ouuu, s’rai sag, bouuuh » et là Lucien qui est encore à poils se met à avoir une érection, plus il frappe, plus elle grandit. A 50 coups, je l’arrête, Damien est à bout, il ne pleure plus, il gémit, « va au piquet mains sur la tête » on peut ainsi voir Damien jambes légèrement écartées, le cul violet, les  cuisses zébrées. Il faut qu’il obéisse à son frère, surtout parce que je ne peux pas faire venir un autre puni tant qu’il n’est pas soumis à son frère.
« Lucien, viens ici, j’ai à te parler  ! »  Et on s’installe face cul rouge de Damien. « Le premier de la liste, Rachid, va partir chez ses cousins au Maghreb, pour apprendre l’obéissance, son père l’a puni à la ceinture, il n’est pas prêt de recommencer - Bonne nouvelle - Oui, par contre, Demain, je vais revenir, mais pas seul, j’aurais sûrement Romain avec moi, pour commencer sa punition. Il va falloir que notre Damien se tienne bien. Et qu’il ne nous fasse pas de caprices comme aujourd'hui - j’en fais mon affaire, il restera attaché s’il n’est pas sage ! - tu as entendu Damien, - houuu, oui, maître, je promets d’être sage, - sinon, tu sera puni, en fonction de la gravité de ta faute. Viens ici, je te pardonne tes bêtises, - Vrai ? - oui, mais ne recommence pas, sinon je serai très sévère avec toi. viens ici. » Il viens en courant dans mes bras, « merci, maître, vous êtes dur, mais juste. - Romain ? Vous allez le faire venir ? Il s’ra puni ? - Oui, mon Damien - Génial, je ne crains plus rien, alors, vous me protégerez ! - Oui, Damien, - Parce que c’est lui le plus méchant, il nous fait tous marcher par la peur. - Je m’occuperai de lui, et tu le verra pleurer ! Par contre, tu dois être très sage, bien faire tout ce que Lucien te dira - je crois que j’ai compris la leçon, maître, je pense que vous me punirez encore, mais pas pour ça, - je ne te punirai que si tu le mérites ! Vilain Damien ! - merci, maître, merci de vous occuper de moi ! Je vous donne bien du soucis ! Je veux essayer d’être meilleur ! » et de se blottir dans mes bras.
Je les quitte pour aller m’occuper de Romain. J’arrive chez lui, sonne, et je vois un beau mec, assez mince, les yeux noisette, les cheveux brun, courts, un T-shirt de marque, blanc, un bermuda noir même marque, bien mis, propre sur lui. « Bonjour, Romain ? - Oui, Vous êtes ? - Peu importe, je peux entrer ? J’ai à vous parler, et je doutes fort que vous vouliez que les voisins entendent ce que j’ai à dire. - Entrez » 
Je rentre, jette un œil avise une table avec des chaises, m’installe sans attendre, pose mon dossier, et lui dit : « assied toi  ! » il faut prendre la main dès le début pour le dominer « Mais je ne vous connais pas ! - assied toi, dépêches toi, j’ai pas tout mon temps ! - Mais ? Je ? - grouille ! » il se met sur une chaise, je lui sort le dossier que j’ai sur lui. « Voilà ce qui m’amène, toi, et ta bande de crapules vous commettez des méfaits qui sont répréhensibles, donc, je venais te prévenir que ce dossier, où tout ce que tu as fait ces derniers jours, plus d’autres informations très précises, je me dois de le porter à la police. - Tout est faux là dedans ! - regardes le - et je lui montre certains documents avec photos très compromettantes » Je le vois blanchir, il se met à bredouiller, « J’ai une proposition à te faire - heu, oui ? - Si tu viens avec moi, je te punirai pour ces actes, mais je n’en parlerai pas à la police, ni à tes parents, bien sur. Par contre, s tu ne veux pas que je m’occupe de toi, pour une punition bien méritée, tu es libre, mais à ce moment là, j’informe tes parents, la police et aussi la presse. Tu feras la une des journaux ! Tu as le choix. Je te laisses réfléchir. - Pas la police, je veux pas, - c’est toi qui décide - mes parents, … non plus, mon père est un élu, je lui ferai du tord, il ne me le pardonnerais pas, … les journaux, c’est pire, le fils du député, un voyou ! Je vois déjà les titres dans le journal - c’est toi qui choisi. Je te préviens quand même, les punitions sont douloureuses et humiliantes, parfois plus, par contre si tu te comportes correctement, tu peux t’en sortir. Surtout que rien ne sera inscrit sur ton casier, ni dans la presse. Bien sur, si tu me fais trop de problèmes, j’ai toujours le dossier ! » 
Peu après, il vient avec moi, résigné, il a choisi de ne pas faire de vagues, même s’il a peur des punitions ! En plus, son appartement pourra nous servir comme base pour la future brigade, mais ne brûlons pas les étapes.    
J’arrive chez Lucien « Salut, les frères, regardez qui je vous ramène ! Il est doux comme un agneau ! - pas vrai Romain ? - heu, oui, peut être, … hé, Damien, salut ma poule ! Tu fais quoi ici ? - Ben, heu, tu sais je me suis fais prendre, aussi, pour tout ce qu’on a fait ensemble, et aussi d’autres bêtises que j’ai fait tout seul. - et les punitions, elles sont dures ? - regarde mon dos, j’ai dégusté ! J’essaye d’être à la hauteur. Je veux pas décevoir mon frère, ni le maître, ils me font confiance, maintenant, mais ça a été très dur. L’avantage, c’est que toutes nos conneries, ça reste entre nous, personne ne saura, tant qu’on se soumet à la discipline. - C’est bien pour ça que j’ai accepté de venir, même si je suis mort de trouille ! J’ai jamais été soumis à personne, j’me suis barré de chez mes vieux pour ça ! Je ne reste pas toujours avec la même copine, et tout le reste. De toute manière, je vais pas rester longtemps sans rien faire, ici ! Je vais te leur mettre une panique, tu vas voir. - Méfie toi, je disais ça, moi aussi ! Ça m’a coûté cher ! - Bon, les deux comiques, c’est fini la discute, viens Romain ! Je vais te donner les règles … - Vas pas, non ? Je reste pas plus longtemps dans ce lieu de fou, je vais en parler à mon père, et vous finirez en … Aaaaïe, … Ouilleeee … noooon, Aïeeee ! » deux paires de baffes une pour le faire taire, l’autre pour lui montrer dès le début qu’il doit m’obéir. Je me saisis de la cane fine, et commence à lui donner des coups sur les mollets, il danse sous les coups « Ooille, … Aïiiillle, … NOOON, … T’es maaaaaaalade, … va pas bieeeeeen, … iiiii, … naan, … maaaaais … ‘rrête, … f’mal, … » et encore c’est un échantillon pour qu’il se calme ! Au bout d’une cinquantaine de coups , les mollets bien zébrés « Alors, Crapule, tu comprends qu’il faut te calmer  ! Viens ici que je te conne les règles de vie dans la maison » il viens en se massant les mollets, va pour s’asseoir, « je ne t’ai pas permis de t'asseoir, reste debout ! Tu vas apprendre à m’obéir, et à Lucien aussi ! Viens à côté, Lucien, assieds toi. Je crois que notre ami a beaucoup à apprendre !  Pour l’instant, jusqu’à ce qu’il soit puni pour ses méfaits, il va rester attaché à la corde de punition. Je ne veux pas que vous le détachiez sous aucun prétexte, j’ai dis aucun. OK Lucien ? - oui maître - Damien, viens ici, tu as entendu, c’est ton copain, mais je ne veux pas que tu le détaches, c’est OK ? Sinon, tu sais ce qui t’attend ! - OK maître, je vous obéirai. - alors exécution  ! »
J'attrape Romain pour que Lucien lui passe une paire de menottes que j’avais trouvé, que Damien lui mette un collier et y attache une laisse, je le prends par la laisse, le traîne dans le salon, attache les menottes à la corde, lui attache les pieds, et je tends la corde jusqu’à ce qu’elle soit tendue, ses bras en hauteur, de sorte qu’il soit juste tendus pour qu’il ne puisse pas bouger. « je veux qu’il boive autant qu’il en a envie, il ne doit pas se déshydrater ! S’il a faim, Damien tu le feras manger. S’il a envie de pisser, tu lui fais faire dans une bouteille - bien maître - allez, et à demain. » 

Rachid

Pendant 3 jours, je me mis à observer et suivre les 4 voyous copains de Damien. Je notais tout, pris des photos, et constituai un dossier le plus complet possible sur les agissements de ces crapules. Tout ce qu’ils ont fait en bande, ce qu’ils faisaient seuls, je me suis aussi occupé du jeune qui était raquetté, j’ai essayé d’en savoir plus sur lui. Le soir, je passais comme promis, voir les deux frères, savoir si tout allait bien, et voir comment Damien récupérait de ses punitions, Lucien s’en occupait très bien. 
Le premier soir, j’arrivais, un peu fatigué, vers 10 h je trouvai les deux frères endormis sur le canapé, Damien dans les bras de son frère. Braves petits. Une claque sur les fesses de Damien, « Alors, c’est comme ça qu’on me reçois ? En dormant ? » Réveil et regard surpris de Damien, qui se leva d’un bond et se mit à genoux mains sur la tête, avec une érection, ce qui le troubla beaucoup. Lucien se leva aussi, se mit debout au garde à vous à côté de son frère, en érection, lui aussi. « Et bien bravo ! Je vois qu’on se fait du bien, petits cochons que vous êtes ! - Mais maître - Lucien tais toi, c’est très bien de consoler ton frère, j’espère qu’il n’a pas fait de bêtises aujourd’hui, - Non, à part une petite insolence, que j’ai vite repris par une fessée, et il est venu se blottir dans mes bras. - Bien, il a été assez puni, pour toi ? - oui, maître - bon venez à côté de moi, sur le canapé, j’ai de bonnes nouvelles, j’ai commencé un bon dossier avec tes infos et de que j’ai observé aujourd’hui. » 
Je me lève et me déshabille, puis me rassois entre eux deux. Je prends leurs têtes et les pose sur mes genoux, face à face, leur caresse la tête, et Lucien commence à me caresser, me massant, il fait lever Damien, me fait allonger pour bien masser entre les jambes, sur le pubis, je ne résiste pas longtemps et suis vite en érection. Lucien viens mettre sa bouche et commence à me sucer délicatement, il se pousse et ordonne à Damien de faire comme lui, Damien, hésite, ne sait pas trop, me regarde, et bientôt deux bouches goulues me sucent à fond, que c’est bon ! Lucien laisse Damien continuer, et viens me lécher les seins, je tends les bras pour commencer à les branler un dans chaque mains. … Je me lève, fais mettre Lucien à 4 pattes, dis à Damien de s’allonger pour sucer son frère jusqu’à ce qu’il lui jouisse. Ce qu’il s’empresse de faire, et prends Lucien, ce qui lui tire des petits gloussements de plaisir, à moi aussi, je les encourage, enfin je jouis en lui presque au moment où il jouit dans la bouche de son frère avec un râle de plaisir. Je m’allonge et les deux frères viennent poser leur tête sur mon corps. On reste un bon moment comme ça. Puis je m’en vais, j’ai beaucoup à faire le lendemain.  Je me dis que Damien apprends vite. C’est un brave jeune. J’en ferai un gentil. Encore un jour ou deux et je passerai au premier de ses copains, ils ont sûrement besoin, comme Damien, d’être repris en mains.
J’ai assez d’informations dans le dossier de Rachid, je décide de m’occuper de lui en premier. Il vit chez ses parents, et sa famille est sans histoires. Je me pointe donc chez lui, sonne, « Bonjours, madame, je suis le grand frère de Damien, un copain à Rachid, est-ce que je peux le voir ? - oui, oui, RACHID, viens. » 
« Oui, m’man, - viens, c’est pour toi, -  Bonjour monsieur, je vous connais pas  ! ? - Non, mais moi, je te connais, tu es copain avec mon Damien - Vous êtes qui ? Son frère ?  son père ? … ? - Peu importe, je connais votre petit manège, et toutes les bêtises, pour appeler ça comme ça,  que vous faites - Je ne vois pas … - regarde   ! » et je sors son dossier, les photos où on le voit ouvrir des voitures pour piquer dedans, aussi face à Jonathan en train de lui coller une baffe ! « Tu ne vois toujours pas ? - je … où avez vous eu tout ça ? - ça ne te regarde pas ! - je vais aller porter ce dossier à la police, je voulais te le dire avant. Tu vas venir avec moi … - NOOON, pas la Police, je veux pas, je - Tu n’as rien à dire voyou, crapule, - Siouplait, pas la police  ! - On va régler ça avec ton père - NON, pas lui, - tu n’as pas le choix, c’est ton père ou la police, je pense qu’il vaut mieux ton père, surtout pour ta famille, toi, je m’en moque, tu n’est qu’une crapule. » Je le prends par le bras et vais voir sa mère, « votre mari est il là ? Rachid a quelque chose à lui dire - je l’appelle, en l’attendant asseyez vous, vous voulez boire quelque chose ? Un thé ? - oui, merci beaucoup ! » au fur et à mesure des minutes, je voyais Rachid devenir blanc, se trémousser, s’agiter sur son siège, enfin son père arrive. « Bonjour, Monsieur ? - Bonjour ! Voilà, Rachid a quelque chose à vous avouer, parles où sinon tu sais où je t’emmène -  ? - Allez - Euh, P’pa, … je te présente le frère d’un copain … » voyant ça, je sors le dossier, et explique au père de Rachid, tout en détail. Je le vois devenir rouge de colère « Tu m’as fait ça ! Répond ! - euh … oui … père … je … - viens ici ! Je travaille dur pour vous, je n’ai pas d’histoires avec la police, et j’en veux pas, tu vas arrêter ça, je vais te faire passer l’envie d’être un voyou, sale gamin - j’ai presque 21 ans ! - tais toi, et suis moi ! Monsieur, venez, vous verrez comment je vais lui faire passer l’envie de me créer des problèmes. Et je vais l’envoyer au bled pour le dresser, chez des amis, qui savent remettre les voyous dans le bon chemin ! » 
Il le prends par le bras, et le traîne vers la cave, je les suis, il allume, le jette littéralement au milieu, défait sa ceinture, lui arrache le T-shirt, lui enlève le bas de jogging, jette les habits de côté, Rachid se trouve au milieu de la pièce, pétrifié, en caleçon à fleur, ridicule. Son père, toujours furieux prends la ceinture en mains, commence à le frapper, sur le dos, les cuisses, les fesses, tout y passe. Le caleçon devient un lambeau tout déchiré, il lui enlève en l’arrachant, Rachid pousse un cri à chaque coup, le cul rougit vite sous les coups de ceinture « Aïe, m’fait mal, … wouuuuuh, … ,papa Rhahhhhh, …, pa… rhôoooh, noo… iiiiiiiïe, naaan, bouuuh, - j’vais t’apprendre, moi, à me faire du soucis, j’aurais du le faire depuis longtemps, te dresser comme il faut, j’ai été trop bon avec toi, tu ne le mérites pas ! - Rhôoooh, … iiiiiiiïe, naaan, bouuuh Euuuuuh, euuh, bouuh, bouuuh, bouh » il est toujours furieux, continue à frapper son fils  les coups pleuvent, Rachid essaye de se protéger, il reçois les coups sur les bras, une pluie de coups. Des marques plein le corps, il gigote, se tourne, il prends sur les hanches, les cuisses, un coup atteint la queue et les couilles avec un grand cri au milieu des pleurs et gémissements. Puis, calmé, son père s’arrête, il se prends la tête dans les mains. Rachid s’effondre. Je l’attrape au vol avant qu’il se blesse sur une planche. Le pose doucement, en pleurs, sur le sol.  « Il a bien mérité cette punition, je vous demande de ne pas parler de tout ce qu’il a fait, je vous promet que dès demain je lui prends un billet et il part dans la semaine. - OK, à une condition, que je ne le revoie plus traîner dans la rue, sinon, je serai obligé d’en référer - tranquilisez vous, il va rester enfermé à la maison jusqu’à son départ. - Bien, il reste quand même une petite chose, Rachid, viens ici ! À genoux devant ton père et demande lui pardon » il es traîne et viens aux pieds de son père la tête baissée « père, je suis désolé pour tout le mal que j’ai fait, pardonne moi, je l’referai plus, je veux rester avec toi, pardon, mille pardon pour le tracas que je te donne … » et il pleure, il remplit de larmes les pieds de son père. « Je veux bien te pardonner, mais tu ne resteras pas ici, tu vas aller chez tes cousins, avec ordre d’être doux comme un agneau. Va dans ta chambres, mon fils ! - Merci beaucoup pour ce que vous avez fait, monsieur, je suis tranquille pour mon Damien, au revoir, - A vous aussi, au revoir. »    

La Confession de Damien

Le lendemain, je débarque chez les deux frères, pour en apprendre un peu plus sur cette bande de voyous que Damien fréquente, et éventuellement les punir comme il se doit, et peut être les récupérer, comme Damien. J’ai dans l’idée d’en faire une petite unité de protection du quartier où ils faisaient leurs bêtises. Qu’ils passent du côté utile et ne soient plus nuisibles. Mais c’est pas gagné. Il va déjà falloir que Damien parle, et tout dépend de ce que je vais pouvoir en tirer. Mais avec l’aide de Lucien, il va falloir que je lui dise que je commence à bien l’apprécier, qui à l’étoffe d’un bon second, je pense qu’on est sur la bonne voie. 
   « Salut mon Lucien, comment s’est passée la nuit ? - Bien maître, tout est calme. - Bon, tu me seconde bien, viens ici. » Il se met devant moi, inquiet, pensant avoir fait une bêtise. Je le regarde un instant et sans qu'il s'y attende plaque mes lèvres contre les siennes et lui donne un long baiser et en même temps le caresse, les seins, les fesses, je m’attarde sur les fesses, un doigt dans la raie, il s’égare et entre un peu dans son petit trou ! « Il faudra que l'on reprenne ça plus tard, mon grand ! Je veux que tu me dises bonjour et au revoir avec un baiser, c'est agréable ! » Je le laisse complètement sonné par cette scène et vais vers la chambre de Damien « Merci maître de vous plaire » j'ouvre la porte, trouve mon Damien encore endormi. Je lui donne une bonne paire de claque sur les fesses. « Debout Damien ! on se dépêche ! - Ah, Euh, Désolé maître, je… eeeuuuh - secoue toi, va te laver, et viens dans la cuisine déjeuner, tu vas avoir une journée importante. - Bien maître. - je t'attends. » Je retourne dans la cuisine avec Lucien « Prépare lui son petit déj. Ensuite, viens avec moi, on va installer la corde de punition au cas où il ne veuille pas nous parler de sa bande. Sort moi la strap, une cane et des liens. - Bien maître, je fais comme ça. »
Un quart d'heure plus tard, Damien arrive, je me place à côté de lui, il sent le propre, c'est bien. Il déjeune vite fais, puis je le rends par le bras et le mène au salon. « A genoux devant moi, Damien ! J'espère que tu as réfléchi à ce que je t'ai dis hier  ! »  Il se positionne, bien en face de moi, sa nouille pendante, mains sur la tête, je lui fais écarter les genoux de 10 cm pour que tout son paquet soit bien entre les jambes. Je fais venir Lucien à côté de moi, debout face à son frère.  « Alors ? On t’écoute ! - Heu, j’ai réfléchi, … je … ne veux pas balancer mes potes, … je risque gros de leur part, j’ai pas envie, … non ! Je ne dirai rien sur personne. C’est pas bien. - Écoute moi bien, Damien, je n’ai pas de temps à perdre, tu es déjà puni parce que tu as participé à des vilains actes, avec tes potes, comme tu dis, tu me dois obéissance, ainsi qu’à ton frère, pendant tout le temps que j’estimerai devoir te corriger parce que tu dois être remis sur le droit chemin ! Je ne te le dirai pas une autre fois, tu as intérêt de nous dire tout ce qu’on veut savoir, on te laisse une minute pour te décider à obéir, sinon tu sera fouetté durement et tu finira par nous parler ! - viens Lucien, on va le laisser mijoter encore un peu, ce grand voyou ! Et on va préparer la suite. Tu as son portable ? - oui - vas le chercher, on y trouveras déjà des infos - non, vous avez pas le droit - Toi, ferme la et prépares toi tu n’as pas à discuter mes ordres ! - voilà maître je l’allume, tiens il a 2 sms en attente ? - regarde les ! Note les moi, regarde les noms qui reviennent souvent dans les appels. - On a déjà Rachid, Julien, Kévin. Les autres c’est les parents et moi et de l’occasionnel : Fayçal, Alexandre, Jérémy, Romain, Cyril, et deux filles Virginie et Aurélie. - Bien - tu as noté les sms reçus ? - oui, les 8 derniers. - OK, mène les, je les regarderai plus tard. - Alors, tu es décidé ? - NOÔON - Bien, tu ne me laisses pas le choix, tant pis pour toi. Lucien, attache lui les mains devant, puis amène le à la corde.»  
Je vais vers Damien, lui fixe les mains à la corde, lui écarte les pieds avec le carton prédécoupé spécial, tend la corde jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds, son corps bien tendu. Il ne dit rien, essaye de résister du mieux qu’il peut, il sait qu’il va déguster. Je me mets face à lui, prends ses couilles dans ma main et les serre fort, en les tirant vers le bas « Aiiïe - Toujours décidé à ne rien dire  ? - … - tu vas avoir une série de 25 coups de strap, tu comptes les coups » je lui bande les yeux pour le déstabiliser un peu plus et le premier coup tombe sur ses épaules « Rhaaaah, un maître … rooooôh deux maître … Ouuuuh, trois maître … Aaaaaah, quatre maître »  les traces apparaissent sur ses épaules, mauves, pour l’instant il encaisse la punition, bientôt dix traces zèbrent le haut de son dos. « Raaaaaaaaah, on…ze maître … Ouououou d…ouze maître … Ouuuuh, t…treize maître … Aaaaaarh, qua…torze maître » encore sur le dos, un peu plus bas, il est pas loin de pleurer, le suivant tombe sur les reins « Ouuuuh, quin… snif … quinze, snif, … maît… » et il écate en sanglots, je change de côté pour lui laisser 2 minutes de répit, et sans prévenir, ce sont 3 coups assez for qui tombent sur ses épaules, le compte se perd dans les pleurs, les 2 derniers coups tombent bien fort pas très loin des autres. Il a le haut du dos zébré de traces violettes. 
Je le laisse 5 minutes respirer, quand les sanglots commencent à faiblir, je vais devant lui : « Alors, Tu vas être raisonnable et me parler, où il faut que je continue ? Tu vois dans quel état tu m’oblige à te mettre ! Sois sage, et si tu me dis tout, j’arrête, sinon je continue, encore 10 coups. - no…o…on, je … ne  di…rai ri…pa…heu ? »  Je prends une cane assez fine, la fait siffler dans l’air, je ne veux plus frapper son dos, il ne résisterai pas et un coup sec au milieu des fesses une belle marque fine et rouge, « Woahahahaïe » il ne s’y attendais pas, il a toujours les yeux bandés, le bandeau trempé, et n’avais pas vu la cane, encore 3 coups, au milieu des fesses, trois cris, 2 coups à la naissance des fesses en haut des cuisses, et un sur le bas des reins là ou la strap était déjà passée. « Ma…Mai…tre  ! - Oui ? - arrê…tez, je v…ous en prie, je …j’ai … heu … dé… ci… dé de … vous expliquer, tout, … ce que je fais, qu’on a fait, … nos conneries … mais siouplait je serai gentil, frai ce qui vous fera plaisir, … arrêtez. »  Je lui donne encore un coup de cane pour la forme, plus doucement sur les fesses, « MAAAAAÎTRE, pardon, … pardon de vous avoir fâché, siouplait  ! » 
Je m’approche de lui lui retire le bandeau, sèche ses larmes avec, « Lucien, viens m’aider, » j’enlève le carton, détache Damien de la corde, avec Lucien, on l'assoit sur une chaise en face de nous, « On t’écoute » Et il se mets à parler des ses 3 copains, des méfaits qu’ils ont commis, je note soigneusement toutes les informations, les noms, il y a Jérémy, Romain, Rachid et Julien, j’ai même, en prime leurs noms, leurs adresses, leurs âge, (ils ont 19, 21, 20 et 23) il me dit s’ils vivent chez leurs parents et même que Romain vit seul, et a 3 copines qui viennent le voir il se vante de les recevoir une après l’autre ! Il me parle de Jonathan, un jeune de 18 ans qu’ils raquettent, pour le plaisir de le voir avoir peur. 
« Damien, tu as été courageux et fort. Mais tu vois, avec moi, ça ne sert à rien, quand je veux quelque chose, je l’ai. Viens ici » je lui enlève les liens sa ses mains, le mets à genoux par terre, et place sa tête sur mes jambes. Il se laisse aller et se remet à pleurer. Je le caresses, « tu vois, Damien, c’est mieux comme ça, quand tu es gentil, je t’aimes quand tu es comme ça, tout mignon » je vois le regard noir de Lucien, je continue à caresser longuement les cheveux de Damien. 
« Lucien, ne soit pas jaloux, et viens m’aider à le porter sur son lit. Pendant 2 jours, tu vas lui pommader le dos matin, midi et soir, il est au repos et a le droit de ne pas faire ses tâches, toi, tu as le droit de t’amuser avec lui, quand tu le masses, de le caresser, de le sucer, de lui faire du bien. Pas encore de le prendre, il doit se reposer, je te demande d’être câlin avec lui, et surtout de noter tout sur le livre de bord. Je veux savoir ce que tu lui as fait, exactement. Je ne passerai que tard le soir une fois par jour, je vais m’occuper de sa petite bande de voyous. N’oublie pas que je dois m’occuper de ton corps quand je reviendrai. Allez mon Lucien, tu es gentil, … Ah, appelle tes parents, dis leur que Damien a eu du remords et qu’il a demandé d’être repris en mains, et qu’il ira, mais plus tard, leur demander pardon pour tout. Viens m’embrasser, je file»

Lucien et Damien

J’arrive pour voir mes deux frangins, savoir comment s’est passée la soirée, la nuit, et mettre en place la suite. Je rentre dans la maison et trouve Lucien installé sur son canapé, Damien, quant à lui est dans sa chambre. En me voyant, Lucien se lève, et viens se mettre à côté de moi comme au garde à vous. Je le regarde et lui dis « Damien ? – Il est dans sa chambre, calme, je n’ai pas eu de soucis avec lui. Il m’a obéi. Mais il est faible, je l’ai laissé dans sa chambre. – Bon, j’irai le voir après, on a un petit compte à régler, tous les deux, ton mensonge. » D’un coup, je vois Lucien devenir tout pâle, se mettre à trembler. « vous … allez faire … - Tais toi. A poils et vite ! puis tu te mets dans la position que j’appelle du puni : à genoux, mains sur la tête, jambes légèrement écartées. Et tu attends que je statue sur ta punition pour ne pas m’avoir dit que j’aurais à éduquer Damien ! – Je … , - La ferme tu sais que si tu me mets en colère, la punition sera augmentée. » 
Je le regarde, son corps est bien fait, mince, mais pas trop, une petite queue, des jambes presque pas poilues, comme le reste du corps, d’ailleurs. J’en fais le tour pour voir un joli petit cul. Il va dérouiller, il me donne envie de le corriger encore plus en le voyant. Je pense que lui, doit aimer ça. Je prends une chaise, et lui dit de se lever, d’aller à la chaise et de prendre la position, les mains sur le dossier, d’écarter les jambes, et je lui annonce « correction au martinet. Tu vas apprendre à ne pas mentir, avec ton frère, tu fais la paire. » Je prends le martinet, fouette l’air plusieurs fois pour délier les lanières et un premier coup, Lucien ne dit rien, il encaisse. Le coup n’était pas encore fort, c’était pour tester les réactions. Puis, une série de 10, il serre les dents, encore dix, il commence à faire des petits bruits mais, il résiste bien à la correction. Je change de côté, une série de 15 coups très rapprochés et plus forts lui tombe sur les fesses, il commence à gigoter et pousse des petits cris à chaque coup, son cul commence à prendre des couleurs, il rosit. Une série de 20 coups, les coups commencent à le toucher plus, on dirait qu’il a l’habitude d’en recevoir ! Et d’ailleurs, il a un début d’érection « alors petit cochon, tu aimes ça, le martinet ! Tu ne vas pas être déçu ! » Et je continue, en variant les endroits. Sur le dos, en bas du dos juste au dessus des fesses ce qui lui tire des cris, il commence à avoir mal, même s’il est endurant ! Il reçoit les coups sur le haut des cuisses, à la naissance des fesses, sur les fesses. En tout il a déjà reçu plus d’une centaine de coups, il bande complètement, « tu vas compter les 5 derniers en remerciant – Bien maître » et je les lui donne très fort à la naissance des fesses les 5 « Wouahhh, un, maître, merci maître, … Rhâaah, deux maître, merci maître, … Troiaaaaaille, maître, merci maître ; quatreeeeeeuh, maître, merci maître. Aaa aa aaa, cinq maître, merci maître – maintenant  mets toi à genoux, dans le coin mains sur la tête. Je vais aller voir ton frère. » Je le vois aller au coin, là où Damien se met, il se place à genoux, avec le pieds, je lui fais écarter un peu les genoux, puis il se met les mains croisées sur la tête. Je l’observe quelques secondes, il est gêné de se trouver dans cette position, il préfèrerais voir Damien, c’est sur. Il doit s’attendre lui aussi a des punitions. Il m’a demandé, il doit se soumettre à mes règles. 
Je laisse Lucien à son piquet et me dirige vers la chambre, ouvre et vois Damien assis sur le lit. Résigné. Je lui demande comment il va ce matin, il me regarde d’un petit air craintif, baisse les yeux. «Euh, Maître, je suis à vôtre disposition pour la punition –  Damien, je ne te punis que quand tu as fait une faute, même si elle est ancienne. Je suis sévère mais juste. Ne crains rien. Pour l’instant, je te laisse récupérer un peu de ta grande punition. D’ailleurs, pour ce qui est de tes fréquentations et des trafics que vous faites, je ne suis pas pressé de te punir tu n’es pas seul en cause, et en plus, tout va dépendre de toi, comment tu te comportes. » A ce moment, Damien fond en larmes je m’assois sur le lit, lui fait signe de venir s’asseoir sur mes genoux, il viens pose sa tête sur moi, met ses bras autour de mon buste et se blottit tout contre moi, comme pour se mettre en sécurité dans mes bras. Je lui caresses doucement la tête, et le prends dans mon autre bras. Voilà qui est bien, j’attendais ce moment, il est trop mignon. Surtout comme ça, fragile. « allez, Damien, calme toi, tu as beaucoup appris en 3 jours, même s’il t’en reste à apprendre, tu es sur le bon chemin. » je le caresse le cajole, le console, lui prends la tête dans mes mains et le place en face de moi, avec les pouces, je lui essuie les larmes. « tu as du manquer de tendresse dans ta jeunesse ! – Oh oui, comme mes parents me laissaient faire tout ce que je voulais, je n’ai jamais été cajolé comme ça ! Jamais un geste d’affection, c’est normal, je leur en ai fait voir de toutes les couleurs ! je ne les ai pas épargnés, en retour, ils ne m’ont pas montré leur amour pour moi, plus ‘une fois j’ai pleuré dans mon lit, tout seul, mais c’est de ma faute, si j’avais été plus gentil … » et la, j’ai collé mes lèvres aux siennes et on est resté un moment à s’embrasser. Je l’ai ressenti encore plus craintif, pus il s’est laissé aller, s’est détendu et d’un coup, il s’est mis à bander je lui ai caressé le sexe, les couilles, très sensuellement, et a joui très rapidement. Je suis resté surpris de la rapidité de sa décharge. Je l’ai gardé serré encore un peu pour le cajoler. « Oh maître, je suis désolé, … c’est la première fois … que ça m’arrive comme ça, … je ne voulais pas, … excusez moi, … je … je … je … » et il rougit, il se mets à genoux devant moi pour me demander pardon « punissez moi d’avoir … » et il se remet à pleurer ! je sèche ses larmes avec mes pouces, « écoute moi, Damien, arrête de pleurer, ça ne sert à rien maintenant ! tu n’as rien fait de mal ! au contraire, tu as trouvé du réconfort et tu t’es senti bien, suffisamment bien pour que tu jouisses. Et après ? Je te l’ai déjà dit, je suis sévère, dur parfois, pour que tu respectes bien les règles, mais juste. Là, tu n’as commis aucune faute. Lèves toi, va te laver, prends une douche et viens dans le salon pour que je vous donne les règles à respecter tant que vous serez mes deux boys. Allez, file, et dépêches toi ! 
Je retourne au salon, dis à Lucien que son piquet est fini, qu’il se rhabille et vienne à côté de moi. On commence à préparer la suite, je veux qu’il s’affirme auprès de son frère. Damien vient nous rejoindre. Je lui tends un slip, « tiens, mets ça, viens t’asseoir à côté de moi, on doit discuter » je les place chacun d’un coté, je ne veux pas que l’on soit perturbés.
« Vous devez avoir des règles strictes pour progresser, toi, Lucien, tu es responsable de toi et de ton frère, ce qui veut dire que s’il fait une bêtise, tu le punis, et tu m’en fait le rapport, sinon, c’est toi qui sera puni.  Je veux que vous soyez toujours présentables, c’est à dire quand vous sortez, un T-shirt propre et un bermuda en jean avec des sandales. Lucien, tu es en vacances encore combien de temps ? – Quinze jours – Bien, alors profites en pour montrer l’exemple à ton frère, puis pour allez travailler, tu te mets comme d’habitude, ne change rien, quand vous êtes dans la maison ou je jardin, un slip et rien d’autre, le bermuda doit rester près de la porte d’entrée pour être mis si quelqu’un – autre que moi – arrive. Quand vous êtes dans la chambre, c’est à poil. Des questions – Non – Non – Bien. Toi, Damien,  tu as quinze jours pour trouver du travail, je ne veux pas te voir ici à glander. Tant que tu n’en as pas, tu feras toutes les tâches ménagères, et je viendrai vérifier. Tu dois obéissance à ton frère comme à moi, sous peine de fessée. Soyez propres, et attention à ce que vous faites. Je viendrai très souvent pour vérifier que tout se passe bien. – Oui maître – Bien maître – soyez gentils l‘un envers l’autre. Lucien, ton frère a besoin d’être cajolé, quand il est sage, et puni, même sévèrement quand il ne l’est pas. Je te délègue les fessées pour les petites bêtises, mais s’il fait une faute qui est plus sérieuse, tu me fais un rapport et je m’en occuperai. »
« Pour les repas, nourriture saine et équilibrée, tous les matins je veux que vous me fassiez, ensemble, une demie heure d’exercices de gym. Demain, je viendrai vous faire commencer et vous montrer ce que je veux. – je déteste ça, la gym – aaaïe, noOon » Une paire de gifles, part sur la figure de Damien, qui ne s’y attends pas, « mais … , ouaille, Eh ! » c’est qu’il me réponds l’effronté ! je vais te le calmer « si tu continue à me répondre, tu vas te prendre une fessée, attention – m’fait pas peur ! » c’en est trop, je l’attrape par le bras, le colle sur mes genoux, et commence une série de claques sur ses fesses, assez fort, toujours au même endroit de chaque fesse, elles commencent à chauffer, il ne dit rien, encaisse vaillamment, il a sa fierté ! Je lui enlève son slip qui tombe à ses pieds. Il est bloqué, ne peut pas bouger, et commence à gémir « pitié, … l’r’frai pas, … noon … » mais je le laisse dire et continue, il doit comprendre qui donne les ordres, je suis encore en colère. Je continue encore dix minutes, il gémit toujours, mais sa voix commence à chevroter, encore un peu, enfin, résigné, il accepte les dernières claques et commence à avoir les larmes aux yeux. Je lui donne les deux dernières très fort sur ses fesses bien rouges ce qui lui tire un cri à chaque, je le relève, lui colle 2 paires de gifles en pleine figure « suffit, mets toi à genoux devant nous, et fermes la. Tu es puni et dès que je pars, jusqu’à demain tu ne bougeras pas de ta chambre. » 
« Lucien, si tu le punis ne te laisses pas attendrir par ses pleurs, tu fais ce que tu as décidé, va au bout de la punition, tu peux même en ajouter s’il est insupportable.
« Bien, maintenant concernant tes trafics avec ta bande de voyous, tu vas me dire qui ils sont, comment ils s’appellent, leur âge, ce qu’ils font, ce que vous avez fait ensemble, ce que tu sais d’eux, comment vous vous contactez, bref, tout ce dont j’ai besoin de savoir pour m’occuper de vous et vous faire passer l’envie de faire des trafics. – Non, je ne dirai rien, je ne suis pas une balance, punissez moi, mais je ne dirai rien ! – écoutes moi bien, petit merdeux, je ne le répèterai pas deux fois, soit tu me dis gentiment ce que je veux savoir, et tout se passera bien pour toi, sinon, j’ai tout une panoplie de techniques pour te faire dire ce que je veux, qui ne sont pas agréables pour toi. » je vais chercher dans mon sac une paire de menottes, que je donne à Lucien pour qu’il les mette devant Damien, la strap, mais aussi une cane, un paddle une cagoule, et des pinces. « Tu as le choix de tester tout ça, ou de parler de suite. – Heu, … j… j…j…e v…ais ré… – tais toi, Lucien mène le dans sa chambre, enferme le, demain, il sera peut être décidé. »   
« Je reviens demain matin, mon Lucien. » Et je pars.

Chez Lucien

Le lendemain matin je décide d’appeler Lucien pour avoir son adresse, et je prépare mon matériel pour aller voir mon puni, savoir s’il a été sage ou pas. 
Je me rends, donc, chez Lucien, il habite une petite villa avec un jardin derrière. Bien isolé de la vue des voisins. Ca me donne des idées, pour la suite. Il avais du me voir arriver, il m’ouvre, Il est en bermuda jean et un débardeur kaki. « Salut Lucien, comment va ? – A peu près, j’ai eu quelques problèmes avec Damien – Ah ? allez on va régler ça de suite ! » Je rentre et je vois Damien avec slip, à genoux dans un coin du salon. « Il m’a l’air sage comme ça ! – Oui, parce qu’il vous a entendu arriver, maître, il s’est dépêché de se mettre en position, mais il m’en a fait voir. » En effet, je le regarde et m’aperçois qu’il a des traces sur ses cuisses. « Tu as du le punir, a ce que je vois – Oui, quelques coups de ceinture, ce matin, pour qu’il me laisse tranquille. »
« Quand on est rentré hier, il est allé direct dans la chambre s’est allongé sur le lit et s’est endormi. Sans enlever son jean, comme demandé. J’ai eu pitié de lui, je lui ai enlevé son jean, je suis allé prendre de la pommade, et je lui en ai passé de partout sur ses fesses pour calmer la douleur. Il gémissait à peine et mes caresses ont même déclenché une petite érection. Je l’ai caressé, j’ai pris sa queue en main et me suis mis à le branler, il m’a laissé faire, en poussant des petits cris. Quand il a été bien raide, j’ai pris son membre en bouche, je l’ai sucé un peu, l’ai léché de partout sur sa queue, de haut en bas, de bas en haut, sur ses couilles, aussi j’ai sucé, et il gémissait de plus en plus alors j’ai bien pris sa queue dans la bouche, à fond, et je l’ai pompé goulûment, avec fougue, en lui massant les couilles, je l’ai senti se raidir et dans un demi sommeil, il a déchargé tout son foutre, que j’ai avalé jusqu’à la dernière goutte, puis je l’ai nettoyé de partout. Ensuite, je l’ai laissé dormir jusqu’à ce matin. C’était bon il y a longtemps que j’en avais envie, que je n’osais espérer et voilà, jamais j’avais fait çà à mon frère, lui qui est fier de se montrer avec plein de copines, je l’avais à ma merci, j’en ai profité. »
« Puis ce matin il s’est réveillé, grognon, il cherchait ses habits, il m’a appelé méchamment, il m’a regardé, et s’est mis à m’insulter, me dire que j’étais un salop, un pourri, que je ne devais pas le regarder, que je devais lui donner ses fringues, qu’il allait partir mais avant qu’il me casserai la gueule pour tout ce qu’il avait subi à cause de moi, et tout le reste. Je suis sorti de la chambre, l’ai enfermé à clé, suis allé chercher ma ceinture en cuir, de la corde et suis retourné le voir. Comme j’ai un peu plus de force que lui, je l’ai vite maîtrisé, je lui ai attaché les poignets, puis les chevilles, je l’ai alors jeté sur le lit, tourné sur le ventre je l’ai aussi attaché aux montants du lit pendant qu’il gigotait comme un ver, j’ai pris ma ceinture, l’ai pliée en deux et zip, Pourriiii, …  zip, nooOon, … zip, Paas l’droit, … zip, m’fait mal, … zip, aïe, …,zip, … j’étais furieux et j’ai donné au moins 30 coups ca tombais sur ses cuisses, ses fesses, son dos. Puis, je l’ai laissé sur son lit, suis sorti et ai fermé la porte à clé. Je ne voulais plus l’entendre, il est resté une bonne heure attaché. Je suis allé le chercher quand vous avez téléphoné, lui ai ouvert, l’ai détaché, il était calmé. Je lui ai dis de venir prendre son petit déjeuner et que vous alliez arriver. Ce qui l’a changé. Il s’est alors montré tout gentil, je crois qu’il vous craint. Et voilà, quand je vous ai ouvert la porte, il  s’est mis le caleçon et s’est mis à genoux et les mains sur la tête en attente. »
« Va me chercher ce morveux ! Mène le moi ici. » Et Lucien d’aller chercher son frère, « tu vas regretter ce que tu m’as fait, frérot »
« Bien, Damien, tu sais que je suis ici pour t’éduquer, te remettre sur le bon chemin et que tu n’a pas encore reçu l’intégralité de ta punition. J’apprends que tu t’es mal comporté avec ton frère, ça va augmenter la punition, et de plus, je vais vous donner les règles de vie que je veux vous voir appliquer. Lucien en sera le garant, et toi, morveux, tu as intérêt de lui obéir. Je viendrai très régulièrement et à l’improviste pour voir comment ça se passe. Lucien tiendra un cahier où il fera chaque soir la synthèse de la journée. – Je serai sage, je vous le promets – Tu as intérêt. Tu vas recevoir la correction pour la fainéantise.
Mais avant, pour ta rébellion envers ton frère, je vais te donner la fessée que tu mérites. Viens ici. » Je m’assois, lui montre mes genoux. Il semble hésiter un peu, je lève la main, résigné, il vient s’installer. Je le positionne correctement, lui écarte légèrement les jambes que ses fesses soient bien offertes. Je caresses légèrement pour préparer, il se détends un peu et une grande claque sur la fesse droite qui lui soulève un « AÔuille ! » pas le temps de se remettre, une seconde claque tombe au même endroit, puis une troisième sur l’autre fesse et une quatrième, 5, 6, … 10, Damien gigote un peu, crie à chaque fois des « Aïiiiiie » je passe alors un doigt sous l’élastique de son slip et d’un coup sec le lui baisse aux genoux, je le bloque bien et les claques repleuvent sur ses fesses qui se colorent rapidement d’un rouge sombre. Il crie toujours mais moins fort et surtout il fait des efforts pour ne pas pleurer, il a déjà reçu une soixantaine de claques. Je le sens prêt. Je me concentre sur la fesse droite 10, 20 claques bien fortes puis je change de rythme pour qu’il ne s’habitue pas, il commence à pleurer, encore une quinzaine de claques, il sanglote à présent ! je le relève, il se mets à genoux devant moi. « J’ai …compris, …suis désolé, sniiif, …le r’frais plus, je s’rais sage, … j’l’promets, - Damien, accepte ta punition, elle est méritée, et se sera comme ça à chaque fois que tu fera des fautes. Tu vas devoir obéir. Et pas qu’à moi, à Lucien, ton frère, aussi. » 
Je me lève, vais regarder les pièces de la maison. Lucien, me suit et me donne des indications sur les pièces. Le salon a deux poutres apparentes au plafond. Lucien me passe un escabeau pour monter en éprouver la solidité. J’y fixe deux crochets le plus solidement possible, passe une corde dans les crochets que je laisse pendre des deux côtés pour y attacher Damien. « Morveux, ici ! » et Damien viens à côté de moi, tête basse. « Tu vas avoir la suite de ta punition, sois courageux. Tu compteras les coups. Si tu te trompes, on repart à 0. Pour l’instant tu as été puni comme un gamin, pour des bêtises de gamin, mais tu as 21 ans et tu as fait des fautes bien plus graves : tu ne cherches pas à travailler, tu vis au crochet de tes parents, et tu fais des petits trafics pas nets avec une bande de voyous. Pour cela tu vas avoir droit à la strap, deux séries de 10 coups. » La starp est un fouet avec une lanière de cuir plate, épaisse et longue, qui vient des USA. La strap a l’avantage de ne pas couper comme un fouet classique, de faire bien souffrir le puni sans trop le blesser : idéal pour une punition.  Il me regarde avec un air triste et résigné. « Lucien, viens et attaches lui les poignets. – Bien maître »
Je le prends par les poignets, et le mène vers la corde que j’avais préparée, je fixe ses poignets à un côté de la corde, et je tire sur l’autre bout pour que ses mains soient le plus haut possible, que son corps soit bien tendu, je lui fais écarter un peu les jambes, place un petit carton que j’avais préparé, avec une découpe pour tenir les pieds, qu’il ne les rapproche pas, et je fixe solidement l’ensemble. Je prends ma strap, et la lance trois fois dans l’air pour bien l’avoir en mains et prendre sa puissance. « N’oublies pas de compter, les coups, tu dira le numéro du coups, et tu ajouteras, merci maître, ok ? – o…oo…oui – oui, qui ? – oui, maître ».
Et le premier coup, pas trop fort arrive sur le milieu des fesses « Rrahhh, … - tu n’oublies rien ? - … - comptes. » et un second coup sur le haut des cuisses, une trace violacée se forme de suite.  « AAAAh, u…un, m…aître, m’rci – bien continue de compter. … Ouahahah, d…eux, ma…ître, merci. » une nouvelle trace, « Ouuuiiie, Quatre maître – Tu vas apprendre à compter, je te le dis, tu recommence à 0 » et un nouveau coup, cette fois sur le milieu du dos « Raâhh, u…un, maître s’v’plait, non, arrêtez, Wouaaaah, Deux maître, merci, … Noooon, Trois, maître merci, … Aïaïaïiiiiie, quatre, maître, merci » et pour l’instant aucun coup n’est tombé au même endroit, le dos commence à être bien marqué 3 puis 4, 5 belles traces violettes. Pendant de temps, Lucien est allongé sur le canapé sur le ventre pour ne pas regarder, un coussin pour ne pas entendre. Il va falloir que je l’endurcisse pour qu’il puisse punir son frère à la strap quand il le méritera. « Ouuuuye, neuf maître, merci, …Rwoua, di… dix maître, merci. – Allez, tu as cinq minutes de répits. » 
Je vais m’asseoir à côté de Lucien, « Allons, Lucien, sois fort, la prochaine fois, c’est toi qui le fera, tu dois t’y faire, tu vas avoir de quoi t’occuper avec l’éducation de Damien. De plus, tous les soirs, je veux un rapport détaillé de sa journée, ce qu’il a fait de bien et de mal. Je viendrai pour t’aider. – Bien, je le ferai, pas avec plaisir, mais je le ferai, vous avez raison, il doit être remis sur le bon chemin et il n’y a que comme ça qu’on y arrivera »  
Je me rapproche de Damien, il est bien zébré sur le dos, Je me positionne de l’autre côté et un premier coup part sur le haut des fesses qui commence à se colorer, « ooooo … onze maître, merci » et je fais tomber sur les cuisses un, puis deux et trois coups trois marques sur les cuisses un puis deux sur la naissance des fesses, deux marques qui se chevauchent, j’évite les reins, et tape sur le milieu du dos, Damien crie, gémit, mais sa voix est plus faible. Il compte encore mais des sanglots apparaissent et sa voix se met à chevroter, je vais me concentrer sur ses fesses pour les cinq derniers coups. Les 2 derniers sont donnés très fort et il tremble maintenant. « Lucien, va le détacher, allonge le sur le canapé. »
« Damien, tu vois, la punition est dure mais méritée. Pour les fautes graves, tu seras puni comme ça. » Il ne parle plus, il sanglote. Je lui caresse les cheveux comme pour le rassurer, « je vais te laisser reprendre un peu avant de passer à la dernière faute « non, pitié – calme toi. Tu es un homme qui doit apprendre à assumer ses erreurs. » Je le laisse pour aller discuter avec Lucien de la suite, mettre en place les règles de vie.  On décide alors qu’il sera dans sa chambre enfermé jusqu’au repas et laisse à Lucien la liberté pour la fin de la journée. 

Premières Punitions

Me tournant vers Damien, je lui dis « sais tu ce qu’il va t’en coûter, quelle punition pour toutes ces fautes que tu as commises ? – Je ne sais pas, encore quelques coups de ce machin là ? – je t’ai dis une correction exemplaire c’est à dire que tu vas déjà venir sur mes genoux pour une bonne fessée comme tu la mérites. Lucien, regarde dans mon sac, il y a un collier avec une laisse, place le lui et tire le par la laisse jusqu’à moi – Nooon, je ne suis pas un chien ! ».
Et un, aïe…, deux, ouille, trois, … no, quatre, …, c’est b…, cinq, arrêeeeete, six, on dit arrêtez, maître s’il vous plaît, ?…, sept, snif,…no… huit, … neuf, et un dixième coup de cravache. Tous bien posés au milieux des fesses à peu près au même endroit bien fort pour le casser. « alors ? tu obéis sale morveux ? - … o … ou … oui … une paire de claque pour varier les plaisirs – Oui qui ? – oui monsieur ? … ma … maître ? – bien, alors laisses toi faire par ton frère » Il avait perdu de sa morgue, il était en sueur, les larmes aux yeux prêtes à sortir, il est vrai que je ne l’avais pas ménagé, mais il n’avais encore rien vu ! Lucien lui a mis le collier, «  à 4 pattes » lui ordonnais-je et son frère le mena jusqu’à moi qui venais de trouver une belle racine, pour m’y asseoir qu’il vienne recevoir sa fessée. Il  était empêtré dans son jean qui lui entravait les genoux.
« Lucien enlève lui son jean, complètement ! » et c’est avec son caleçon et le T-shirt qu’il se mit devant moi toujours à 4 pattes la tête basse son frère le tenant par la laisse avec satisfaction de l’avoir, lui, humilié ainsi, pour tout ce qu’il lui avait fait jusque là ! Je vais vers lui, prends une paire de ciseaux et découpe son T-shirt au milieu du dos et le  tire pour qu’il s’ouvre en deux que je lui enlève. « Tu fais moins le fier, Damien ! » je le vois rentrer la tête dans les épaules comme pour essayer de disparaître. « bien, maintenant, tu va commencer à recevoir ta punition. » Je m’assois, et fais signe  à Lucien de me le placer sur les genoux en position. Je passes la mains sur son pubis pour le positionner correctement, les fessés bien offertes, lui fais écarter un peu les jambes. « pour les insultes à tes parents, tu vas recevoir une fessée magistrale comme tu n’a jamais reçu ! pour ce que tu as fait subir à ton frère, il prendra ma place pour te fesser comme il en a envie, puis tu resteras au piquet mains sur la tête pendant que je te dirai la suite de ta punition. »
je commence à caresser un peu ces fesses pour en prendre la mesure, ce qui le fais frissonner, puis d’un coup une grande claque au milieu de la fesse gauche, suivie d’un Aaaaaïeeee, sans le laisser reprendre, je lui assène une série de dix au même endroit, il crie Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe ! ...'tez Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe ! « tu ne m’as pas l’air courageux » au fond, j’étais content du résultat, une seconde série de dix sur le milieu de l’autre fesse eut le même effet, puis je repris la première fesse en m’y attardant, toujours à peu près au même endroit, encore 10, 20, 30, claques, il gigotait, geignais, mais il n’était pas encore dompté. Changement de technique, toujours sur la même fesse, mais des claques fortes de partout. En haut, au milieu, entre la cuisse et la fesse, une vingtaine de claques. Puis un répit de quelques secondes pour me permettre de lui baisser son caleçon. Il avait une fesse bien colorée, l’autre encore à peu près blanche si ce n’est un trait mauve au milieu venant de la cravache. 
Il retenait ses larmes pour ne pas craquer devant son frère, et pour montrer qu’il était un petit caïd, lui, un des meneurs de sa bande de voyous. D’un coup, je reprends les claques sur la fesse blanche, quelques unes bien fort réparties sur toute la surface. Plus rien ne le protège, maintenant ! et je vois se colorer sa fesse. Bien, encore deux douzaines et je reprends les claques très rapides toutes au même endroit en haut des fesses, presque le bas des reins. 10, 20, … 50, je le sens prêt à pleurer, je me mets à alterner les fesses à chaque fois sur la partie bien marquée et au bout de 50 il commence à avoir les larmes qui coulent, puis encore 10 et il se met à pleurer, je continue encore mais en allant de partout sur les fesses surtout là où je n’étais pas encore allé en variant les claques fortes et moins fortes. Il continue à sangloter, entre deux pleurs, j’entends « pa… rdon, par…don, je l … ’refrai plus, j … j’su … j’suis dés…olé, par … don Lu … cien » j’arrête alors de frapper, et attends une minute, il bouge plus, il est effondré « allons, Damien, montre toi comme un homme, tu peux pleurer, c’est pas grave, mais reconnais tes erreurs – Oui, Lucien, … tout ce que tu as dit … est … est vr … vrai, et en plus je suis méchant … avec nos vieux, … les insultes, les méchancetés, … tout enfin. » Et de lui donner encore une série de 30 claques en alternant les fesses. Il repart à sangloter, j’ai réussi à le briser, mais ce n’est pas fini pour autant. Je lui dis de se mettre au piquet, toujours à genoux, jambes légèrement écartées, je lui enlève collier et lui délie les mains. Que je lui ordonne de garder sur la tête. Il pleure encore, et je vois Lucien vouloir aller le réconforter, je l’en empêche, ce n’est pas le moment. D’un air triste, Lucien viens à côté de moi et m’interroge du regard.  
« Oui, Lucien, c’est à toi de le fesser, mais laisse le encore un bon quart d’heure réfléchir sur ses erreurs, il faut qu’il en prenne la mesure pour ne pas recommencer. – je sais pas si j’en ai encore envie, à voir comment il est maintenant, il me fais pitié – Non, Lucien, il doit comprendre que tu es son grand frère, qu’il a dépassé les limites avec toi et que tu es juste, sévère, mais juste. Il a fait des fautes, il doit en subir les conséquences. Tu dois devenir sa référence, dans la vie. Moi je suis là pour t’aider à le lui faire comprendre, je serai toujours là pour le fesser, mais toi tu vas lui donner les règles qu’il n’a jamais eu, et les limites à ne pas franchir ! Sur ce, en place, Lucien, je te le fais venir … et pense aux punitions que tu as eues à sa place ! » 
Après avoir remotivé Lucien, je l’ai poussé sur la racine et forcé à s’asseoir, l’ai positionné comme il faut pour que son frère soit bien placé sur ses genoux « comme ça, et je te dis que ce ne sera que la première fois, il y en aura d’autres. » Je suis allé à coté de Damien, l’ai pris par l’oreille, « reste à genoux, morveux, ton frère t’attends, il va t’apprendre le respect ! – Aïee, j’mal, p’tié, pour l’instant, tais toi, et tu vas aller prendre la punition de Lucien pour tout ce que tu lui a fait. » Je le fais marcher à genoux en le tirant par l’oreille et le place devant son frère. « En position ! », le voyant pas trop décidé, je prends la cravache et …zip ! « ouaaaaaille »un coup sur les cuisses suivi d’une belle trace rose. Voyant que j’allais lui en donner jusqu’à ce qu’il m’obéisse, et n’étant plus très courageux, il se positionne sur les genoux de son frère, je lui remonte un peu les fesses pour qu’elles soient bien placées, je lui écarte légèrement les jambes, m’attarde un peu à lui caresser les fesses. 
« A toi, Lucien, corriges moi cet insolent » et d’encourager Lucien qui n’en menais pas large. Sans prévenir, une grande claque tombe sur les fesses de Damien, au milieu, pus vite une seconde, et bientôt dix, 15, 20, 30, décidément Lucien apprends vite, il se remémore les scènes de punitions qu’il a subi, et Damien de se trémousser pour essayer d’échapper à son frère qui d’une main le replace correctement et le bloque, « ah, Damien, tu vois ce que je suis obligé de faire, c’est pour ton bien, tu me remercieras plus tard, … je vais t’apprendre, moi, à être méchant avec moi » et encore une série de claques bien placées, ponctuées comme à chaque fois des « aïe, nooon » et Damien se remets à pleurer ses fesses sont en feu, violacées, et Lucien continue, maintenant, il répartit ses claques sur tout le fessier, en haut, en bas, et reviens souvent au milieu. Il en est à une centaine et là, Damien ne pleure plus, il gémit. Je fais signe à Lucien qu’il peut arrêter, encore une, deux « Allez, p’tit frère, relève toi – oui, debout et retourne au piquet comme un merdeux, les mains sur la tête et les jambes écartées, on va décider de la suite. » il va, comme brisé par toutes ces humiliations, passe encore la fessée par un inconnu, mais il n’aurait pas pensé que son frère, lui fasse aussi mal, à la fois sur son cul déjà bien rougi, mais aussi à sa fierté, qui en a pris un sacré coup !
« Damien, tu vois ce qu’il en coûte de ne pas être correct avec ton frère ! je pense que tu as compris que tu n’a rien a gagner de continuer. A partir de maintenant, je vais donner a ton frère les règles de vie que tu devras suivre, déjà, il va falloir lui obéir, je ne serai jamais loin pour te corriger ! – Euh ? sniiif, j…e, s’raisag, promis, je vais ap…prendre, j’veuxdir’, Lu…cien, p’rdon, …cuse moi, j’avais pas …compris, pardon Lul, mon …fr…ère. – Bon, ça va, si tu te tiens bien, je serai toujours la pour toi, je t’aimes bien moi, p’tit con ! ».
Je me tourne vers Lucien et lui demande où ils vivent « Moi, j’ai ma maison, et je suis seul en ce moment, Damien est chez les parents. – Alors, prends le chez toi quelques temps, Je viendrai demain le voir pour la suite des punitions, d’ici, là, il ne doit pas sortir de sa chambre, sauf pour t’aider dans les tâches ménagères, OK ? tu avertis tes parents qu’il viens passer quelques jours chez toi. Pas plus. Pour les habits, il est puni, il n’a droit à rien tant qu’il est dans sa chambre, nu comme un ver, ça le fera réfléchir, quand il sort de la chambre, c’est en slip blanc, pas ses caleçon, j’en veux pas !je vous donnerez les règles qu’il devra respecter, à la fin de sa punition, c’est moi qui déciderai de ce moment et qui t’aiderai à faire respecter les règles. Pense qu’on a encore un petit compte à régler tous les deux, mais pas devant ton frère. »
« Damien, viens ici, devant moi de suite, – j’arrive, m’sieur – met ton jean pour aller jusque chez Lucien, puis chez lui, tu restera puni dans ta chambre à poils, attention, il notera tous manquements  qui seront sanctionnés, à demain morveux ! pour la suite de ta punition. Allez Lucien, à demain, je t’appellerai »

La correction de Damien - Présentation

Comme à mon habitude, je regarde sur les serveurs pour voir s’il n’y a pas de soumis en quête de fessée, et l’un des boys présents me contacte. Il a comme pseudo « pourvous » et recherche un maître pour le fesser, et éventuellement s’occuper de lui pour une éducation stricte. Il me dit avoir 35 ans, et aimer se faire maltraiter. Il me dit même que si on ne le corrige pas il se laisse aller et fait plein de bêtises. Après un petit échange, il est décidé de se rencontrer pour un premier contact. Il s’appelle Lucien et je lui donne rendez-vous dans mon lieu habituel.
Au jour indiqué, je me rends au rendez vous en préparant la séance de punition, j’ai pris un martinet léger, un petit paddle, la cravache et des cordelettes. Puis je me dis on verra bien ce qu’il me raconte. Je définirai le degré de punition d’après les bêtises qu’il va m’avouer et je vais commencer par une bonne humiliation, ce qui le mettra en situation d’infériorité et après …
J’en étais là de mes pensées quand j’arrive, je me gare et trouve … non pas un mais 2 hommes l’un plus jeune (environs 20 - 25 ans) l’autre une dizaine d’années de plus, ils se ressemblent, mêmes cheveux mi longs châtains, mêmes yeux bleus, à peu près même taille, … En me voyant arriver, le plus âgé sort de la voiture avec un demi sourire, le second reste dans la voiture en faisant la tête, il n’a pas l’air content de se trouver là. 
« Bonjour Maître, je suis Lucien – me dit-il tête baissée – et voici mon petit frère Damien. ». Sur la défensive, je réponds « Oui, et ? » je laisse venir pour me faire une opinion. 
« En fait, – reprend-t’il – c’est pour lui que je Vous ai contacté, il a besoin d’être puni sévèrement parce qu’il n’arrête pas de faire des bêtises et qu’il prend un mauvais chemin. Je cherchais un maître pour lui redonner une bonne éducation. Si vous acceptez ? » Durant tout cet échange, Damien, donc, est resté dans la voiture en regardant de l’autre côté d’un air suffisant et en signe de bravade contre son frère. 
« Dis moi, Lucien, quel âge a ton frère ? – 21, Maître – Et c’est grave, les bêtises qu’il a commis ?  oui, se sont des fautes sérieuses, Maître. – Bon, je vais voir avec lui. – Il n’est pas commode, Maître, quand il fait sa mauvaise tête. – C’est pas à lui de décider, non ? » En disant çà ; je vais à sa voiture, ouvre la porte à Damien et lui demande de sortir. Il me tourne la tête et m’ignore. Je sens que je vais m’amuser avec lui ! Je pince son oreille fortement et le tire hors de la voiture.  « Aaaaaïeee ! – Tais toi morveux et sors vite avant que je me fâche ! »  Surpris autant par le ton sec que j’ai employé que par le geste, il sors et commence à gigoter. Je le tiens fermement à son oreille droite et Paf je lui colle une faire de gifles « Aïe, arrête tu … » et une seconde paire tombe Paf, « La ferme, morveux ! » et je le mène, en le tenant par l’oreille jusqu’à côté de son frère.« Maintenant, à genoux, si tu ne veux pas que je t’en colle une autre !» lui dis-je en le tirant par l’oreille vers le bas. L tente de se libérer en gigotant et me tirant avec sa main, et une autre paire de claques part, il a les joues qui commencent à rosir, sans le lâcher, je lui en colle une sur les fesses et là, sous l’effet de la surprise, il se met à genoux. « Bien, tu commence à comprendre que c’est moi qui commande ! – je t’emmerde ! » Et une nouvelle paire de gifle qui part. « baisse la tête, Damien ! et mets les mains sur la nuque ! »  
Je me tourne vers son frère, « bien, à nous deux, maintenant ! Surveille le bien qu’il ne bouge pas je vais chercher de quoi m’occuper de vous – ? – Tu m’as quand même menti, mais on verra ça plus tard. » 
Je m’écarte un peu et je vois Damien sourire de ce que je venais de dire à son frère, il a compris que s’il allait recevoir une correction, son frère en aurait aussi. Mais il ne savait pas encore ce que je prévoyais pour lui.  Il aurait sûrement du mal à s’asseoir pendant 2 à 3 jours.
Je récupère le sac avec le matériel préparé et je retourne vite fais auprès des deux frères qui se regardent sans trop savoir ce qui va se passer maintenant. Lucien semble se dire, je suis peut être allé trop loin, mais je ne sais pas comment m’en sortir. C’est son problème, ils sont là et ils seront servis selon leurs erreurs. 
Je reste un petit moment à les regarder, ils sont mignons l’un debout, bras ballants, essayant de se donner une contenance, moulé dans un petit débardeur rouge et un bermuda en jean, des basquets pas trop propres, l’autre à genoux les mains croisées sur la nuque un T-shirt blanc de marque assez moulant aussi, un pantacourt en jean taille basse laissant voir son shorty bariolé regardant son frère droit dans les yeux, un sourire narquois au lèvres comme pour dire tu vas y passer aussi , mais on lisait quand même une petite inquiétude quant à ce qui allait lui arriver, j’ai bien compris que c'était nouveau pour lui et qu’il ne s’était jamais fais remettre à sa place.
Le temps de lui apprendre qui est le maître est venu. J’arrive à côté d’eux, me tourne vers Lucien et lui dit en lui tendant le sac « prends une cordelette et attache les mains à ton frère » et je prends la cravache et en la montrant à Damien je lui dis « je te surveille, si tu ne laisses pas ton frère faire ce qu’il doit faire, tu va goûter de ma cravache, je vais te montrer ce qu’elle peut faire » et de lui donner un bon coup sur les fesses « Ouaille, tu m’a fais m… » et sans laisser finir  un second coup lui tombe au même endroit « Tout d’abord tu vas me dire vous, et baisser la tête, et je ne veux pas t’entendre si je ne t’ai pas adressé la parole ! » et zip une troisième coup viens ponctuer ma phrase encore au même endroit. « aïee, mais je … »voyant la cravache se lever pour frapper, il laisse en suspend sa phrase. « Bien, on va passer aux choses sérieuses ! » Entre temps, Lucien avais pu lui attacher les poignets solidement et mais toujours posés sur sa tête. Lucien avait profité des coups de cravache pour faire ce qu’il avait à faire. « Voilà, Maître, et maintenant ? – Baisses lui son jean, qu’il tombe à ses genoux – bien Maître » et Lucien de dégrafer le bouton du jean de son frère qui se tortillait pour qu’il n’y arrive pas voyant çà, d’une main je lui ai bloqué les poignets sur la tête et de l’autre lui ai redonné deux coups de cravache sur les omoplates « tu n’as rien a dire, c’est moi qui donne les ordres, tu vas augmenter ta punition à chaque fois que tu vas essayer de t’y soustraire, merdeux ! »Il n’a pas répliqué, je pense qu’avec les baffes qu’il s’est pris, ses joues sont en feu, et il cherche à éviter d’en prendre d’autres. Lucien lui a défait sa braguette et a fait descendre le jean à ses genoux. Il ne lui reste que son caleçon bariolé aux couleurs fluo jaune, vert et rouge, et son T-shirt. 
« Maintenant, Lucien, à toi de me donner la liste de ses fautes pour que je juge de la sévérité de la punition à donner à Damien. Mets toi à genoux à côté de lui, que je vous ai tous les deux en face. Racontes-moi dans le détail ! »
Lucien se met dans la position demandée, regarde son frère, hésite un peu, passes sa main pour bien faire poser par terre le jean de Damien, et lui jette un dernier regard triste, se tourne vers moi et commence : « Voilà, Maître, depuis que Damien est petit, les parents lui passent tous ses caprices. Jamais il n’a été puni, par contre, … moi si, souvent par mon père, à coups de ceinture, et même quand c’était Damien qui faisait une bêtise, il s’arrangeait toujours pour que ce soit moi qui prenne. … Puis il a grandi, et il s’est mis à faire n’importe quoi, et de plus en plus. Maintenant qu’il est majeur, personne ne peut le raisonner, et il me donne beaucoup de soucis, je l’aime, c’est mon frère, c’est pourquoi je me suis mis à la recherche d’un maître qui le prenne en mains pour le ramener sur le bon chemin. – Merci pour ces précisions, viens en aux faits – voilà, maître, les fautes les plus importantes à mes yeux sont qu’il s’est mis à insulter les parents – c’est pas vrai ! – tais toi ! tu parleras quand on te le dira – Aïe, …Aiiïe, nooon !» je viens de lui donner 2 bons coups de cravache au milieu des fesses, bien cinglants, qui ont fait bouger tout son corps sous l’effet de surprise. « à chaque fois que tu interrompra ton frère, c’est ce qui va t’arriver, morveux !, continue, Lucien – c’est tellement devenu normal qu’il ne s’en rends pas compte mais quand il les insulte, leur crie après, j’ai toujours peur qu’il en vienne à les frapper ! mais c’est pas tout, il traîne aussi avec des jeunes qui font des petits trafics : piquer dans les voitures, dans les sacs, dans les magasins, et je n’ai pas tout vu !  pas de travail, pas envie de chercher, il raquette un peu les parents et moi aussi. D’ailleurs, plusieurs fois je les ai entendus en parler, ils ont peur de lui, maintenant ! Voilà le plus important. »
« Bon, c’est un bien mauvais portrait que ton frère à fait de toi, morveux, - Je m’appelle Damien – Je sais mais pour moi tu n’est qu’un sale morveux. Je te laisse une chance de réduire la punition, qu’as tu à dire pour ta défense après ce que Lucien a dit ? – C’est dégueulasse, tout ce qu’il a pu dire, il m’a suivi, espionné, c’est pas correct. C’est un malade, j’y suis pour rien si les parents m’ont toujours plus aimé que lui. Je suis bien contentent d’apprendre qu’il a toujours été puni à ma place ! Je mène ma vie comme je veux, tant pis si certains ne sont pas contents, j’m’en moque ! » pas une once de remords dans la voie. 
Je les regarde tous les deux, et annonce : « Damien, sale morveux, tu vas recevoir une punition exemplaire. » Je sais que je vais le fesser, lui faire donner une petite fessée par Lucien, ce sera très humiliant, puis continuer avec le paddle et finir avec le martinet pour qu’il soit  complètement  cassé. Une fessée à Lucien pour m’avoir menti, mais après.