vendredi 13 août 2010

L'arrivée de Romain

Je passe voir les 2 frères pour leur donner l’information, et voir si tout se passe bien. Il est 21h30 et je trouve Lucien sur le canapé en train de regarder la télé et Damien à genoux, mains sur la tête, jambes écartées, je peux voir que les traces de la strap commencent à partir, il va pouvoir reprendre ses activités, et aller voir ses parents. Il ne tourne pas la tête quand je rentre, je fais signe à Lucien de ne rien dire, je vais doucement derrière Damien et lui attrape les cheveux, en les tirant « alors, il se passe quoi ici, en mon absence ? - Aïe, maître, je suis puni, maître - je vois bien, dis moi pourquoi ? - Euh, … je, …, j’ai insulté l’autre, la bas, ce … , il voulait que je nettoie ! Que je fasse la vaisselle, non mais et puis quoi encore ? Il m’a bien regardé lui ! Il m’a puni, sans manger depuis ce matin et ¼ d’heure de piquet toutes les 2 heures, il m’a même donné une baffe ! - Ouille, il a eu raison, il va falloir que tu lui fasse des excuses, et que tu devienne sage avec Lucien, je ne le tolérerai pas plus longtemps, vous étiez si mignon la dernière fois que je suis passé  ! - nan, je lui f’rai pas d’excuses à ce gros cochon - tu dois m’obéir, - a vous oui, maître, pas à lui - insolent que tu es, à lui aussi ! Et tu va m’obéir de suite, mets toi face à ton frère ! Pourquoi cochon  ?  Il arrête pas de me câliner, il veux que je le caresse, il veut me … heu… sucer, - et tu n’aimes pas ? - ben, heu, oui j’aimes ça, mais j’ai la haine contre lui, je me retrouve ici, à cause de lui, - Tout d’abord, si tu es ici, c’est à cause de tes bêtises, ton frère t’aimes et il ne veut pas que tu agisses mal, en plus, je lui ai donné toute autorité sur toi en mon absence, donc lui désobéir, c’est me désobéir. Tu mérites une punition. Mais d’abord, va t’excuser, demandes lui pardon. De plus, il a raison, tu vas mieux, tu dois travailler, comme prévu, faire les tâches qu’on a décidé. » 
Je le pousses devant son frère, toujours à genoux, il baisse la tête, hésite, je lui donne une paire de gifles bien fort, il me regarde avec son air triste, et dit « Lucien, j’aurais pas du te faire ça, tu essaye de m’apprivoiser, et moi je me rebelle, mais ne m’en veux pas, je ne suis pas encore aussi gentil que tu le voudrais. … merci d'essayer de me rendre meilleur. - Bien, tu peux mieux faire, mais bon. Tu vas commencer par le sucer comme il faut, en geste de soumission, et tu le fais jouir puis tu avales, je te regarde ! » il me regarde, regarde Lucien, me regarde, puis commence à prendre en bouche la queue de son frère. Il s’applique à bien le lécher, le long de la queue, descend sur les couilles, qu’il met en bouche, l’une, l’autre, reviens à la première, remonte au sommet du gland, on voit l’excitation de Lucien qui lui prends la tête pour bien lui enfoncer son membre au fond de la bouche, et Damien de se concentrer, il prends en main le paquet de son frère le malaxe délicatement et n’en pouvant plus, Lucien explose dans la bouche de son frère avec un râle de plaisir. Le sperme coule par terre, Damien s’est brusquement reculé. Je lui colle une paire de baffes « tu vas me nettoyer ce que tu as laissé tomber ! Avec ta langue ! » il me regarde tristement, et s’exécute. 
Quand c’est fini, je le fais venir à moi, il tremble, « viens recevoir ta punition, maintenant » je le tire par l’oreille jusqu’à une chaise, je m’y assoie dessus et lui montre mes genoux, il s’installe pour la fessée. « Tu sais que je ne te laisserai rien passer, surtout pas la désobéissance et la fainéantise, ton cul va comprendre la leçon » et je commence la fessée, il gigote peu, résigné, je commence par deux séries de claques fortes sur la fesse gauche, toutes au même endroit, il crie un peu, je continue de malmener sa fesse gauche encore 10 puis 20 claques. Je le sens se raidir à chaque claque, il commence à comprendre que je veux le faire pleurer, je change de fesse et c’est reparti pour 10 puis 20 puis jusqu’à 50 claques, il a du mal a ne pas crier mais il résiste, je sens qu’il veut faire son dur ! Je me mets à claquer en alternance les 2 fesses toujours au même endroit qui devient très vite violet il commence à renifler, j’augmente la puissance des claques, je varie le temps entre les claques pour le perturber, il y a déjà plus de 20 minutes qu’il reçoit, il renifle plus fort je reprends la fesse gauche et claque bien fort au centre, et d’un coup, il éclate en sanglots, je ne m’arrête pas pour autant, « Bouuuh, s’cusez, … bouuuuh, moi, … boouuuh, ouuuuuh, oinnnn, pardon, … pardon… je serai sage, obéissant, pardon, » une claque à chaque mots. Il a déjà reçu plus de 150 claques. J’arrête net. « Lucien portes moi la cane ! - NOÔOON - fermes là Damien ! » Je me lève, le mets à genoux, lui colle deux paires de baffes, il pleure de plus belle. « Voilà la cane, maître, - alors vas-y, punit le, qu’il comprenne que tu as tous les droits sur lui tant que j’en aurais décidé ainsi ! Tu as compris crapule ? - snif, boouuuh, bouuh, ouuuh, ouuui, bouuuh, maître » et Lucien commence avec la cane. Des coups qui marquent bien après la fessée ! Mais il donne surtout sur les cuisses, le haut des cuisses, 5, 10 à chaque fois zwip « aaaïlle, pardon, pitié » puis 20, 30, zwip « noon, p’donne moi » zwip « ‘rrète, l’r’frais plus » zwip « bouuuh, ouuu, s’rai sag, bouuuh » et là Lucien qui est encore à poils se met à avoir une érection, plus il frappe, plus elle grandit. A 50 coups, je l’arrête, Damien est à bout, il ne pleure plus, il gémit, « va au piquet mains sur la tête » on peut ainsi voir Damien jambes légèrement écartées, le cul violet, les  cuisses zébrées. Il faut qu’il obéisse à son frère, surtout parce que je ne peux pas faire venir un autre puni tant qu’il n’est pas soumis à son frère.
« Lucien, viens ici, j’ai à te parler  ! »  Et on s’installe face cul rouge de Damien. « Le premier de la liste, Rachid, va partir chez ses cousins au Maghreb, pour apprendre l’obéissance, son père l’a puni à la ceinture, il n’est pas prêt de recommencer - Bonne nouvelle - Oui, par contre, Demain, je vais revenir, mais pas seul, j’aurais sûrement Romain avec moi, pour commencer sa punition. Il va falloir que notre Damien se tienne bien. Et qu’il ne nous fasse pas de caprices comme aujourd'hui - j’en fais mon affaire, il restera attaché s’il n’est pas sage ! - tu as entendu Damien, - houuu, oui, maître, je promets d’être sage, - sinon, tu sera puni, en fonction de la gravité de ta faute. Viens ici, je te pardonne tes bêtises, - Vrai ? - oui, mais ne recommence pas, sinon je serai très sévère avec toi. viens ici. » Il viens en courant dans mes bras, « merci, maître, vous êtes dur, mais juste. - Romain ? Vous allez le faire venir ? Il s’ra puni ? - Oui, mon Damien - Génial, je ne crains plus rien, alors, vous me protégerez ! - Oui, Damien, - Parce que c’est lui le plus méchant, il nous fait tous marcher par la peur. - Je m’occuperai de lui, et tu le verra pleurer ! Par contre, tu dois être très sage, bien faire tout ce que Lucien te dira - je crois que j’ai compris la leçon, maître, je pense que vous me punirez encore, mais pas pour ça, - je ne te punirai que si tu le mérites ! Vilain Damien ! - merci, maître, merci de vous occuper de moi ! Je vous donne bien du soucis ! Je veux essayer d’être meilleur ! » et de se blottir dans mes bras.
Je les quitte pour aller m’occuper de Romain. J’arrive chez lui, sonne, et je vois un beau mec, assez mince, les yeux noisette, les cheveux brun, courts, un T-shirt de marque, blanc, un bermuda noir même marque, bien mis, propre sur lui. « Bonjour, Romain ? - Oui, Vous êtes ? - Peu importe, je peux entrer ? J’ai à vous parler, et je doutes fort que vous vouliez que les voisins entendent ce que j’ai à dire. - Entrez » 
Je rentre, jette un œil avise une table avec des chaises, m’installe sans attendre, pose mon dossier, et lui dit : « assied toi  ! » il faut prendre la main dès le début pour le dominer « Mais je ne vous connais pas ! - assied toi, dépêches toi, j’ai pas tout mon temps ! - Mais ? Je ? - grouille ! » il se met sur une chaise, je lui sort le dossier que j’ai sur lui. « Voilà ce qui m’amène, toi, et ta bande de crapules vous commettez des méfaits qui sont répréhensibles, donc, je venais te prévenir que ce dossier, où tout ce que tu as fait ces derniers jours, plus d’autres informations très précises, je me dois de le porter à la police. - Tout est faux là dedans ! - regardes le - et je lui montre certains documents avec photos très compromettantes » Je le vois blanchir, il se met à bredouiller, « J’ai une proposition à te faire - heu, oui ? - Si tu viens avec moi, je te punirai pour ces actes, mais je n’en parlerai pas à la police, ni à tes parents, bien sur. Par contre, s tu ne veux pas que je m’occupe de toi, pour une punition bien méritée, tu es libre, mais à ce moment là, j’informe tes parents, la police et aussi la presse. Tu feras la une des journaux ! Tu as le choix. Je te laisses réfléchir. - Pas la police, je veux pas, - c’est toi qui décide - mes parents, … non plus, mon père est un élu, je lui ferai du tord, il ne me le pardonnerais pas, … les journaux, c’est pire, le fils du député, un voyou ! Je vois déjà les titres dans le journal - c’est toi qui choisi. Je te préviens quand même, les punitions sont douloureuses et humiliantes, parfois plus, par contre si tu te comportes correctement, tu peux t’en sortir. Surtout que rien ne sera inscrit sur ton casier, ni dans la presse. Bien sur, si tu me fais trop de problèmes, j’ai toujours le dossier ! » 
Peu après, il vient avec moi, résigné, il a choisi de ne pas faire de vagues, même s’il a peur des punitions ! En plus, son appartement pourra nous servir comme base pour la future brigade, mais ne brûlons pas les étapes.    
J’arrive chez Lucien « Salut, les frères, regardez qui je vous ramène ! Il est doux comme un agneau ! - pas vrai Romain ? - heu, oui, peut être, … hé, Damien, salut ma poule ! Tu fais quoi ici ? - Ben, heu, tu sais je me suis fais prendre, aussi, pour tout ce qu’on a fait ensemble, et aussi d’autres bêtises que j’ai fait tout seul. - et les punitions, elles sont dures ? - regarde mon dos, j’ai dégusté ! J’essaye d’être à la hauteur. Je veux pas décevoir mon frère, ni le maître, ils me font confiance, maintenant, mais ça a été très dur. L’avantage, c’est que toutes nos conneries, ça reste entre nous, personne ne saura, tant qu’on se soumet à la discipline. - C’est bien pour ça que j’ai accepté de venir, même si je suis mort de trouille ! J’ai jamais été soumis à personne, j’me suis barré de chez mes vieux pour ça ! Je ne reste pas toujours avec la même copine, et tout le reste. De toute manière, je vais pas rester longtemps sans rien faire, ici ! Je vais te leur mettre une panique, tu vas voir. - Méfie toi, je disais ça, moi aussi ! Ça m’a coûté cher ! - Bon, les deux comiques, c’est fini la discute, viens Romain ! Je vais te donner les règles … - Vas pas, non ? Je reste pas plus longtemps dans ce lieu de fou, je vais en parler à mon père, et vous finirez en … Aaaaïe, … Ouilleeee … noooon, Aïeeee ! » deux paires de baffes une pour le faire taire, l’autre pour lui montrer dès le début qu’il doit m’obéir. Je me saisis de la cane fine, et commence à lui donner des coups sur les mollets, il danse sous les coups « Ooille, … Aïiiillle, … NOOON, … T’es maaaaaaalade, … va pas bieeeeeen, … iiiii, … naan, … maaaaais … ‘rrête, … f’mal, … » et encore c’est un échantillon pour qu’il se calme ! Au bout d’une cinquantaine de coups , les mollets bien zébrés « Alors, Crapule, tu comprends qu’il faut te calmer  ! Viens ici que je te conne les règles de vie dans la maison » il viens en se massant les mollets, va pour s’asseoir, « je ne t’ai pas permis de t'asseoir, reste debout ! Tu vas apprendre à m’obéir, et à Lucien aussi ! Viens à côté, Lucien, assieds toi. Je crois que notre ami a beaucoup à apprendre !  Pour l’instant, jusqu’à ce qu’il soit puni pour ses méfaits, il va rester attaché à la corde de punition. Je ne veux pas que vous le détachiez sous aucun prétexte, j’ai dis aucun. OK Lucien ? - oui maître - Damien, viens ici, tu as entendu, c’est ton copain, mais je ne veux pas que tu le détaches, c’est OK ? Sinon, tu sais ce qui t’attend ! - OK maître, je vous obéirai. - alors exécution  ! »
J'attrape Romain pour que Lucien lui passe une paire de menottes que j’avais trouvé, que Damien lui mette un collier et y attache une laisse, je le prends par la laisse, le traîne dans le salon, attache les menottes à la corde, lui attache les pieds, et je tends la corde jusqu’à ce qu’elle soit tendue, ses bras en hauteur, de sorte qu’il soit juste tendus pour qu’il ne puisse pas bouger. « je veux qu’il boive autant qu’il en a envie, il ne doit pas se déshydrater ! S’il a faim, Damien tu le feras manger. S’il a envie de pisser, tu lui fais faire dans une bouteille - bien maître - allez, et à demain. » 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire