Me tournant vers Damien, je lui dis « sais tu ce qu’il va t’en coûter, quelle punition pour toutes ces fautes que tu as commises ? – Je ne sais pas, encore quelques coups de ce machin là ? – je t’ai dis une correction exemplaire c’est à dire que tu vas déjà venir sur mes genoux pour une bonne fessée comme tu la mérites. Lucien, regarde dans mon sac, il y a un collier avec une laisse, place le lui et tire le par la laisse jusqu’à moi – Nooon, je ne suis pas un chien ! ».
Et un, aïe…, deux, ouille, trois, … no, quatre, …, c’est b…, cinq, arrêeeeete, six, on dit arrêtez, maître s’il vous plaît, ?…, sept, snif,…no… huit, … neuf, et un dixième coup de cravache. Tous bien posés au milieux des fesses à peu près au même endroit bien fort pour le casser. « alors ? tu obéis sale morveux ? - … o … ou … oui … une paire de claque pour varier les plaisirs – Oui qui ? – oui monsieur ? … ma … maître ? – bien, alors laisses toi faire par ton frère » Il avait perdu de sa morgue, il était en sueur, les larmes aux yeux prêtes à sortir, il est vrai que je ne l’avais pas ménagé, mais il n’avais encore rien vu ! Lucien lui a mis le collier, « à 4 pattes » lui ordonnais-je et son frère le mena jusqu’à moi qui venais de trouver une belle racine, pour m’y asseoir qu’il vienne recevoir sa fessée. Il était empêtré dans son jean qui lui entravait les genoux.
« Lucien enlève lui son jean, complètement ! » et c’est avec son caleçon et le T-shirt qu’il se mit devant moi toujours à 4 pattes la tête basse son frère le tenant par la laisse avec satisfaction de l’avoir, lui, humilié ainsi, pour tout ce qu’il lui avait fait jusque là ! Je vais vers lui, prends une paire de ciseaux et découpe son T-shirt au milieu du dos et le tire pour qu’il s’ouvre en deux que je lui enlève. « Tu fais moins le fier, Damien ! » je le vois rentrer la tête dans les épaules comme pour essayer de disparaître. « bien, maintenant, tu va commencer à recevoir ta punition. » Je m’assois, et fais signe à Lucien de me le placer sur les genoux en position. Je passes la mains sur son pubis pour le positionner correctement, les fessés bien offertes, lui fais écarter un peu les jambes. « pour les insultes à tes parents, tu vas recevoir une fessée magistrale comme tu n’a jamais reçu ! pour ce que tu as fait subir à ton frère, il prendra ma place pour te fesser comme il en a envie, puis tu resteras au piquet mains sur la tête pendant que je te dirai la suite de ta punition. »
je commence à caresser un peu ces fesses pour en prendre la mesure, ce qui le fais frissonner, puis d’un coup une grande claque au milieu de la fesse gauche, suivie d’un Aaaaaïeeee, sans le laisser reprendre, je lui assène une série de dix au même endroit, il crie Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe ! ...'tez Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe ! « tu ne m’as pas l’air courageux » au fond, j’étais content du résultat, une seconde série de dix sur le milieu de l’autre fesse eut le même effet, puis je repris la première fesse en m’y attardant, toujours à peu près au même endroit, encore 10, 20, 30, claques, il gigotait, geignais, mais il n’était pas encore dompté. Changement de technique, toujours sur la même fesse, mais des claques fortes de partout. En haut, au milieu, entre la cuisse et la fesse, une vingtaine de claques. Puis un répit de quelques secondes pour me permettre de lui baisser son caleçon. Il avait une fesse bien colorée, l’autre encore à peu près blanche si ce n’est un trait mauve au milieu venant de la cravache.
Il retenait ses larmes pour ne pas craquer devant son frère, et pour montrer qu’il était un petit caïd, lui, un des meneurs de sa bande de voyous. D’un coup, je reprends les claques sur la fesse blanche, quelques unes bien fort réparties sur toute la surface. Plus rien ne le protège, maintenant ! et je vois se colorer sa fesse. Bien, encore deux douzaines et je reprends les claques très rapides toutes au même endroit en haut des fesses, presque le bas des reins. 10, 20, … 50, je le sens prêt à pleurer, je me mets à alterner les fesses à chaque fois sur la partie bien marquée et au bout de 50 il commence à avoir les larmes qui coulent, puis encore 10 et il se met à pleurer, je continue encore mais en allant de partout sur les fesses surtout là où je n’étais pas encore allé en variant les claques fortes et moins fortes. Il continue à sangloter, entre deux pleurs, j’entends « pa… rdon, par…don, je l … ’refrai plus, j … j’su … j’suis dés…olé, par … don Lu … cien » j’arrête alors de frapper, et attends une minute, il bouge plus, il est effondré « allons, Damien, montre toi comme un homme, tu peux pleurer, c’est pas grave, mais reconnais tes erreurs – Oui, Lucien, … tout ce que tu as dit … est … est vr … vrai, et en plus je suis méchant … avec nos vieux, … les insultes, les méchancetés, … tout enfin. » Et de lui donner encore une série de 30 claques en alternant les fesses. Il repart à sangloter, j’ai réussi à le briser, mais ce n’est pas fini pour autant. Je lui dis de se mettre au piquet, toujours à genoux, jambes légèrement écartées, je lui enlève collier et lui délie les mains. Que je lui ordonne de garder sur la tête. Il pleure encore, et je vois Lucien vouloir aller le réconforter, je l’en empêche, ce n’est pas le moment. D’un air triste, Lucien viens à côté de moi et m’interroge du regard.
« Oui, Lucien, c’est à toi de le fesser, mais laisse le encore un bon quart d’heure réfléchir sur ses erreurs, il faut qu’il en prenne la mesure pour ne pas recommencer. – je sais pas si j’en ai encore envie, à voir comment il est maintenant, il me fais pitié – Non, Lucien, il doit comprendre que tu es son grand frère, qu’il a dépassé les limites avec toi et que tu es juste, sévère, mais juste. Il a fait des fautes, il doit en subir les conséquences. Tu dois devenir sa référence, dans la vie. Moi je suis là pour t’aider à le lui faire comprendre, je serai toujours là pour le fesser, mais toi tu vas lui donner les règles qu’il n’a jamais eu, et les limites à ne pas franchir ! Sur ce, en place, Lucien, je te le fais venir … et pense aux punitions que tu as eues à sa place ! »
Après avoir remotivé Lucien, je l’ai poussé sur la racine et forcé à s’asseoir, l’ai positionné comme il faut pour que son frère soit bien placé sur ses genoux « comme ça, et je te dis que ce ne sera que la première fois, il y en aura d’autres. » Je suis allé à coté de Damien, l’ai pris par l’oreille, « reste à genoux, morveux, ton frère t’attends, il va t’apprendre le respect ! – Aïee, j’mal, p’tié, pour l’instant, tais toi, et tu vas aller prendre la punition de Lucien pour tout ce que tu lui a fait. » Je le fais marcher à genoux en le tirant par l’oreille et le place devant son frère. « En position ! », le voyant pas trop décidé, je prends la cravache et …zip ! « ouaaaaaille »un coup sur les cuisses suivi d’une belle trace rose. Voyant que j’allais lui en donner jusqu’à ce qu’il m’obéisse, et n’étant plus très courageux, il se positionne sur les genoux de son frère, je lui remonte un peu les fesses pour qu’elles soient bien placées, je lui écarte légèrement les jambes, m’attarde un peu à lui caresser les fesses.
« A toi, Lucien, corriges moi cet insolent » et d’encourager Lucien qui n’en menais pas large. Sans prévenir, une grande claque tombe sur les fesses de Damien, au milieu, pus vite une seconde, et bientôt dix, 15, 20, 30, décidément Lucien apprends vite, il se remémore les scènes de punitions qu’il a subi, et Damien de se trémousser pour essayer d’échapper à son frère qui d’une main le replace correctement et le bloque, « ah, Damien, tu vois ce que je suis obligé de faire, c’est pour ton bien, tu me remercieras plus tard, … je vais t’apprendre, moi, à être méchant avec moi » et encore une série de claques bien placées, ponctuées comme à chaque fois des « aïe, nooon » et Damien se remets à pleurer ses fesses sont en feu, violacées, et Lucien continue, maintenant, il répartit ses claques sur tout le fessier, en haut, en bas, et reviens souvent au milieu. Il en est à une centaine et là, Damien ne pleure plus, il gémit. Je fais signe à Lucien qu’il peut arrêter, encore une, deux « Allez, p’tit frère, relève toi – oui, debout et retourne au piquet comme un merdeux, les mains sur la tête et les jambes écartées, on va décider de la suite. » il va, comme brisé par toutes ces humiliations, passe encore la fessée par un inconnu, mais il n’aurait pas pensé que son frère, lui fasse aussi mal, à la fois sur son cul déjà bien rougi, mais aussi à sa fierté, qui en a pris un sacré coup !
« Damien, tu vois ce qu’il en coûte de ne pas être correct avec ton frère ! je pense que tu as compris que tu n’a rien a gagner de continuer. A partir de maintenant, je vais donner a ton frère les règles de vie que tu devras suivre, déjà, il va falloir lui obéir, je ne serai jamais loin pour te corriger ! – Euh ? sniiif, j…e, s’raisag, promis, je vais ap…prendre, j’veuxdir’, Lu…cien, p’rdon, …cuse moi, j’avais pas …compris, pardon Lul, mon …fr…ère. – Bon, ça va, si tu te tiens bien, je serai toujours la pour toi, je t’aimes bien moi, p’tit con ! ».
Je me tourne vers Lucien et lui demande où ils vivent « Moi, j’ai ma maison, et je suis seul en ce moment, Damien est chez les parents. – Alors, prends le chez toi quelques temps, Je viendrai demain le voir pour la suite des punitions, d’ici, là, il ne doit pas sortir de sa chambre, sauf pour t’aider dans les tâches ménagères, OK ? tu avertis tes parents qu’il viens passer quelques jours chez toi. Pas plus. Pour les habits, il est puni, il n’a droit à rien tant qu’il est dans sa chambre, nu comme un ver, ça le fera réfléchir, quand il sort de la chambre, c’est en slip blanc, pas ses caleçon, j’en veux pas !je vous donnerez les règles qu’il devra respecter, à la fin de sa punition, c’est moi qui déciderai de ce moment et qui t’aiderai à faire respecter les règles. Pense qu’on a encore un petit compte à régler tous les deux, mais pas devant ton frère. »
« Damien, viens ici, devant moi de suite, – j’arrive, m’sieur – met ton jean pour aller jusque chez Lucien, puis chez lui, tu restera puni dans ta chambre à poils, attention, il notera tous manquements qui seront sanctionnés, à demain morveux ! pour la suite de ta punition. Allez Lucien, à demain, je t’appellerai »
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