vendredi 13 août 2010

La correction de Damien - Présentation

Comme à mon habitude, je regarde sur les serveurs pour voir s’il n’y a pas de soumis en quête de fessée, et l’un des boys présents me contacte. Il a comme pseudo « pourvous » et recherche un maître pour le fesser, et éventuellement s’occuper de lui pour une éducation stricte. Il me dit avoir 35 ans, et aimer se faire maltraiter. Il me dit même que si on ne le corrige pas il se laisse aller et fait plein de bêtises. Après un petit échange, il est décidé de se rencontrer pour un premier contact. Il s’appelle Lucien et je lui donne rendez-vous dans mon lieu habituel.
Au jour indiqué, je me rends au rendez vous en préparant la séance de punition, j’ai pris un martinet léger, un petit paddle, la cravache et des cordelettes. Puis je me dis on verra bien ce qu’il me raconte. Je définirai le degré de punition d’après les bêtises qu’il va m’avouer et je vais commencer par une bonne humiliation, ce qui le mettra en situation d’infériorité et après …
J’en étais là de mes pensées quand j’arrive, je me gare et trouve … non pas un mais 2 hommes l’un plus jeune (environs 20 - 25 ans) l’autre une dizaine d’années de plus, ils se ressemblent, mêmes cheveux mi longs châtains, mêmes yeux bleus, à peu près même taille, … En me voyant arriver, le plus âgé sort de la voiture avec un demi sourire, le second reste dans la voiture en faisant la tête, il n’a pas l’air content de se trouver là. 
« Bonjour Maître, je suis Lucien – me dit-il tête baissée – et voici mon petit frère Damien. ». Sur la défensive, je réponds « Oui, et ? » je laisse venir pour me faire une opinion. 
« En fait, – reprend-t’il – c’est pour lui que je Vous ai contacté, il a besoin d’être puni sévèrement parce qu’il n’arrête pas de faire des bêtises et qu’il prend un mauvais chemin. Je cherchais un maître pour lui redonner une bonne éducation. Si vous acceptez ? » Durant tout cet échange, Damien, donc, est resté dans la voiture en regardant de l’autre côté d’un air suffisant et en signe de bravade contre son frère. 
« Dis moi, Lucien, quel âge a ton frère ? – 21, Maître – Et c’est grave, les bêtises qu’il a commis ?  oui, se sont des fautes sérieuses, Maître. – Bon, je vais voir avec lui. – Il n’est pas commode, Maître, quand il fait sa mauvaise tête. – C’est pas à lui de décider, non ? » En disant çà ; je vais à sa voiture, ouvre la porte à Damien et lui demande de sortir. Il me tourne la tête et m’ignore. Je sens que je vais m’amuser avec lui ! Je pince son oreille fortement et le tire hors de la voiture.  « Aaaaaïeee ! – Tais toi morveux et sors vite avant que je me fâche ! »  Surpris autant par le ton sec que j’ai employé que par le geste, il sors et commence à gigoter. Je le tiens fermement à son oreille droite et Paf je lui colle une faire de gifles « Aïe, arrête tu … » et une seconde paire tombe Paf, « La ferme, morveux ! » et je le mène, en le tenant par l’oreille jusqu’à côté de son frère.« Maintenant, à genoux, si tu ne veux pas que je t’en colle une autre !» lui dis-je en le tirant par l’oreille vers le bas. L tente de se libérer en gigotant et me tirant avec sa main, et une autre paire de claques part, il a les joues qui commencent à rosir, sans le lâcher, je lui en colle une sur les fesses et là, sous l’effet de la surprise, il se met à genoux. « Bien, tu commence à comprendre que c’est moi qui commande ! – je t’emmerde ! » Et une nouvelle paire de gifle qui part. « baisse la tête, Damien ! et mets les mains sur la nuque ! »  
Je me tourne vers son frère, « bien, à nous deux, maintenant ! Surveille le bien qu’il ne bouge pas je vais chercher de quoi m’occuper de vous – ? – Tu m’as quand même menti, mais on verra ça plus tard. » 
Je m’écarte un peu et je vois Damien sourire de ce que je venais de dire à son frère, il a compris que s’il allait recevoir une correction, son frère en aurait aussi. Mais il ne savait pas encore ce que je prévoyais pour lui.  Il aurait sûrement du mal à s’asseoir pendant 2 à 3 jours.
Je récupère le sac avec le matériel préparé et je retourne vite fais auprès des deux frères qui se regardent sans trop savoir ce qui va se passer maintenant. Lucien semble se dire, je suis peut être allé trop loin, mais je ne sais pas comment m’en sortir. C’est son problème, ils sont là et ils seront servis selon leurs erreurs. 
Je reste un petit moment à les regarder, ils sont mignons l’un debout, bras ballants, essayant de se donner une contenance, moulé dans un petit débardeur rouge et un bermuda en jean, des basquets pas trop propres, l’autre à genoux les mains croisées sur la nuque un T-shirt blanc de marque assez moulant aussi, un pantacourt en jean taille basse laissant voir son shorty bariolé regardant son frère droit dans les yeux, un sourire narquois au lèvres comme pour dire tu vas y passer aussi , mais on lisait quand même une petite inquiétude quant à ce qui allait lui arriver, j’ai bien compris que c'était nouveau pour lui et qu’il ne s’était jamais fais remettre à sa place.
Le temps de lui apprendre qui est le maître est venu. J’arrive à côté d’eux, me tourne vers Lucien et lui dit en lui tendant le sac « prends une cordelette et attache les mains à ton frère » et je prends la cravache et en la montrant à Damien je lui dis « je te surveille, si tu ne laisses pas ton frère faire ce qu’il doit faire, tu va goûter de ma cravache, je vais te montrer ce qu’elle peut faire » et de lui donner un bon coup sur les fesses « Ouaille, tu m’a fais m… » et sans laisser finir  un second coup lui tombe au même endroit « Tout d’abord tu vas me dire vous, et baisser la tête, et je ne veux pas t’entendre si je ne t’ai pas adressé la parole ! » et zip une troisième coup viens ponctuer ma phrase encore au même endroit. « aïee, mais je … »voyant la cravache se lever pour frapper, il laisse en suspend sa phrase. « Bien, on va passer aux choses sérieuses ! » Entre temps, Lucien avais pu lui attacher les poignets solidement et mais toujours posés sur sa tête. Lucien avait profité des coups de cravache pour faire ce qu’il avait à faire. « Voilà, Maître, et maintenant ? – Baisses lui son jean, qu’il tombe à ses genoux – bien Maître » et Lucien de dégrafer le bouton du jean de son frère qui se tortillait pour qu’il n’y arrive pas voyant çà, d’une main je lui ai bloqué les poignets sur la tête et de l’autre lui ai redonné deux coups de cravache sur les omoplates « tu n’as rien a dire, c’est moi qui donne les ordres, tu vas augmenter ta punition à chaque fois que tu vas essayer de t’y soustraire, merdeux ! »Il n’a pas répliqué, je pense qu’avec les baffes qu’il s’est pris, ses joues sont en feu, et il cherche à éviter d’en prendre d’autres. Lucien lui a défait sa braguette et a fait descendre le jean à ses genoux. Il ne lui reste que son caleçon bariolé aux couleurs fluo jaune, vert et rouge, et son T-shirt. 
« Maintenant, Lucien, à toi de me donner la liste de ses fautes pour que je juge de la sévérité de la punition à donner à Damien. Mets toi à genoux à côté de lui, que je vous ai tous les deux en face. Racontes-moi dans le détail ! »
Lucien se met dans la position demandée, regarde son frère, hésite un peu, passes sa main pour bien faire poser par terre le jean de Damien, et lui jette un dernier regard triste, se tourne vers moi et commence : « Voilà, Maître, depuis que Damien est petit, les parents lui passent tous ses caprices. Jamais il n’a été puni, par contre, … moi si, souvent par mon père, à coups de ceinture, et même quand c’était Damien qui faisait une bêtise, il s’arrangeait toujours pour que ce soit moi qui prenne. … Puis il a grandi, et il s’est mis à faire n’importe quoi, et de plus en plus. Maintenant qu’il est majeur, personne ne peut le raisonner, et il me donne beaucoup de soucis, je l’aime, c’est mon frère, c’est pourquoi je me suis mis à la recherche d’un maître qui le prenne en mains pour le ramener sur le bon chemin. – Merci pour ces précisions, viens en aux faits – voilà, maître, les fautes les plus importantes à mes yeux sont qu’il s’est mis à insulter les parents – c’est pas vrai ! – tais toi ! tu parleras quand on te le dira – Aïe, …Aiiïe, nooon !» je viens de lui donner 2 bons coups de cravache au milieu des fesses, bien cinglants, qui ont fait bouger tout son corps sous l’effet de surprise. « à chaque fois que tu interrompra ton frère, c’est ce qui va t’arriver, morveux !, continue, Lucien – c’est tellement devenu normal qu’il ne s’en rends pas compte mais quand il les insulte, leur crie après, j’ai toujours peur qu’il en vienne à les frapper ! mais c’est pas tout, il traîne aussi avec des jeunes qui font des petits trafics : piquer dans les voitures, dans les sacs, dans les magasins, et je n’ai pas tout vu !  pas de travail, pas envie de chercher, il raquette un peu les parents et moi aussi. D’ailleurs, plusieurs fois je les ai entendus en parler, ils ont peur de lui, maintenant ! Voilà le plus important. »
« Bon, c’est un bien mauvais portrait que ton frère à fait de toi, morveux, - Je m’appelle Damien – Je sais mais pour moi tu n’est qu’un sale morveux. Je te laisse une chance de réduire la punition, qu’as tu à dire pour ta défense après ce que Lucien a dit ? – C’est dégueulasse, tout ce qu’il a pu dire, il m’a suivi, espionné, c’est pas correct. C’est un malade, j’y suis pour rien si les parents m’ont toujours plus aimé que lui. Je suis bien contentent d’apprendre qu’il a toujours été puni à ma place ! Je mène ma vie comme je veux, tant pis si certains ne sont pas contents, j’m’en moque ! » pas une once de remords dans la voie. 
Je les regarde tous les deux, et annonce : « Damien, sale morveux, tu vas recevoir une punition exemplaire. » Je sais que je vais le fesser, lui faire donner une petite fessée par Lucien, ce sera très humiliant, puis continuer avec le paddle et finir avec le martinet pour qu’il soit  complètement  cassé. Une fessée à Lucien pour m’avoir menti, mais après. 

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