vendredi 13 août 2010

Chez Lucien

Le lendemain matin je décide d’appeler Lucien pour avoir son adresse, et je prépare mon matériel pour aller voir mon puni, savoir s’il a été sage ou pas. 
Je me rends, donc, chez Lucien, il habite une petite villa avec un jardin derrière. Bien isolé de la vue des voisins. Ca me donne des idées, pour la suite. Il avais du me voir arriver, il m’ouvre, Il est en bermuda jean et un débardeur kaki. « Salut Lucien, comment va ? – A peu près, j’ai eu quelques problèmes avec Damien – Ah ? allez on va régler ça de suite ! » Je rentre et je vois Damien avec slip, à genoux dans un coin du salon. « Il m’a l’air sage comme ça ! – Oui, parce qu’il vous a entendu arriver, maître, il s’est dépêché de se mettre en position, mais il m’en a fait voir. » En effet, je le regarde et m’aperçois qu’il a des traces sur ses cuisses. « Tu as du le punir, a ce que je vois – Oui, quelques coups de ceinture, ce matin, pour qu’il me laisse tranquille. »
« Quand on est rentré hier, il est allé direct dans la chambre s’est allongé sur le lit et s’est endormi. Sans enlever son jean, comme demandé. J’ai eu pitié de lui, je lui ai enlevé son jean, je suis allé prendre de la pommade, et je lui en ai passé de partout sur ses fesses pour calmer la douleur. Il gémissait à peine et mes caresses ont même déclenché une petite érection. Je l’ai caressé, j’ai pris sa queue en main et me suis mis à le branler, il m’a laissé faire, en poussant des petits cris. Quand il a été bien raide, j’ai pris son membre en bouche, je l’ai sucé un peu, l’ai léché de partout sur sa queue, de haut en bas, de bas en haut, sur ses couilles, aussi j’ai sucé, et il gémissait de plus en plus alors j’ai bien pris sa queue dans la bouche, à fond, et je l’ai pompé goulûment, avec fougue, en lui massant les couilles, je l’ai senti se raidir et dans un demi sommeil, il a déchargé tout son foutre, que j’ai avalé jusqu’à la dernière goutte, puis je l’ai nettoyé de partout. Ensuite, je l’ai laissé dormir jusqu’à ce matin. C’était bon il y a longtemps que j’en avais envie, que je n’osais espérer et voilà, jamais j’avais fait çà à mon frère, lui qui est fier de se montrer avec plein de copines, je l’avais à ma merci, j’en ai profité. »
« Puis ce matin il s’est réveillé, grognon, il cherchait ses habits, il m’a appelé méchamment, il m’a regardé, et s’est mis à m’insulter, me dire que j’étais un salop, un pourri, que je ne devais pas le regarder, que je devais lui donner ses fringues, qu’il allait partir mais avant qu’il me casserai la gueule pour tout ce qu’il avait subi à cause de moi, et tout le reste. Je suis sorti de la chambre, l’ai enfermé à clé, suis allé chercher ma ceinture en cuir, de la corde et suis retourné le voir. Comme j’ai un peu plus de force que lui, je l’ai vite maîtrisé, je lui ai attaché les poignets, puis les chevilles, je l’ai alors jeté sur le lit, tourné sur le ventre je l’ai aussi attaché aux montants du lit pendant qu’il gigotait comme un ver, j’ai pris ma ceinture, l’ai pliée en deux et zip, Pourriiii, …  zip, nooOon, … zip, Paas l’droit, … zip, m’fait mal, … zip, aïe, …,zip, … j’étais furieux et j’ai donné au moins 30 coups ca tombais sur ses cuisses, ses fesses, son dos. Puis, je l’ai laissé sur son lit, suis sorti et ai fermé la porte à clé. Je ne voulais plus l’entendre, il est resté une bonne heure attaché. Je suis allé le chercher quand vous avez téléphoné, lui ai ouvert, l’ai détaché, il était calmé. Je lui ai dis de venir prendre son petit déjeuner et que vous alliez arriver. Ce qui l’a changé. Il s’est alors montré tout gentil, je crois qu’il vous craint. Et voilà, quand je vous ai ouvert la porte, il  s’est mis le caleçon et s’est mis à genoux et les mains sur la tête en attente. »
« Va me chercher ce morveux ! Mène le moi ici. » Et Lucien d’aller chercher son frère, « tu vas regretter ce que tu m’as fait, frérot »
« Bien, Damien, tu sais que je suis ici pour t’éduquer, te remettre sur le bon chemin et que tu n’a pas encore reçu l’intégralité de ta punition. J’apprends que tu t’es mal comporté avec ton frère, ça va augmenter la punition, et de plus, je vais vous donner les règles de vie que je veux vous voir appliquer. Lucien en sera le garant, et toi, morveux, tu as intérêt de lui obéir. Je viendrai très régulièrement et à l’improviste pour voir comment ça se passe. Lucien tiendra un cahier où il fera chaque soir la synthèse de la journée. – Je serai sage, je vous le promets – Tu as intérêt. Tu vas recevoir la correction pour la fainéantise.
Mais avant, pour ta rébellion envers ton frère, je vais te donner la fessée que tu mérites. Viens ici. » Je m’assois, lui montre mes genoux. Il semble hésiter un peu, je lève la main, résigné, il vient s’installer. Je le positionne correctement, lui écarte légèrement les jambes que ses fesses soient bien offertes. Je caresses légèrement pour préparer, il se détends un peu et une grande claque sur la fesse droite qui lui soulève un « AÔuille ! » pas le temps de se remettre, une seconde claque tombe au même endroit, puis une troisième sur l’autre fesse et une quatrième, 5, 6, … 10, Damien gigote un peu, crie à chaque fois des « Aïiiiiie » je passe alors un doigt sous l’élastique de son slip et d’un coup sec le lui baisse aux genoux, je le bloque bien et les claques repleuvent sur ses fesses qui se colorent rapidement d’un rouge sombre. Il crie toujours mais moins fort et surtout il fait des efforts pour ne pas pleurer, il a déjà reçu une soixantaine de claques. Je le sens prêt. Je me concentre sur la fesse droite 10, 20 claques bien fortes puis je change de rythme pour qu’il ne s’habitue pas, il commence à pleurer, encore une quinzaine de claques, il sanglote à présent ! je le relève, il se mets à genoux devant moi. « J’ai …compris, …suis désolé, sniiif, …le r’frais plus, je s’rais sage, … j’l’promets, - Damien, accepte ta punition, elle est méritée, et se sera comme ça à chaque fois que tu fera des fautes. Tu vas devoir obéir. Et pas qu’à moi, à Lucien, ton frère, aussi. » 
Je me lève, vais regarder les pièces de la maison. Lucien, me suit et me donne des indications sur les pièces. Le salon a deux poutres apparentes au plafond. Lucien me passe un escabeau pour monter en éprouver la solidité. J’y fixe deux crochets le plus solidement possible, passe une corde dans les crochets que je laisse pendre des deux côtés pour y attacher Damien. « Morveux, ici ! » et Damien viens à côté de moi, tête basse. « Tu vas avoir la suite de ta punition, sois courageux. Tu compteras les coups. Si tu te trompes, on repart à 0. Pour l’instant tu as été puni comme un gamin, pour des bêtises de gamin, mais tu as 21 ans et tu as fait des fautes bien plus graves : tu ne cherches pas à travailler, tu vis au crochet de tes parents, et tu fais des petits trafics pas nets avec une bande de voyous. Pour cela tu vas avoir droit à la strap, deux séries de 10 coups. » La starp est un fouet avec une lanière de cuir plate, épaisse et longue, qui vient des USA. La strap a l’avantage de ne pas couper comme un fouet classique, de faire bien souffrir le puni sans trop le blesser : idéal pour une punition.  Il me regarde avec un air triste et résigné. « Lucien, viens et attaches lui les poignets. – Bien maître »
Je le prends par les poignets, et le mène vers la corde que j’avais préparée, je fixe ses poignets à un côté de la corde, et je tire sur l’autre bout pour que ses mains soient le plus haut possible, que son corps soit bien tendu, je lui fais écarter un peu les jambes, place un petit carton que j’avais préparé, avec une découpe pour tenir les pieds, qu’il ne les rapproche pas, et je fixe solidement l’ensemble. Je prends ma strap, et la lance trois fois dans l’air pour bien l’avoir en mains et prendre sa puissance. « N’oublies pas de compter, les coups, tu dira le numéro du coups, et tu ajouteras, merci maître, ok ? – o…oo…oui – oui, qui ? – oui, maître ».
Et le premier coup, pas trop fort arrive sur le milieu des fesses « Rrahhh, … - tu n’oublies rien ? - … - comptes. » et un second coup sur le haut des cuisses, une trace violacée se forme de suite.  « AAAAh, u…un, m…aître, m’rci – bien continue de compter. … Ouahahah, d…eux, ma…ître, merci. » une nouvelle trace, « Ouuuiiie, Quatre maître – Tu vas apprendre à compter, je te le dis, tu recommence à 0 » et un nouveau coup, cette fois sur le milieu du dos « Raâhh, u…un, maître s’v’plait, non, arrêtez, Wouaaaah, Deux maître, merci, … Noooon, Trois, maître merci, … Aïaïaïiiiiie, quatre, maître, merci » et pour l’instant aucun coup n’est tombé au même endroit, le dos commence à être bien marqué 3 puis 4, 5 belles traces violettes. Pendant de temps, Lucien est allongé sur le canapé sur le ventre pour ne pas regarder, un coussin pour ne pas entendre. Il va falloir que je l’endurcisse pour qu’il puisse punir son frère à la strap quand il le méritera. « Ouuuuye, neuf maître, merci, …Rwoua, di… dix maître, merci. – Allez, tu as cinq minutes de répits. » 
Je vais m’asseoir à côté de Lucien, « Allons, Lucien, sois fort, la prochaine fois, c’est toi qui le fera, tu dois t’y faire, tu vas avoir de quoi t’occuper avec l’éducation de Damien. De plus, tous les soirs, je veux un rapport détaillé de sa journée, ce qu’il a fait de bien et de mal. Je viendrai pour t’aider. – Bien, je le ferai, pas avec plaisir, mais je le ferai, vous avez raison, il doit être remis sur le bon chemin et il n’y a que comme ça qu’on y arrivera »  
Je me rapproche de Damien, il est bien zébré sur le dos, Je me positionne de l’autre côté et un premier coup part sur le haut des fesses qui commence à se colorer, « ooooo … onze maître, merci » et je fais tomber sur les cuisses un, puis deux et trois coups trois marques sur les cuisses un puis deux sur la naissance des fesses, deux marques qui se chevauchent, j’évite les reins, et tape sur le milieu du dos, Damien crie, gémit, mais sa voix est plus faible. Il compte encore mais des sanglots apparaissent et sa voix se met à chevroter, je vais me concentrer sur ses fesses pour les cinq derniers coups. Les 2 derniers sont donnés très fort et il tremble maintenant. « Lucien, va le détacher, allonge le sur le canapé. »
« Damien, tu vois, la punition est dure mais méritée. Pour les fautes graves, tu seras puni comme ça. » Il ne parle plus, il sanglote. Je lui caresse les cheveux comme pour le rassurer, « je vais te laisser reprendre un peu avant de passer à la dernière faute « non, pitié – calme toi. Tu es un homme qui doit apprendre à assumer ses erreurs. » Je le laisse pour aller discuter avec Lucien de la suite, mettre en place les règles de vie.  On décide alors qu’il sera dans sa chambre enfermé jusqu’au repas et laisse à Lucien la liberté pour la fin de la journée. 

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