Pendant 3 jours, je me mis à observer et suivre les 4 voyous copains de Damien. Je notais tout, pris des photos, et constituai un dossier le plus complet possible sur les agissements de ces crapules. Tout ce qu’ils ont fait en bande, ce qu’ils faisaient seuls, je me suis aussi occupé du jeune qui était raquetté, j’ai essayé d’en savoir plus sur lui. Le soir, je passais comme promis, voir les deux frères, savoir si tout allait bien, et voir comment Damien récupérait de ses punitions, Lucien s’en occupait très bien.
Le premier soir, j’arrivais, un peu fatigué, vers 10 h je trouvai les deux frères endormis sur le canapé, Damien dans les bras de son frère. Braves petits. Une claque sur les fesses de Damien, « Alors, c’est comme ça qu’on me reçois ? En dormant ? » Réveil et regard surpris de Damien, qui se leva d’un bond et se mit à genoux mains sur la tête, avec une érection, ce qui le troubla beaucoup. Lucien se leva aussi, se mit debout au garde à vous à côté de son frère, en érection, lui aussi. « Et bien bravo ! Je vois qu’on se fait du bien, petits cochons que vous êtes ! - Mais maître - Lucien tais toi, c’est très bien de consoler ton frère, j’espère qu’il n’a pas fait de bêtises aujourd’hui, - Non, à part une petite insolence, que j’ai vite repris par une fessée, et il est venu se blottir dans mes bras. - Bien, il a été assez puni, pour toi ? - oui, maître - bon venez à côté de moi, sur le canapé, j’ai de bonnes nouvelles, j’ai commencé un bon dossier avec tes infos et de que j’ai observé aujourd’hui. »
Je me lève et me déshabille, puis me rassois entre eux deux. Je prends leurs têtes et les pose sur mes genoux, face à face, leur caresse la tête, et Lucien commence à me caresser, me massant, il fait lever Damien, me fait allonger pour bien masser entre les jambes, sur le pubis, je ne résiste pas longtemps et suis vite en érection. Lucien viens mettre sa bouche et commence à me sucer délicatement, il se pousse et ordonne à Damien de faire comme lui, Damien, hésite, ne sait pas trop, me regarde, et bientôt deux bouches goulues me sucent à fond, que c’est bon ! Lucien laisse Damien continuer, et viens me lécher les seins, je tends les bras pour commencer à les branler un dans chaque mains. … Je me lève, fais mettre Lucien à 4 pattes, dis à Damien de s’allonger pour sucer son frère jusqu’à ce qu’il lui jouisse. Ce qu’il s’empresse de faire, et prends Lucien, ce qui lui tire des petits gloussements de plaisir, à moi aussi, je les encourage, enfin je jouis en lui presque au moment où il jouit dans la bouche de son frère avec un râle de plaisir. Je m’allonge et les deux frères viennent poser leur tête sur mon corps. On reste un bon moment comme ça. Puis je m’en vais, j’ai beaucoup à faire le lendemain. Je me dis que Damien apprends vite. C’est un brave jeune. J’en ferai un gentil. Encore un jour ou deux et je passerai au premier de ses copains, ils ont sûrement besoin, comme Damien, d’être repris en mains.
J’ai assez d’informations dans le dossier de Rachid, je décide de m’occuper de lui en premier. Il vit chez ses parents, et sa famille est sans histoires. Je me pointe donc chez lui, sonne, « Bonjours, madame, je suis le grand frère de Damien, un copain à Rachid, est-ce que je peux le voir ? - oui, oui, RACHID, viens. »
« Oui, m’man, - viens, c’est pour toi, - Bonjour monsieur, je vous connais pas ! ? - Non, mais moi, je te connais, tu es copain avec mon Damien - Vous êtes qui ? Son frère ? son père ? … ? - Peu importe, je connais votre petit manège, et toutes les bêtises, pour appeler ça comme ça, que vous faites - Je ne vois pas … - regarde ! » et je sors son dossier, les photos où on le voit ouvrir des voitures pour piquer dedans, aussi face à Jonathan en train de lui coller une baffe ! « Tu ne vois toujours pas ? - je … où avez vous eu tout ça ? - ça ne te regarde pas ! - je vais aller porter ce dossier à la police, je voulais te le dire avant. Tu vas venir avec moi … - NOOON, pas la Police, je veux pas, je - Tu n’as rien à dire voyou, crapule, - Siouplait, pas la police ! - On va régler ça avec ton père - NON, pas lui, - tu n’as pas le choix, c’est ton père ou la police, je pense qu’il vaut mieux ton père, surtout pour ta famille, toi, je m’en moque, tu n’est qu’une crapule. » Je le prends par le bras et vais voir sa mère, « votre mari est il là ? Rachid a quelque chose à lui dire - je l’appelle, en l’attendant asseyez vous, vous voulez boire quelque chose ? Un thé ? - oui, merci beaucoup ! » au fur et à mesure des minutes, je voyais Rachid devenir blanc, se trémousser, s’agiter sur son siège, enfin son père arrive. « Bonjour, Monsieur ? - Bonjour ! Voilà, Rachid a quelque chose à vous avouer, parles où sinon tu sais où je t’emmène - ? - Allez - Euh, P’pa, … je te présente le frère d’un copain … » voyant ça, je sors le dossier, et explique au père de Rachid, tout en détail. Je le vois devenir rouge de colère « Tu m’as fait ça ! Répond ! - euh … oui … père … je … - viens ici ! Je travaille dur pour vous, je n’ai pas d’histoires avec la police, et j’en veux pas, tu vas arrêter ça, je vais te faire passer l’envie d’être un voyou, sale gamin - j’ai presque 21 ans ! - tais toi, et suis moi ! Monsieur, venez, vous verrez comment je vais lui faire passer l’envie de me créer des problèmes. Et je vais l’envoyer au bled pour le dresser, chez des amis, qui savent remettre les voyous dans le bon chemin ! »
Il le prends par le bras, et le traîne vers la cave, je les suis, il allume, le jette littéralement au milieu, défait sa ceinture, lui arrache le T-shirt, lui enlève le bas de jogging, jette les habits de côté, Rachid se trouve au milieu de la pièce, pétrifié, en caleçon à fleur, ridicule. Son père, toujours furieux prends la ceinture en mains, commence à le frapper, sur le dos, les cuisses, les fesses, tout y passe. Le caleçon devient un lambeau tout déchiré, il lui enlève en l’arrachant, Rachid pousse un cri à chaque coup, le cul rougit vite sous les coups de ceinture « Aïe, m’fait mal, … wouuuuuh, … ,papa Rhahhhhh, …, pa… rhôoooh, noo… iiiiiiiïe, naaan, bouuuh, - j’vais t’apprendre, moi, à me faire du soucis, j’aurais du le faire depuis longtemps, te dresser comme il faut, j’ai été trop bon avec toi, tu ne le mérites pas ! - Rhôoooh, … iiiiiiiïe, naaan, bouuuh Euuuuuh, euuh, bouuh, bouuuh, bouh » il est toujours furieux, continue à frapper son fils les coups pleuvent, Rachid essaye de se protéger, il reçois les coups sur les bras, une pluie de coups. Des marques plein le corps, il gigote, se tourne, il prends sur les hanches, les cuisses, un coup atteint la queue et les couilles avec un grand cri au milieu des pleurs et gémissements. Puis, calmé, son père s’arrête, il se prends la tête dans les mains. Rachid s’effondre. Je l’attrape au vol avant qu’il se blesse sur une planche. Le pose doucement, en pleurs, sur le sol. « Il a bien mérité cette punition, je vous demande de ne pas parler de tout ce qu’il a fait, je vous promet que dès demain je lui prends un billet et il part dans la semaine. - OK, à une condition, que je ne le revoie plus traîner dans la rue, sinon, je serai obligé d’en référer - tranquilisez vous, il va rester enfermé à la maison jusqu’à son départ. - Bien, il reste quand même une petite chose, Rachid, viens ici ! À genoux devant ton père et demande lui pardon » il es traîne et viens aux pieds de son père la tête baissée « père, je suis désolé pour tout le mal que j’ai fait, pardonne moi, je l’referai plus, je veux rester avec toi, pardon, mille pardon pour le tracas que je te donne … » et il pleure, il remplit de larmes les pieds de son père. « Je veux bien te pardonner, mais tu ne resteras pas ici, tu vas aller chez tes cousins, avec ordre d’être doux comme un agneau. Va dans ta chambres, mon fils ! - Merci beaucoup pour ce que vous avez fait, monsieur, je suis tranquille pour mon Damien, au revoir, - A vous aussi, au revoir. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire