samedi 21 août 2010

Jérémy

J’ai fais mettre Julien à genoux, dans la position du puni, mains sur la tête, jambes écartées de 15 cm, face au mur. Quand Lucien est rentré, je lui ai présenté son nouveau pensionnaire. Il n’a pas pu s'empêcher de lui donner quelques claques sur ses fesses. 
Je l’ai libéré et confié à Lucien pour lui faire faire  du ménage. J’a précisé à Lucien, que je ne voulais pas que les autres le touchent. Il m’a rassuré, il le mettrait à l’isolement jusqu’à ce que je revienne. Il a une petite pièce, isolée au fond du jardin. Je le laisse régler tout ça. Je les quittes pour aller m’occuper du dernier voyou, sûrement le pire : Jérémy. Il trafique pour la bande, et beaucoup pour lui. 
Je le suis donc un bon moment, il entre dans plusieurs commerces, pour voler des marchandises. D’abord chez un libraire, 3 livres qu’il a subtilisés et mis dans sa poche, puis une papeterie, du petit matériel qu’il enfile dans son pantalon, et enfin il entre dans une supérette non équipée de vidéo, il sait choisir ses cibles, le salop ! Je décide de lui donner une bonne leçon avant de le puni. J’ai vu sa technique, et où il a mis les deux boites qu’il vient de voler. Il sort et je me place sur son trajet de fuite, il me bouscule, je l’attrape vivement par le bras et l’entraîne un peu plus loin à l’écart. « Alors, Jérémy, sale voleur ! - … Qui êtes vous, monsieur, je ne vous connais pas, lâchez moi, me faites mal, puis je sais pas ce que vous voulez, j’ai rien volé ! - et ça ? » je plonge la main dans sa poche et en sort les 2 boites « c’est arrivé tout seul ? - heu, je sais pas, c’est pas à moi - il se fout de moi, en plus, tu veux que je te déshabille pour sortir les livres, crayons, stylos et le reste ?  - non mais, ça va pas ! Non ! - arrête tout de suite. Je vais te conduire à la police, j’ai les noms des magasins, les articles que tu as dérobé, l’heure et tout ce qu’il faut pour te faire arrêter, je sais plein de choses sur toi, tu es cuit, au moins 3 ans de prison, - Non, siouplait, je veux pas, pas la police ! Je vous donne tout, laissez moi - Et puis quoi, encore, la police, et tes parents. - mes parents, je les emmerdent, il ne diront rien, - tu vis encore chez eux, non ? - oui, et alors ? - il peuvent te mettre dehors, - qu’ils essayent, je leur casse leur sale gueule … - des menaces, que j’ai bien entendu, tu sais au tribunal il y a beaucoup de parents comme jurés ! Je doute fort qu’ils acceptent ton langage ! - m’en fout, j’ai pas peur - tu connais un bon avocat ?  - heu, pourquoi faire, on m’en donnera un … - qui débute et tu va prendre un max. ! - je ne veux pas, pas la police. - laisses moi réfléchir, … j’ai bien une autre solution, mais tu va pas aimer ! - quoi, quoi, tout sauf la police ! J’y suis déjà allé, je suis fiché, alors ça craint, je ferai ce que vous voulez - bien je t’explique, une punition que je te donnerai, pour les vols, une autre pour tes parents, et je me charge de t’apprendre à être honnête, je m’occupe de toi. - une punition, comment ? - tu sera fouetté - je peux réfléchir ? Vous me promettez que si j’accepte la punition, la police ne sera pas au courant ? - pas de problèmes, c’est l’un ou l’autre. Je te préviens, quand même, si tu acceptes ma proposition, ce sera dur, très dur pour toi, tu va déguster, être humilié, tu va devoir me faire confiance aveuglément, - tout sauf la police, leur locaux et je ne veux pas aller en prison ! - tu en es sur ? - oui, je ferai tout ce que vous voulez. - bien. Tu vas commencer par me suivre, - on va où ? - rendre tout ce que tu as volé ! - non, pas ça, siouplait ! - que si et tu fera des excuses. Sinon c’est direction la police ! Tu choisis - bon, mais … - pas de mais, je te colle une baffe devant le commerçant si tu fais pas ce que  je t’ai demandé ! - mais - tu en veux une de suite ? - non, m… aïiie, c’est bon ! » 
Je le prends par l’oreille et le traîne chez le dernier commerce, la supérette, vais à la caisse, « Bonjour, j’ai là un jeune homme qui a à vous parler - heu, voilà, je vous rends ça, je, j’a, j’ai v, je vous l’ai pris, excusez moi, je ne le ferai plus. Je suis désolé - c’est bien. - Madame, je vous remercie pour votre compréhension envers ce jeune voyou ! - de rien - au revoir. - heu, ‘r’voir m’dame » je le mène vers le second magasin, la papeterie, toujours en le tirant par l’oreille, même scénario, et à la librairie.
Je le ramène chez Romain, on sera tranquille. « maintenant, à nous deux, - non, je veux pas - j’avais laissé une partie de mon matériel, je prends la cravache, et zip, sur sa cuisse, zip, zip ,zip, zip, je remonte il essaye de se protéger, ce sont les bras qui prennent, ils deviennent vite zébrés, il ne sait plus comment faire pour y échapper ! Les coups de cravache pleuvent de partout, il tombe à genoux, je continue la cravache, zip, zip, zip, sur le dos, les cuisses, les fesses, les cuisses par devant, il ne dit rien, il ne gémit même pas. un coup tombe sur ses couilles. « WouaaAaAaAH » il est un peu sonné, j’en profite pour le déshabiller, le T-shirt, les baskets, le jogging, le shorty il est maintenant nu comme un ver, il n’ose pas bouger. J’avais laissé la table relevée, je l’amène le fais se retourner, l’attache les pieds et les aisselles aux 4 pieds de la table.   
Maintenant tu vas recevoir la punition pour les vols. Tu es toujours ok pour rester avec moi ? - O … ui - tu peux encore choisir la police - non, je préfère souffrir maintenant qu’aller en prison. - Bien, 25 coups de strap, c’est un fouet américain de punition. - je serai fort. - tu compteras les coups en me remerciant, tu diras  merci maître - bien, mons … maître »
Et le premier coup, sur le milieu des fesses « Rrahhh, … AAAAh, u…un, m’rci m…aître, … Ouahahah, d…eux, merci ma…ître,. » une nouvelle trace sur le dos, « Ouuuiiie, tro…ois, merci maître » et un nouveau coup, cette fois sur le milieu du dos « Raâhh, qua…tre, merci maître s’v’plait, arrêtez, Wouaaaah, cinq merci maître, … Noooon, six, merci maître, … Aïaïaïiiiiie, sept, merci maître » le dos commence à être bien marqué 7 puis 8, traces violettes. « Ouuuuye, neuf merci maître, …Rwoua, di… dix merci maître, » encore 5 coups puis je me positionne de l’autre côté  « ooooo … sei … seize merci maî…tre, bouuuuh » il commence à pleurer, je continue sur le milieu du dos, il compte encore mais entre les sanglots « pour les 5 derniers, tu es dispensé de compter »  Les derniers coups sont enchaînés rapidement et sont donnés très fort et il tremble maintenant. Je le détache, l’aide à venir sur le fauteuil, je m'assois, et le prends dans mes bras, il pleure, sanglotte et se blottit sur moi « Jérémy, tu vois, la punition a été dure mais méritée. C’est pour que tu saches ce qui t’arriveras si tu recommence. - booou, boouuh, ouuuh, oouuhhhh, je l’jure, j’ferais blus, booouuuuh. - Calmes toi. Reprends toi, je vais t’amener voir les autres. Tu te reposeras. Et je te donnerai du travail, si tu n’en as pas, et si tu veux rester avec nous. - oui tout plutôt que … - tais toi. Tu vas te reposer.

Une heure après, je l’amenais chez Lucien. « Salut les comiques  ! - Jérémy  ! C’est génial ! Tu viens avec nous, on va s’amuser ! Tu verras, c’est pas si dur ! hou là là, tu as dégusté mon pauvre - C’est bon, venez l’aider à aller sur le lit, puis venez tous au salon. »  

jeudi 19 août 2010

Julien


il me reste à m’occuper de Jérémy et Julien, j’ai leurs adresses, leurs âge, (ils ont 19 et 23 ans) Jérémy vit chez ses parents et Julien chez sa mère. Il y a aussi Jonathan, le jeune de 18 ans qu’ils raquettent, pour le plaisir. 

Je décide de commencer par Julien, le plus âgé, mais le suiveur, d’après Damien, Il n’a pas beaucoup d’initiatives, c’est le jeune qu’on utilise pour les travaux délicats, qui ne va jamais décider d’un coup, il a sa voiture, c’est pour ça que les autres le gardent, il leur est indispensable. Hum, une voiture, ça peut être utile ! 

Je n’ai pas trop de choses sur lui, mais je vais essayer de le récupérer aussi, il secondera Lucien, il doit sûrement leur en vouloir, aux autres. Puis il est complice, il a droit à sa punition ! 

J’arrive chez lui, sa mère m’ouvre, l’appelle, et quand il arrive, elle va pour s’éclipser dans sa cuisine pour nous laisser seuls. « Vous pouvez rester, madame, ce que j’ai à dire à Julien, vous concerne aussi. - Bien » Je vois Julien surpris, il ne sais pas pourquoi je suis là, il est vrai qu’il n’a plus de contacts avec la bande, je me suis assuré que Rachid était bien parti, Damien et Romain sont avec moi, et Jérémy est assez solitaire, j’ai d’ailleurs un gros dossier sur lui. 

« Voilà, madame, je suis au regret de vous dire que votre fils est le complice d’une bande de voyous qui commettent divers méfaits dans le secteur. Je vous ai mené le dossier, vous pouvez le consulter. - mais, je … - Tais toi, tu me fais honte. Tu as fais tout ça ? Je ne t’ai pourtant jamais aussi mal éduqué ! Il est vrai que si ton père était encore là ! Ça aussi, c’est toi ! Et tu les laisses faire ? » Julien s’enfonce de plus en plus dans le canapé, rougit, blanchit, re rougit. c’en est trop, sa mère se lève et lui donne une paire de claques retentissantes « j’aurais jamais pensé qu’à ton âge, j’aurais fait ça ! Mais c’est trop, ce que je viens de lire, tu mérites la prison, je vais aller appeler … - Madame, n’appelez personne pour l’instant, j’ai une proposition à vous faire -  ? Je vous écoutes ! - Il se trouve que j’ai déja récupéré et puni deux de ses copains, sans prévenir quiconque, Je leurs fais comprendre leurs erreurs, et les punis s’ils ne restent pas dans le droit chemin. Je les ai même mis au travail, eux qui n’en avaient pas et qui donc remplissaient leurs journée par des actes plus que douteux - j’ai vu de quoi vous parlez. Ces punitions, c’est quoi ? - une bonne fessée, à la main ou au martinet, et ils m’ont remerciés, après. Des règles de vie strictes. Ils sont en train de devenir meilleurs. - En effet, je pense qu’ils n’ont pas le choix ! Si cela peux lui éviter une action en justice, je croix, en effet, qu’il ,’en a pas reçu assez étant petit… - Mais, maman, j’ai 23 ans, je décide … - de rien, tu vis encore sous mon toit, et pour une fois, j’ai décidé e te confier à monsieur, et ne me déçois pas, reviens moi honnête. Je vous souhaite du courage, avec ces jeunes. Merci de ne pas donner de suites à tout cela. - Va m’attendre à côté, Julien ! … Madame, soyez sans crainte, merci de me le confier. Vous savez, c’est pour son bien. Je vous tiendrai informé de ses progrès. - au revoir. »  

J’arrive chez Lucien, il n’y a personne, ils sont tous au travail. Julien regarde, incrédule, et se demande ce que je vais faire de lui. Grand, blond, yeux bleus, bien mis, un jean correct, une chemisette … et d’un coup, il me vient une odeur bizarre. Comme une remontée d’égouts. Je le regarde fixement « dis moi que c’est pas toi ! Saloperie, mais oui, tu pues, tu es dégueulasse, un vrai porc ! Viens à la salle de bains, sale cochon que tu es » il a fait dans son pantalon, de peur. Il tremble, il me regarde et je lis la peur dans ses yeux. « Nooon, … Aaaïe » une paire de gifles pour le calmer, je le traîne sans ménagements vers la salle de bains. Il est pétrifié, je lui enlève sa chemisette, son jean je lui montre la trace marron dessus « c’est quoi, ça ? Gros cochon, sale, tu es vraiment crade !  » il est en slip, un petit slip noir, de marque, je le fais rentrer dans la douche, regarde son corps, mignon très peu poilu, pour son âge, il ira bien dans la brochette de jeunes que je forme, « d’un coup sec, je lui baisse le slip, il se protège le sexe avec les mains, je les lui fait mettre sur la tête en lui donnant quelques claques sur les joues, qui commencent à lui brûler, mais, fier, il ne dit rien, serre les dents. « tu sais ce qu’on fait aux gamins qui font caca dans leur pantalon ? Non ? On leur fait comprendre, que c’est sale ! Comme ça ! » et je prends son slip, la crotte bien en vue, lui mets sou le nez, puis lui colle dessus et lui barbouille la figure, il a le visage marron, je continue, je lui frotte le slip sale sur le torse, et lui me fait encore une autre crotte, qui tombe dans la douche, c’est est trop, « ramasse, avec ta main » il s’exécute, il va s’en souvenir, de sa merde ! Je lui appuie sur la main et lui fais écraser cette crotte, la main est pourrie, je la prends, et lui frotte sur le ventre. Il se met à pleurer. J’arrête. « maintenant, douches toi, laves toi, savonne bien, puis nettoie la douche, qu’il n’en reste plus une miette, de ta merde, tu as une serviette, ici. Après tu viendra que je te punisses comme il se doit ! » 

Une demie heure plus tard, c’est un Julien propre qui arrive au salon. La serviette nouée autour du ventre. Je lui retire la serviette « tu vas t’habituer à rester à poils. Tu es puni, tu resteras comme ça jusqu’à nouvel ordre. Tu travailles ? - Oui, mais là je suis en congé. - Combien de temps ? - trois semaines. - Bien à genoux, puni ! Dis moi sais tu quelle punition je vais te donner ? - heu, non ! - une fessée, sur mes genoux - vous pouvez pas, j’ai 23 ans ! - et alors ? Tu vas y avoir droit quand même ! En position ! » 

Il s’installe,résigné, je place son bassin correctement pour que le cul soit bien offert. On se demande ce qu’il faisait avec cette bande de crapules ! Il est docile. Mais je ne vais pas me laisser attendrir, je commence à caresser un peu ses fesses pour en prendre la mesure, je le sens frissonner, puis une grande claque au milieu de la fesse gauche, suivie d’un Aaaaaïeeee, sans le laisser reprendre, je lui assène une série de dix au même endroit, il crie « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe ! ...'tez Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe ! » une seconde série de dix sur le milieu de l’autre fesse, encore 10, 20, 30, claques, il gigotait, toujours sur la même fesse, des claques fortes de partout. En haut, au milieu, entre la cuisse et la fesse, une vingtaine de claques. Puis un répit de quelques secondes.

Il retenait ses larmes pour ne pas craquer devant un inconnu. D’un coup, je reprends les claques, quelques unes bien fort réparties sur toute la surface. ses fesses sont bien colorées, encore une douzaines et je reprends les claques très rapides toutes au même endroit en haut des fesses, presque le bas des reins. 10, 20, … 50, je sens qu’il se retient de pleurer, plus pour longtemps, il commence à avoir les larmes qui coulent, puis encore 5 et il se met à pleurer, je continue encore un peu en variant les claques fortes et moins fortes. Il sanglote, maintenant, j’entends «bouuuh, pa… rdon, par…don, j … j’su … j’suis dés…olé, par … don ils m’ob … obligeaient, je …devaiiiiiisbouhhh, … toujours, bouuuh, … booouuh, oouuuh » j’arrête alors de frapper, Je lui dis de se mettre au piquet, à genoux, jambes légèrement écartées, que je contemple son cul. Je prends la cane et zip, zip, zip, zip, sur les cuisses « tu es puni pour ce que tu m’as fait tout à l’heure, pour tes actes, ta complicité, quand Damien, Romain et Lucien seront la, tu auras droit à 25 coups de cane. Puis tu sera rasé, comme tous les punis, et tu ira au lit. « non, monsieur - appelle moi maître - non, monsieur le maître, je ferai ce que vous voulez, et j’obéirai, je serai docile. - fermes là, et accepte la punition, tu me dira merci, plus tard ! - boouuuuh ! »

mercredi 18 août 2010

Le travail

Je passe une commande de cages de chasteté, 5 en tout, je suis prévoyant, et d’autres jouets que je compte utiliser pour leur éducation. Je me retrouve seul avec Lucien, et lui explique le travail que j’ai prévu de faire faire à l’équipe. Pendant que lui, serait à son bureau. Il me dit qu’il me fait confiance. Je lui dis qu’il devra préparer une liste de tâches à faire pour les 2 rigolos. À vérifier quand il rentre, il faut que la maison reste nickel ! Je jardin aussi. 

Je vais détacher les deux punis, je l’ai ai laissé une heure collé, ils ne pleurent plus, se sont calmés, résignés. Une tape sur chaque paire de fesse, « alors, les merdeux, on est calmé ? On sera sage et obéissant ? - oui maître - oui, monsieur le maître - bien, vous allez vous battre encore ? - non maître - non monsieur - bien. Damien, tu me promets de ne pas chercher Romain s’il ne veut pas ? - Oui, maître. Pardon, Romain, pardon de t’avoir brusqué et pardon de t’avoir fait punir, je m’en veux. - Laisse, Damien, j’aurais pas du te frapper, pardon pour ça. Tu as reçu aussi à cause e ma bêtise. - bien. Je vais vous détacher. Filez à la douche allez vous passer de la pommade, je veux vous voir ce soir au repas. Venez à table avec votre slip, on ne mange pas la queue à l’air, c’est pas propre et après ce qui s’est passé aujourd’hui, c’est plus prudent. J’ai à vous parler sérieusement, et soyez sage, je compte sur vous ! - Oui, monsieur - oui maître » 

Au moment de venir à table, je les vois arriver. « Venez ici, - à genoux, monsieur ? - non assis à côté de moi ! » Ils étaient tout mignon comme ça, ils avaient du mal à rester assis leur cul était encore feu. « Avec Lucien, on a décidé de vous mettre au travail, pour payer votre séjour. Lucien ne va pas vous garder ici gratuitement. Et il finit bientôt ses congés. Le matin avant de partir, il vous donnera ses instructions pour la journée, à faire correctement, sous peine de punition qu’il vous donnera à son retour, et si c’est trop grave, je vous punirai moi. Puis, demain je vous emmènerai chez votre patron pour apprendre votre nouveau travail, vous allez distribuer des prospectus dans les boîtes à lettre, c’est bien payé. Votre salaire sera versé sur un compte spécial, toutes les semaines. Je vous donnerai le quart comme argent de poche, le reste sera versé à Lucien pour la maison et les courses. Vous devrez être sérieux, vous aurez chacun un circuit. Je contrôlerai votre travail, je peux venir vous voir n’importe quand. Et si je vous surprends à mal faire ou ne pas faire, la punition sera très dure. On ne rigole pas avec le travail. - des questions ? - Oui, monsieur, je n’ai jamais travaillé, j’ai peur de ne pas y arriver, en plus c’est pas ce que j’ai appris à l’école, j’ai fait des études de … - je m’en moque, tu vas travailler là où je te le dirai, un point c’est tout ! Et tes parents seront fiers que tu travailles enfin ! -  ? Vous les avez vu ? - oui - ? Et ?… je te le dirai plus tard. À table, coucher à 21h demain lever 5h. - Lucien, tu leur fera laver entièrement la maison, puis ils vont tout ranger comme il faut ici. - Bien maître. » Je les quitte, ils viennent m’embrasser pour me dire au revoir, même Romain, qui me dit « merci monsieur, j’ai besoin d’être pris en main pour ne plus faire de conneries. Mais mes parents ? - Demain, va te coucher »    

Le lendemain, j’arrive à 9h pour les conduire à leur nouveau travail, je m’étais déjà entendu avec le patron, qui était un ami. Je rentre, et trouve Romain en train de passer la serpillière, Damien allongé sur le canapé en train de Dormir. « Tu n’a pas honte, fainéant, paresseux, voyou, crapule, sale merdeux, je me donne du mal pour vous, et tu dors ? Viens ici de suite, profiteur, je vais pas te laisser faire non, mais ! » Je l’attrape, le cale sur me genoux, et commence à fesser, la fesse gauche, « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe  ...'tez Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe », sur la punition d’hier, la douleur est vive. Mais il a encore désobéi, il m’a mis en colère, il va pleurer, il faut qu’il comprenne. Je lui baisse le slip et continue sur la même fesse qui est vite violette, je continue de plus en plus fort sur la fesse, il a mal, il gigote, je le tiens fermement, il commence à pleurer, je change de fesse et m’acharne sur l’autre fesse, pareil jus qu’à ce qu’elle devienne violette comme l’autre. Il sanglote à présent « boouuh, ouuh, ouuh, par…bouuh, don, bouuh » je continue de frapper mais alterne les fesses et frappe en dessus au dessous, pour que les fesses prennent maintenant sur toute la surface, une fessée d’une bonne demie heure, encore cinq minutes, il ne pleure plus, gémit juste, et d’un coup me jouit sur les jambes, je fesse encore deux à trois minutes, le relève, à genoux devant moi, lui colle deux paires de baffes, « nettoie ton sperme ! Avec la langue ! »  Il s’exécute, «  va te rafraîchir tu as 5 minutes et on part. »

Je vais me rincer, puis appelle, pour m’excuser du retard. Enfin, on arrive, 

Ils sont polis, ils ont intérêt, avec la dérouillée que Damien vient de prendre ! Les tournées sont définies, les horaires, aussi de 9h à 13h, et je les fais sortir m’attendre dans la voiture pour négocier le salaire et la mise en place de 2 autres tournées que j’ai en prévision des 2 derniers voyous que je compte récupérer


Le lendemain, je reçois les cages, génial, il seront équipés pour travailler ! J’arrive, ils viennent m’embrasser. Je m’arrange pour passer au moment où Lucien part à son travail, comme ça je le vois, lui explique les tournées et le travail que les boys vont effectuer. Il me dit qu’ils ont été sages et qu’ils ont fait toute la liste des tâches. 

Punitions à deux

Pendant 3 jours, tout a été calme, je passais dans l'après midi pour voir si tout allait bien, à part quelques paires de gifles distribuées pour des petites bêtises, tant à Damien, qu’à Romain, qui s’étaient mis à fond dans le nettoyage de la maison, et l’entretien du jardin. Damien est d’ailleurs venu me trouver en me disant merci de la bonne éducation que je lui donnais, qu’il ne se sentait pas encore à la hauteur, mais que les punitions lui avaient fait du bien et lui avaient permis de comprendre ses erreurs. Romain, reste encore rebelle, et ce n’est que parce qu’il a peur que son dossier passe dans la presse, qu’il se tient tranquille. Lucien, en maîtresse de maison, gère très bien, distribue les tâches, les punitions si nécessaires, qui ne sont pas trop méchantes, surtout vis à vis de son frère, et quand je suis là, il me fait son rapport, part faire ses courses. Il va falloir que je passe à la suite du programme, j’ai déjà contacté un publicitaire qui cherche de la main-d'œuvre pour distribuer ses gratuits et ses pubs dans les boîtes aux lettres, on va mettre ça en place. 
J’avais envie de les remercier de bien faire, j’attends donc Lucien, qui arrive chargé, « viens ici mon Lucien, les boys, placez les courses et rejoignez nous dans la chambre de Lucien, à poil. » On les précède, je me déshabille, déshabille Lucien, lui caresse la figure, nous nous allongeons. « Ah mon brave Lucien, tu me seconde bien ! » et Lucien tout content de m’embrasser longuement, fougueusement, en me caressant de partout. Les boys entrent, et restent surpris « Damien et Romain, venez chacun de chaque côté de nous, allongez vous, faites vous plaisir » Damien vient de suite  à côté de son frère pour me lécher les seins, me caresser, Romain, est resté en retrait et d’est mis à se caresser, puis se branler « Damien, va sucer ton copain » ce qu’il est allé faire Romain tellement surpris l’a laissé retirer sa main qu’il a posé dans les cheveux de Damien, et Damien a léché le membre de son copain, puis goulûment s’est mis à le sucer, le pomper à fond, pendant que Lucien me faisait pareil. J’a fais arrêter Lucien, pour qu’il se mette à 4 pattes et l’ai pris, pendant que Damien suçait Romain en se branlant. On a joui tous à peu près en même temps, Moi, dans Lucien, Lucien sur son drap, Romain dans la bouche de Damien qui a bien tout avalé, Damien sur le lit, aussi. Puis, je me suis allongé satisfait, Lucien sur moi, Damien et Romain de chaque coté, je les ai caressé. Et ai décidé de rester la soirée avec eux. 
Comme tout allait bien, j’ai laissé Romain et Damien dans leur chambre (il partagent une chambre qui a juste un lit et une table. Ils n’ont pas droit d’avoir d’affaires dedans, ils sont encore punis) d’un coup, j’entend des cris, des coups et quand je rentre je les vois en train de se battre. De me voir entrer, ils s’arrêtent, Damien se met à genoux mains sur la tête, et Romain reste droit et baisse la tête, je vois qu’ils sont tout les deux en érection, « Romain, à genoux, mains sur la tête comme Damien, sales merdeux ! Il ne me semble pas avoir autorisé quoi que se soit ici, entre vous, et de plus une bagarre, ça va vous coûter cher, mes lascars ! Restez comme ça jusqu’à ce que je vous appelle ! » 
J’appelle Lucien, on s’installe sur le canapé, « va me chercher Romain, il viens à genoux, - bien maître ! - viens ici, toi, » et sans ménagements, le tirant par l’oreille après lui avoir donné quelques claques sur les fesses, il nous le place à genoux devant nous « alors, Romain, explique nous - Euh, ben, je, nous, on, Damien, … - Tu te dépêches de parler ? » je me lève et prends la cane. « euh, Damien a voulu continuer, nous nous sommes masturbés, puis il a voulu que je le suce comme il m’a fait, il m’a dit que je devais le faire parce que je lui avais fait du mal avant, et qu’il voulait me voir ramper à ses genoux, alors j’ai refusé, je me suis laissé faire tout à l’heure parce que vous l’avez demandé, et que j’avais pas joui depuis longtemps, sa bouche, c’était bon, mais je n’ai jamais fait, j’ai toujours eu des copines, et je ne veux pas sucer Damien. … peut être un jour, mais je ne suis pas prêt, qu’il me branle, à la limite, … - et vous vous êtes battus ! - oui - il est devenu furieux - vous m’avez désobéi, tu en es conscient ? - euh ? Oui, je crois, on s’est - non tu dis je, pas on - ben … je … je me suis mal conduit, j’aurais du venir vous trouver de suite - oui, et donc ? - je crois que je vais être puni ? - tu as tout compris. Mets toi au piquet, je vais entendre Damien et je vous donnerai la punition que vous méritez, elle sera sévère ! - Damien, ici, de suite ! Alors tu as quoi à dire ? - ben, heu, - tu es fier de toi ? - non, pas du tout, je voulais juste avoir un peu plus de plaisir - et tu t’es battu ! Pour ça ! Merdeux - ben, … - va au piquet à côté de Romain, je ne veux pas voir bouger un cheveux ! - bien maître ! - je vous laisse méditer sur vos actes, c’est inexcusable, vous allez vous demander pardon, l’un, l’autre, vous vous embrasserez, sur la joue Damien ! » 
Je les ai laissé mariner une heure, « Voilà la punition, vous aurez droit au martinet, tous les deux ensemble, attachés l’un à l’autre ! Vous serez donc doublement punis. Attachés par le cou et les couilles, vous sentirez frémir le corps de l’autre quand il recevra ses coups ! Romain, viens ici ! Place toi, Damien, va sur ton lit, je vais te raser avant ! - Non, pitié, pas ça, maître, tout ce que vous voulez, mais pas ça ! - Damien, qui commande, ici ? - vous, maître - et la règle c’est que tu me dois quoi ? - heu ? Vous obéir, maître - bien, et je t’ai ordonné de te mettre sur ton lit, comme tu as refusé viens ici - … Aïiiiie, noon maître » un coup de cane sur les fesses pour lui apprendre, je le prends par l’oreille et le tire vers la corde, lui attache les 2 mains à la corde, et tire sur la corde jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds. « maintenant, je vais te raser, ici, et fermes là, sinon tu recevra 10 coups de cane là où je viens de te raser » je prends le rasoir, et nettoie le pubis, puis d’une main, je lui  remonte la queue pour raser les couilles, enfin la queue a droit à son rasage. À la fin, Damien est en érection. Je lui donne quand même 2 coups de cane à la jointure des jambes en touchant les couilles rasées « Ouaille, … AAAaah - je vais t’apprendre, à m’obéir. » Je le détache sans ménagements et le mène à genoux face à Romain. Je leur place un collier chacun, puis un collier de chat à la base de la queue et des couilles « collez vous ! » je prends un anneau et fixe les deux colliers ensemble, je leur fais écarter les jambes pour que les genoux soient distants de 15 cm pour Romain et 17 pour Damien, ils ont comme ça les queues à même hauteur, je fais passer la queue de Romain entre les jambes de Damien et celle de Damien entre celles de Romain puis j’attache les deux colliers de chat ensemble. Je passe la main entre les jambes de chacun pour bien vérifier que le contact se fait bien, « prenez vous dans les bras et posez la tête sur l’épaule de l’autre  ! Merdeux que vous êtes ! Et maintenant, vous allez déguster ! » 
Je prends le martinet et commence à frapper, alternativement Romain et Damien, ils ne peuvent pas bouger, je les vois juste frémir à chaque coup, face à leur copain, ils veulent être des durs, les 20 premiers coups sont encaissé sans rien dire, juste un gémissement. Les fesses se marquent de belles traces roses, le martinet marque bien, je m’attaque aux cuisses, une dizaine de coups chacun, je vais sur le côté comme ça je frappe les deux en même temps sur le côté droit une quinzaine de coups de presque en bas au genoux en remontant à la taille, puis l’autre côté « Aïe - ouille - aïe, Aïe - non - ouille - noon - mal - AÏE - AAÏE - AAAAÏE - AAAAAh -  NOÔOON - Aïe » ils gémissent sous les coups, c’est dur, mais ils résistent, je commence à donner sur le haut des fesses et le bas du dos, « Aaaaïe - ie - … Nooon - Oooïe … - Ouaille, - AAAaah - Aaaaïe, … - Ouilleeee - … noooon - Aïeeee … - Bouuh ouu - Ouille - pitié - maître - bouuuh je ne - bouuh f’rai plus » Romain vient de de mettre à pleurer, vite suivi par Damien, ils ont tenu demi heure, je ne m’arrête pas, je suis encore furieux contre eux, je ne les écoutes pas, je veux leur faire comprendre qu’on ne se bat pas. Encore dix minutes, de coups sur le dos, les fesses, les cuisses, puis j’arrête. « Vous allez rester comme ça punis une demi heure ! » je les regarde, je vois leurs corps qui ne font plus qu’un, et en regardant bien, je m’aperçois que chacun a joui dans l’entrejambes de l’autre. « après, vous irez sous la douche ! » ils sanglotent dans les bras l’un de l’autre. « J’espère que vous avez compris la leçon, et que je n’ai pas à y revenir, ce sera plus sévère. Par contre, je vais vous équiper de cages de chasteté dont j’aurais moi seul la clé. Je déciderai quand vous aurez droit au plaisir et comment !  

lundi 16 août 2010

L'humiliation de Romain

Le lendemain matin, j’arrive, Romain était dans la chambre de Damien, allongé sur le lit, attaché en croix aux montants, toujours à poils, ça tombe bien pour ce que je veux faire ! Je m’approche, les frères viennent m’embrasser, je prends un collier de dressage de chien, et le mets au cou de Romain, « Damien, apporte moi un rasoir un bac avec de l’eau tiède, et des ciseaux -  ? Bien maître, … voilà - Bon, Romain, je vais te raser, surtout ne bouges pas, je ne veux pas te blesser. En plus, tu dois être tout mignon, aujourd’hui, tu as un rendez-vous ! » Je lui mouille la figure, et le rase. Il es sage, il ne bouge pas. Je lui mouille alors les aisselles, « hey ? Vous faites quoi ? - la ferme et ne bouges pas, je te rase, tu dois être présentable, porcinet ! » je lui rase les aisselles, je le sens frémir, puis prends les ciseaux pour désépaissir la touffe de son pubis, je le lui mouille ainsi que la queue et les couilles, je lui rase complètement le pubis, il crie, je lui donne quelques gifles sur la figure pour le faire taire, au moins 6, « reste tranquille et tout ira bien, ne m’obliges pas à être plus sévère, tu vas être complètement rasé, que ça te plaise où non, c’est comme ça ! J’ai décidé ! Tu n’as rien à dire. Tu sera rasé. Si tu dit encore quelque chose où fait un geste, au lieu de finir la queue et les couilles au rasoir, je le fais à la cire d’épilation chaude et je tire pour que tu ais mal alors tu choisis  ! » Il se calme, je commence à prendre sa queue, enlève les quelques poils, il réagit avec une petite érection j’en profite pour bien nettoyer, puis je m’occupe des couilles. Enfin, il n’a plus rien. Je prends un gant avec de l’eau et le passe sur toutes les parties rasées.  Puis je prends un petit collier de chat et je lui entoure avec les couilles et la queue en serrant bien. Je demande à Damien de venir, lui détacher les jambes, et de me le tenir, je lui mets un petit string bleu, un jean, Damien lui détache les mains et lui mets un débardeur bleu assorti au string, mais moulant et court, qui laisses voir son ventre. Je l’emmène à la cuisine, « déjeune, il va te falloir des forces ! » Encore sous le choc de ce qu’il vient de subir, il mange sans faire d’histoires. Je lui remets les menottes, mains dans le dos. « Damien, tu le trouves comment, romain ? - mignon et sexy, on dirai un mannequin ! - Idiot - non, je t’assure ! » 
Je le ramène chez lui, vérifie son courrier, le fais asseoir sur une chaise où je fixe les menottes. Bien, une table au salon, elle me parait bien, j’enlève tout ce qu’il y a dessus, le place dans un coin, puis lève la table de sorte qu’elle repose sur la tranche et 2 des 4 pieds, je la plaque au mur en face du canapé. Je le relève de sa chaise, le tire vers la table, je vais fais passer les pieds qui sont maintenant droits de chaque côté de son corps, et y fixe les bras, je lui enlève le jean pour qu’il reste en string et attache les pieds aux deux pieds de la table qui sont par terre. 
« Je vais t’expliquer le programme, Romain, - heu ? Oui. Vous êtes … - ne dis pas une chose que je pourrais te faire regretter, n’oublie pas que j’ai pris mon matériel de punition - vous me frapperiez sur le ventre ? - non, sur les cuisses, et surtout les couilles ! - non, pitié, je ferais tout ce que vous voulez, mais pitié ! - tu n’as pas encore été puni, tu es juste un peu humilié, - un peu ? - oui, tu vas avoir droit à ta première grande punition, et de la part de trois personnes que tu as humiliées, Elles vont arriver, tu sera traité comme à la foire aux ânes, puis je te détacherai et tu sera fessé par chacune et je finirai la punition devant tes 3 copines, pour leur plaisir, après on rentrera retrouver les autres. Méfies toi que je n’ai pas de motif de te punir sévèrement, ne fais que ce qu’on va te demander, sinon, ça craint pour toi. Compris ? - heu, o … oui, mais ? - maintenant tais toi, elles vont arriver,- non, pas ça, siouplait  ? - tu la ferme, je prépare le matériel ! Je te ferai danser sous le martinet si tu continue - … »  
J’avais juste sorti martinet, paddle, cane, cordelette, ciseaux, que les 3 ex petites amies de Romain arrivent, joyeuses. « Bonjour Roxane, bonjour Virginie, Bonjour Sonia, - Bonjour (les 3 en cœur) - Prêtes pour notre petite fête ? - bien sur - Que oui - oh oui - venez vous asseoir, il vous attend, je vous l’ai préparé ». À la vue de ses 3 copines Romain est devenu tout rouge, de honte, il gigote pour se libérer, « arrête et dis bonjour, tu sais ce que je t’ai dis, tu ne vas pas échapper à ta punition ! - ‘jour Roxane, b’jour Virginie, jour Sonia - il est mignon comme ça ! - oui, tout craquant, hihihihi - hé, vous avez vu son string ! Rasé, en plus ! Tu te fais le maillot, maintenant ! - Allez, je vais déballer votre cadeau » je prends les ciseaux et découpe le débardeur sur un côté, il frémit au passage des ciseaux, 
Romain a peur, il est humilié comme jamais, il a tellement honte que s’il y avais un trou, il s’y cacherait, mais il est attaché, il ne peut que subir ! Les mains de cet inconnu, qui a démasqué ses petits trafics, et qui veut tout raconter, à la police, mais surtout à son père, le député, quel coup pour un élu, surtout de son bord politique qui est pour l'honnêteté ! Il faut subir, résister, ne pas craquer, surtout devant ces 3 filles qui aimeraient ça, qui rigolent déjà en le regardant !
j’enlève le morceau de tissus qui avait été débardeur, pince un peu les seins de Damien pour voir s’il réagit, « aïe » bon, « mesdemoiselles, maintenant, le bas - attendez deux minutes, il est trop dans son petit string ! » et la encore, humiliation suprême, elle le prennent en photo comme souvenir, chacune veut que l’autre la prenne à côté de Romain, avec juste le string, malgré la honte, Romain commence à avoir une petite érection, ce qui le fais avoir encore plus honte. Ça y est, elles se sont fais photographier, lui ont pincé les seins, se sont un peu amusées avec son corps, le string a du mal à contenir son érection. D’un coup je lui arrache le string, « alors, cochon, on dirait que ça te fais plaisir de te montrer comme ça ! - no… on, je … , j’ai … hon… te, je … - hé les filles, regardez, il a un collier ! Pour la tenir en laisse ! Elle partira pas, tu sais ! - Roxane, Virginie, et Sonia, vous allez voir ce que je fais de cet insolent  ! Qui vous a fait du mal » Je prends le petit paddle, et donne un coup sec, pas trop fort entre les jambes de romain, bien sur les couilles « Wouahiiille ! … nooooooouille, … han, … » j’en suis au cinquième coup, il ne bande plus, je prends alors la cane fine, et commence à lui donner sur la queue, sans éviter les couilles, une dizaine de coups. J’arrête je ne veux surtout pas le faire pleurer, pas encore, les filles sont mortes de rire. 
« On va passer à la suite » je lui mets la laisse au collier et je le détaches sauf les menottes pour pas qu’il tente de se cacher de ses mains, je le promène devant son public, il est tellement abattu qu’il ne tente plus rien ! Je le fais défiler en laisse le chien, à genoux, je le fais marcher comme ça, le tire un peu pour qu’il avance, qu’il se montre bine de devant, de derrière, maintenant je lui enlève les menottes et le fais mettre à 4 pattes, je le tiens en laisse comme un vulgaire chien, le promène, et là, tout commence vraiment. 
J’avais préparé une chaise, je la place face au canapé, « Roxane, vous pouvez venir vous installer confortablement, sur la chaise, je vous amène le cadeau » une fois assise, je traîne Romain, qui vient de comprendre, fais placer Romain sur les genoux de Roxane, positionne son cul pour qu’elle puisse le fesser comme il faut, passe le bout de la laisse au pied de la chaise forçant Romain à rester la tête presque au raz du sol. « Vas y quand tu veux » Et Roxane commence à fesser, on dirait qu’elle a déja pratiqué ! Elle s’applique à faire rougir toute la surface des fessés, Romain se mord la langue pour ne rien dire, clap, clap, clap, clap, une quinzaine de claques, clap, clap, clap, Roxane prends son plaisir à punir celui qui l’a faite souffrir, il commence à gémir, les claques tombent sur son cul qui devient rouge, on doit en être à 60 ou 70 claques, il résiste, pour le peu de fierté qui lui reste, Romain ne veut pas montrer qu’il a mal, pas comme ça, pas devant Virginie et Sonia qui se moquent de lui. Au bout d’une vingtaine de minutes, il commence à gémir plus fort. Roxane done encore quelques claques et s’arrète, épuisée. Épuisée mais contente d’avoir non seulement vu Romain humilié mais d’avoir pu lui faire payer par une fessée, ce qui l’a défoulée, le fait d’avoir été trompée, et qu’il ne se soit servi d’elle que comme un objet, il a payé, c’est lui l’objet ! « J’espère que tu comprendra que tu m’as fait du mal, cette fessée doit te le faire comprendre Romain ! - snif, Ro, … j… je su…is désolé, pardon, pardon. Snif,snif - pousses toi que Roxane puisse se lever » 
De suite, Virginie viens prendre la place de Roxane, je lui fais installer Romain correctement et elle commence à fesser, clap, clap, on voit qu’elle n’a pas l’habitude, mais essaye de faire comme Roxane, les claques tombent moins régulières, elle claque plus fort que Roxane, Romain gémit de plus en plus, essaye de gigoter pour échapper à ces claques, clap, clap, clap, CLAAP, clap, il respire très fort, Elle a pris le rythme, et de l’assurance, le gronde comme on gronde un gamin (de 21 ans ! ), lui a de plus en plus de mal à résister et « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe ! ...'te Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe » il commence à ressentir la douleur de son cul qui est maintenant violet. Virginie s’arrête, elle a fessé une demi heure, elle s’est défoulée, tant de pleurs, d’humiliations, qu’elle a subi de Romain, elle est contente, je prends la laisse, et fais mettre Romain au piquet, mains sur la tête pour qu’il nous montre ses fesses punies, il a les larmes au bord des yeux, il va se reposer un peu avant les deux dernières punitions ! « vous voulez boire quelque chose ? - Allez, oui ! » je regarde dans la cuisine, et porte 4 sodas. 
Une heure plus tard, Sonia prend place sur la chaise, je lui installe Romain. Et la fessée reprend, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, bien rythmé, et « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... ouuh... Aïe ! ...'te Aïe... Aïe ! noo … Aïe...nan,… Aïe... Aïe » sa fierté l'empêche de pleurer, mais il crie, gémit, gigote et Sonia ne l’épargne pas, les claques tombent de partout, même sur le bas du dos et la naissance des cuisses. Une bonne demi heure, et Sonia s’arrête, fatiguée. Je récupère Romain, le force à se lever, le fais défiler devant les 3 filles pour qu’elles voient bien son corps de puni qui a la tête basse et lui fais demander pardon à genoux devant chacune, « Pardon pour tout le mal que je t’ai fait, et merci de m’avoir puni, je l’ai bien mérité » 
Maintenant, vous allez voir ma punition, je le mène à la chaise, lui attache les mains et les pieds aux 4 pieds de la chaise de sorte que son cul soit bien rebondi, et les jambes écartées. Je choisis le martinet de cuir, donne un coup en l’air pour le prendre en mains, et  lui dit : « tu vas recevoir deux séries de 25 coups de martinet, tu comptes les coups ». Le premier coup tombe sur ses fesses déjà punies par les fessées, « Rhaaaah, … un … - on dit un, maître, tu recommence à compter -  haaaah, un maître … rooooôh deux maître … Ouuuuh, trois maître … Aaaaaah, quatre maître »   bientôt dix traces zèbrent les fesses. « Raaaaaaaaah, on…ze maître … Ouououou d…ouze maître … Ouuuuh, t…treize maître … Aaaaaarh, qua…torze maître » un peu plus bas, sur le haut des cuisses, il est pas loin de pleurer, le suivant tombe sur les reins « Ouuuuh, quin… snif … dix-sept, snif, … maît… » et il éclate en sanglots, no…o…on, vingt maître, …  Woahahahaïe, vingt et un maître » je lui en donne sur les cuisses, le bas du dos « Ma…Mai…tre  !, pardon, vingt cinq - tu as droit à 5 minutes de pause. » je me tourne vers les filles qui ont des mines réjouies, elles l’ont vu pleurer, sangloter, et ça, elles apprécient beaucoup ! Romain ne se retient plus, il n’a pas pleurer avec les filles, mais avec moi, il se laisse aller, les larmes coulent. Je reprends, sur le dos cette fois, « Bouuuh, vingt six maître, … bouuuuh, vingt sept, maître, … boouuuh, vingt huit, maître, ouuuuuh, …oinnnn, trente, maître, pardon, » il ne pleure plus, il ne peut plus, il gémit, il geint, il couine, « quarante six maître, … quarante sept, maître, … quarante huit, maître quarante neuffff, maître, … cinquan…te maître ». 
Je le laisse, me tourne vers les 3 ex copines de Romain, « Alors ? Contentes ? - Oh oui ! - Bien sur - super génial, il a compris au moins. - Bien, je vous remercie d’être venues, - Merci à vous ». 
Je le détache, l’envoie sous la douche. Je dois le laver, il est trop faible, le rincer, avec de l’eau tiède, je le sèche avec précautions, le prends dans mes bras pour le consoler un peu. « Alors Romain, tu me promets d’être sage ? D’obéir à mes règles ?  - snif, je … sais pas … si je vais … y arriver, c’est trop dur ! - avoue que tu as bien mérité ta punition ! - Oui, surement, j’ai trop joué avec leurs sentiments, j’en ai pour aucune, elles étaient là pour le plaisir, uniquement, je pensais pas leur avoir fait du mal, je le reconnais maintenant. - Bien, allez, je vais t’habiller, et on va rentrer. Pour le moment, tu va rester au lit quand tu ira mieux, tu fera ta part de travail dans la maison. - Bien … - Tu as encore a être puni pour le racket, et aussi pour les autres méfaits, mais ça, ça peut attendre, tu ne sera pas puni tout seul. Ne me crée pas de problèmes et tout ira bien, autant avec moi que Lucien, et Damien, respecte Lucien, il me remplace quand je ne suis pas là, ne t’en prends pas à Damien, il est ton égal, vous êtes tous les deux punis, qui doivent m’obéir. Tu as compris ? - Oui, je crois. - oui qui ? - oui maître