J’ai fais mettre Julien à genoux, dans la position du puni, mains sur la tête, jambes écartées de 15 cm, face au mur. Quand Lucien est rentré, je lui ai présenté son nouveau pensionnaire. Il n’a pas pu s'empêcher de lui donner quelques claques sur ses fesses.
Je l’ai libéré et confié à Lucien pour lui faire faire du ménage. J’a précisé à Lucien, que je ne voulais pas que les autres le touchent. Il m’a rassuré, il le mettrait à l’isolement jusqu’à ce que je revienne. Il a une petite pièce, isolée au fond du jardin. Je le laisse régler tout ça. Je les quittes pour aller m’occuper du dernier voyou, sûrement le pire : Jérémy. Il trafique pour la bande, et beaucoup pour lui.
Je le suis donc un bon moment, il entre dans plusieurs commerces, pour voler des marchandises. D’abord chez un libraire, 3 livres qu’il a subtilisés et mis dans sa poche, puis une papeterie, du petit matériel qu’il enfile dans son pantalon, et enfin il entre dans une supérette non équipée de vidéo, il sait choisir ses cibles, le salop ! Je décide de lui donner une bonne leçon avant de le puni. J’ai vu sa technique, et où il a mis les deux boites qu’il vient de voler. Il sort et je me place sur son trajet de fuite, il me bouscule, je l’attrape vivement par le bras et l’entraîne un peu plus loin à l’écart. « Alors, Jérémy, sale voleur ! - … Qui êtes vous, monsieur, je ne vous connais pas, lâchez moi, me faites mal, puis je sais pas ce que vous voulez, j’ai rien volé ! - et ça ? » je plonge la main dans sa poche et en sort les 2 boites « c’est arrivé tout seul ? - heu, je sais pas, c’est pas à moi - il se fout de moi, en plus, tu veux que je te déshabille pour sortir les livres, crayons, stylos et le reste ? - non mais, ça va pas ! Non ! - arrête tout de suite. Je vais te conduire à la police, j’ai les noms des magasins, les articles que tu as dérobé, l’heure et tout ce qu’il faut pour te faire arrêter, je sais plein de choses sur toi, tu es cuit, au moins 3 ans de prison, - Non, siouplait, je veux pas, pas la police ! Je vous donne tout, laissez moi - Et puis quoi, encore, la police, et tes parents. - mes parents, je les emmerdent, il ne diront rien, - tu vis encore chez eux, non ? - oui, et alors ? - il peuvent te mettre dehors, - qu’ils essayent, je leur casse leur sale gueule … - des menaces, que j’ai bien entendu, tu sais au tribunal il y a beaucoup de parents comme jurés ! Je doute fort qu’ils acceptent ton langage ! - m’en fout, j’ai pas peur - tu connais un bon avocat ? - heu, pourquoi faire, on m’en donnera un … - qui débute et tu va prendre un max. ! - je ne veux pas, pas la police. - laisses moi réfléchir, … j’ai bien une autre solution, mais tu va pas aimer ! - quoi, quoi, tout sauf la police ! J’y suis déjà allé, je suis fiché, alors ça craint, je ferai ce que vous voulez - bien je t’explique, une punition que je te donnerai, pour les vols, une autre pour tes parents, et je me charge de t’apprendre à être honnête, je m’occupe de toi. - une punition, comment ? - tu sera fouetté - je peux réfléchir ? Vous me promettez que si j’accepte la punition, la police ne sera pas au courant ? - pas de problèmes, c’est l’un ou l’autre. Je te préviens, quand même, si tu acceptes ma proposition, ce sera dur, très dur pour toi, tu va déguster, être humilié, tu va devoir me faire confiance aveuglément, - tout sauf la police, leur locaux et je ne veux pas aller en prison ! - tu en es sur ? - oui, je ferai tout ce que vous voulez. - bien. Tu vas commencer par me suivre, - on va où ? - rendre tout ce que tu as volé ! - non, pas ça, siouplait ! - que si et tu fera des excuses. Sinon c’est direction la police ! Tu choisis - bon, mais … - pas de mais, je te colle une baffe devant le commerçant si tu fais pas ce que je t’ai demandé ! - mais - tu en veux une de suite ? - non, m… aïiie, c’est bon ! »
Je le prends par l’oreille et le traîne chez le dernier commerce, la supérette, vais à la caisse, « Bonjour, j’ai là un jeune homme qui a à vous parler - heu, voilà, je vous rends ça, je, j’a, j’ai v, je vous l’ai pris, excusez moi, je ne le ferai plus. Je suis désolé - c’est bien. - Madame, je vous remercie pour votre compréhension envers ce jeune voyou ! - de rien - au revoir. - heu, ‘r’voir m’dame » je le mène vers le second magasin, la papeterie, toujours en le tirant par l’oreille, même scénario, et à la librairie.
Je le ramène chez Romain, on sera tranquille. « maintenant, à nous deux, - non, je veux pas - j’avais laissé une partie de mon matériel, je prends la cravache, et zip, sur sa cuisse, zip, zip ,zip, zip, je remonte il essaye de se protéger, ce sont les bras qui prennent, ils deviennent vite zébrés, il ne sait plus comment faire pour y échapper ! Les coups de cravache pleuvent de partout, il tombe à genoux, je continue la cravache, zip, zip, zip, sur le dos, les cuisses, les fesses, les cuisses par devant, il ne dit rien, il ne gémit même pas. un coup tombe sur ses couilles. « WouaaAaAaAH » il est un peu sonné, j’en profite pour le déshabiller, le T-shirt, les baskets, le jogging, le shorty il est maintenant nu comme un ver, il n’ose pas bouger. J’avais laissé la table relevée, je l’amène le fais se retourner, l’attache les pieds et les aisselles aux 4 pieds de la table.
Maintenant tu vas recevoir la punition pour les vols. Tu es toujours ok pour rester avec moi ? - O … ui - tu peux encore choisir la police - non, je préfère souffrir maintenant qu’aller en prison. - Bien, 25 coups de strap, c’est un fouet américain de punition. - je serai fort. - tu compteras les coups en me remerciant, tu diras merci maître - bien, mons … maître »
Et le premier coup, sur le milieu des fesses « Rrahhh, … AAAAh, u…un, m’rci m…aître, … Ouahahah, d…eux, merci ma…ître,. » une nouvelle trace sur le dos, « Ouuuiiie, tro…ois, merci maître » et un nouveau coup, cette fois sur le milieu du dos « Raâhh, qua…tre, merci maître s’v’plait, arrêtez, Wouaaaah, cinq merci maître, … Noooon, six, merci maître, … Aïaïaïiiiiie, sept, merci maître » le dos commence à être bien marqué 7 puis 8, traces violettes. « Ouuuuye, neuf merci maître, …Rwoua, di… dix merci maître, » encore 5 coups puis je me positionne de l’autre côté « ooooo … sei … seize merci maî…tre, bouuuuh » il commence à pleurer, je continue sur le milieu du dos, il compte encore mais entre les sanglots « pour les 5 derniers, tu es dispensé de compter » Les derniers coups sont enchaînés rapidement et sont donnés très fort et il tremble maintenant. Je le détache, l’aide à venir sur le fauteuil, je m'assois, et le prends dans mes bras, il pleure, sanglotte et se blottit sur moi « Jérémy, tu vois, la punition a été dure mais méritée. C’est pour que tu saches ce qui t’arriveras si tu recommence. - booou, boouuh, ouuuh, oouuhhhh, je l’jure, j’ferais blus, booouuuuh. - Calmes toi. Reprends toi, je vais t’amener voir les autres. Tu te reposeras. Et je te donnerai du travail, si tu n’en as pas, et si tu veux rester avec nous. - oui tout plutôt que … - tais toi. Tu vas te reposer.
Une heure après, je l’amenais chez Lucien. « Salut les comiques ! - Jérémy ! C’est génial ! Tu viens avec nous, on va s’amuser ! Tu verras, c’est pas si dur ! hou là là, tu as dégusté mon pauvre - C’est bon, venez l’aider à aller sur le lit, puis venez tous au salon. »
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