il me reste à m’occuper de Jérémy et Julien, j’ai leurs adresses, leurs âge, (ils ont 19 et 23 ans) Jérémy vit chez ses parents et Julien chez sa mère. Il y a aussi Jonathan, le jeune de 18 ans qu’ils raquettent, pour le plaisir.
Je décide de commencer par Julien, le plus âgé, mais le suiveur, d’après Damien, Il n’a pas beaucoup d’initiatives, c’est le jeune qu’on utilise pour les travaux délicats, qui ne va jamais décider d’un coup, il a sa voiture, c’est pour ça que les autres le gardent, il leur est indispensable. Hum, une voiture, ça peut être utile !
Je n’ai pas trop de choses sur lui, mais je vais essayer de le récupérer aussi, il secondera Lucien, il doit sûrement leur en vouloir, aux autres. Puis il est complice, il a droit à sa punition !
J’arrive chez lui, sa mère m’ouvre, l’appelle, et quand il arrive, elle va pour s’éclipser dans sa cuisine pour nous laisser seuls. « Vous pouvez rester, madame, ce que j’ai à dire à Julien, vous concerne aussi. - Bien » Je vois Julien surpris, il ne sais pas pourquoi je suis là, il est vrai qu’il n’a plus de contacts avec la bande, je me suis assuré que Rachid était bien parti, Damien et Romain sont avec moi, et Jérémy est assez solitaire, j’ai d’ailleurs un gros dossier sur lui.
« Voilà, madame, je suis au regret de vous dire que votre fils est le complice d’une bande de voyous qui commettent divers méfaits dans le secteur. Je vous ai mené le dossier, vous pouvez le consulter. - mais, je … - Tais toi, tu me fais honte. Tu as fais tout ça ? Je ne t’ai pourtant jamais aussi mal éduqué ! Il est vrai que si ton père était encore là ! Ça aussi, c’est toi ! Et tu les laisses faire ? » Julien s’enfonce de plus en plus dans le canapé, rougit, blanchit, re rougit. c’en est trop, sa mère se lève et lui donne une paire de claques retentissantes « j’aurais jamais pensé qu’à ton âge, j’aurais fait ça ! Mais c’est trop, ce que je viens de lire, tu mérites la prison, je vais aller appeler … - Madame, n’appelez personne pour l’instant, j’ai une proposition à vous faire - ? Je vous écoutes ! - Il se trouve que j’ai déja récupéré et puni deux de ses copains, sans prévenir quiconque, Je leurs fais comprendre leurs erreurs, et les punis s’ils ne restent pas dans le droit chemin. Je les ai même mis au travail, eux qui n’en avaient pas et qui donc remplissaient leurs journée par des actes plus que douteux - j’ai vu de quoi vous parlez. Ces punitions, c’est quoi ? - une bonne fessée, à la main ou au martinet, et ils m’ont remerciés, après. Des règles de vie strictes. Ils sont en train de devenir meilleurs. - En effet, je pense qu’ils n’ont pas le choix ! Si cela peux lui éviter une action en justice, je croix, en effet, qu’il ,’en a pas reçu assez étant petit… - Mais, maman, j’ai 23 ans, je décide … - de rien, tu vis encore sous mon toit, et pour une fois, j’ai décidé e te confier à monsieur, et ne me déçois pas, reviens moi honnête. Je vous souhaite du courage, avec ces jeunes. Merci de ne pas donner de suites à tout cela. - Va m’attendre à côté, Julien ! … Madame, soyez sans crainte, merci de me le confier. Vous savez, c’est pour son bien. Je vous tiendrai informé de ses progrès. - au revoir. »
J’arrive chez Lucien, il n’y a personne, ils sont tous au travail. Julien regarde, incrédule, et se demande ce que je vais faire de lui. Grand, blond, yeux bleus, bien mis, un jean correct, une chemisette … et d’un coup, il me vient une odeur bizarre. Comme une remontée d’égouts. Je le regarde fixement « dis moi que c’est pas toi ! Saloperie, mais oui, tu pues, tu es dégueulasse, un vrai porc ! Viens à la salle de bains, sale cochon que tu es » il a fait dans son pantalon, de peur. Il tremble, il me regarde et je lis la peur dans ses yeux. « Nooon, … Aaaïe » une paire de gifles pour le calmer, je le traîne sans ménagements vers la salle de bains. Il est pétrifié, je lui enlève sa chemisette, son jean je lui montre la trace marron dessus « c’est quoi, ça ? Gros cochon, sale, tu es vraiment crade ! » il est en slip, un petit slip noir, de marque, je le fais rentrer dans la douche, regarde son corps, mignon très peu poilu, pour son âge, il ira bien dans la brochette de jeunes que je forme, « d’un coup sec, je lui baisse le slip, il se protège le sexe avec les mains, je les lui fait mettre sur la tête en lui donnant quelques claques sur les joues, qui commencent à lui brûler, mais, fier, il ne dit rien, serre les dents. « tu sais ce qu’on fait aux gamins qui font caca dans leur pantalon ? Non ? On leur fait comprendre, que c’est sale ! Comme ça ! » et je prends son slip, la crotte bien en vue, lui mets sou le nez, puis lui colle dessus et lui barbouille la figure, il a le visage marron, je continue, je lui frotte le slip sale sur le torse, et lui me fait encore une autre crotte, qui tombe dans la douche, c’est est trop, « ramasse, avec ta main » il s’exécute, il va s’en souvenir, de sa merde ! Je lui appuie sur la main et lui fais écraser cette crotte, la main est pourrie, je la prends, et lui frotte sur le ventre. Il se met à pleurer. J’arrête. « maintenant, douches toi, laves toi, savonne bien, puis nettoie la douche, qu’il n’en reste plus une miette, de ta merde, tu as une serviette, ici. Après tu viendra que je te punisses comme il se doit ! »
Une demie heure plus tard, c’est un Julien propre qui arrive au salon. La serviette nouée autour du ventre. Je lui retire la serviette « tu vas t’habituer à rester à poils. Tu es puni, tu resteras comme ça jusqu’à nouvel ordre. Tu travailles ? - Oui, mais là je suis en congé. - Combien de temps ? - trois semaines. - Bien à genoux, puni ! Dis moi sais tu quelle punition je vais te donner ? - heu, non ! - une fessée, sur mes genoux - vous pouvez pas, j’ai 23 ans ! - et alors ? Tu vas y avoir droit quand même ! En position ! »
Il s’installe,résigné, je place son bassin correctement pour que le cul soit bien offert. On se demande ce qu’il faisait avec cette bande de crapules ! Il est docile. Mais je ne vais pas me laisser attendrir, je commence à caresser un peu ses fesses pour en prendre la mesure, je le sens frissonner, puis une grande claque au milieu de la fesse gauche, suivie d’un Aaaaaïeeee, sans le laisser reprendre, je lui assène une série de dix au même endroit, il crie « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe ! ...'tez Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe ! » une seconde série de dix sur le milieu de l’autre fesse, encore 10, 20, 30, claques, il gigotait, toujours sur la même fesse, des claques fortes de partout. En haut, au milieu, entre la cuisse et la fesse, une vingtaine de claques. Puis un répit de quelques secondes.
Il retenait ses larmes pour ne pas craquer devant un inconnu. D’un coup, je reprends les claques, quelques unes bien fort réparties sur toute la surface. ses fesses sont bien colorées, encore une douzaines et je reprends les claques très rapides toutes au même endroit en haut des fesses, presque le bas des reins. 10, 20, … 50, je sens qu’il se retient de pleurer, plus pour longtemps, il commence à avoir les larmes qui coulent, puis encore 5 et il se met à pleurer, je continue encore un peu en variant les claques fortes et moins fortes. Il sanglote, maintenant, j’entends «bouuuh, pa… rdon, par…don, j … j’su … j’suis dés…olé, par … don ils m’ob … obligeaient, je …devaiiiiiisbouhhh, … toujours, bouuuh, … booouuh, oouuuh » j’arrête alors de frapper, Je lui dis de se mettre au piquet, à genoux, jambes légèrement écartées, que je contemple son cul. Je prends la cane et zip, zip, zip, zip, sur les cuisses « tu es puni pour ce que tu m’as fait tout à l’heure, pour tes actes, ta complicité, quand Damien, Romain et Lucien seront la, tu auras droit à 25 coups de cane. Puis tu sera rasé, comme tous les punis, et tu ira au lit. « non, monsieur - appelle moi maître - non, monsieur le maître, je ferai ce que vous voulez, et j’obéirai, je serai docile. - fermes là, et accepte la punition, tu me dira merci, plus tard ! - boouuuuh ! »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire