Le lendemain matin, j’arrive, Romain était dans la chambre de Damien, allongé sur le lit, attaché en croix aux montants, toujours à poils, ça tombe bien pour ce que je veux faire ! Je m’approche, les frères viennent m’embrasser, je prends un collier de dressage de chien, et le mets au cou de Romain, « Damien, apporte moi un rasoir un bac avec de l’eau tiède, et des ciseaux - ? Bien maître, … voilà - Bon, Romain, je vais te raser, surtout ne bouges pas, je ne veux pas te blesser. En plus, tu dois être tout mignon, aujourd’hui, tu as un rendez-vous ! » Je lui mouille la figure, et le rase. Il es sage, il ne bouge pas. Je lui mouille alors les aisselles, « hey ? Vous faites quoi ? - la ferme et ne bouges pas, je te rase, tu dois être présentable, porcinet ! » je lui rase les aisselles, je le sens frémir, puis prends les ciseaux pour désépaissir la touffe de son pubis, je le lui mouille ainsi que la queue et les couilles, je lui rase complètement le pubis, il crie, je lui donne quelques gifles sur la figure pour le faire taire, au moins 6, « reste tranquille et tout ira bien, ne m’obliges pas à être plus sévère, tu vas être complètement rasé, que ça te plaise où non, c’est comme ça ! J’ai décidé ! Tu n’as rien à dire. Tu sera rasé. Si tu dit encore quelque chose où fait un geste, au lieu de finir la queue et les couilles au rasoir, je le fais à la cire d’épilation chaude et je tire pour que tu ais mal alors tu choisis ! » Il se calme, je commence à prendre sa queue, enlève les quelques poils, il réagit avec une petite érection j’en profite pour bien nettoyer, puis je m’occupe des couilles. Enfin, il n’a plus rien. Je prends un gant avec de l’eau et le passe sur toutes les parties rasées. Puis je prends un petit collier de chat et je lui entoure avec les couilles et la queue en serrant bien. Je demande à Damien de venir, lui détacher les jambes, et de me le tenir, je lui mets un petit string bleu, un jean, Damien lui détache les mains et lui mets un débardeur bleu assorti au string, mais moulant et court, qui laisses voir son ventre. Je l’emmène à la cuisine, « déjeune, il va te falloir des forces ! » Encore sous le choc de ce qu’il vient de subir, il mange sans faire d’histoires. Je lui remets les menottes, mains dans le dos. « Damien, tu le trouves comment, romain ? - mignon et sexy, on dirai un mannequin ! - Idiot - non, je t’assure ! »
Je le ramène chez lui, vérifie son courrier, le fais asseoir sur une chaise où je fixe les menottes. Bien, une table au salon, elle me parait bien, j’enlève tout ce qu’il y a dessus, le place dans un coin, puis lève la table de sorte qu’elle repose sur la tranche et 2 des 4 pieds, je la plaque au mur en face du canapé. Je le relève de sa chaise, le tire vers la table, je vais fais passer les pieds qui sont maintenant droits de chaque côté de son corps, et y fixe les bras, je lui enlève le jean pour qu’il reste en string et attache les pieds aux deux pieds de la table qui sont par terre.
« Je vais t’expliquer le programme, Romain, - heu ? Oui. Vous êtes … - ne dis pas une chose que je pourrais te faire regretter, n’oublie pas que j’ai pris mon matériel de punition - vous me frapperiez sur le ventre ? - non, sur les cuisses, et surtout les couilles ! - non, pitié, je ferais tout ce que vous voulez, mais pitié ! - tu n’as pas encore été puni, tu es juste un peu humilié, - un peu ? - oui, tu vas avoir droit à ta première grande punition, et de la part de trois personnes que tu as humiliées, Elles vont arriver, tu sera traité comme à la foire aux ânes, puis je te détacherai et tu sera fessé par chacune et je finirai la punition devant tes 3 copines, pour leur plaisir, après on rentrera retrouver les autres. Méfies toi que je n’ai pas de motif de te punir sévèrement, ne fais que ce qu’on va te demander, sinon, ça craint pour toi. Compris ? - heu, o … oui, mais ? - maintenant tais toi, elles vont arriver,- non, pas ça, siouplait ? - tu la ferme, je prépare le matériel ! Je te ferai danser sous le martinet si tu continue - … »
J’avais juste sorti martinet, paddle, cane, cordelette, ciseaux, que les 3 ex petites amies de Romain arrivent, joyeuses. « Bonjour Roxane, bonjour Virginie, Bonjour Sonia, - Bonjour (les 3 en cœur) - Prêtes pour notre petite fête ? - bien sur - Que oui - oh oui - venez vous asseoir, il vous attend, je vous l’ai préparé ». À la vue de ses 3 copines Romain est devenu tout rouge, de honte, il gigote pour se libérer, « arrête et dis bonjour, tu sais ce que je t’ai dis, tu ne vas pas échapper à ta punition ! - ‘jour Roxane, b’jour Virginie, jour Sonia - il est mignon comme ça ! - oui, tout craquant, hihihihi - hé, vous avez vu son string ! Rasé, en plus ! Tu te fais le maillot, maintenant ! - Allez, je vais déballer votre cadeau » je prends les ciseaux et découpe le débardeur sur un côté, il frémit au passage des ciseaux,
Romain a peur, il est humilié comme jamais, il a tellement honte que s’il y avais un trou, il s’y cacherait, mais il est attaché, il ne peut que subir ! Les mains de cet inconnu, qui a démasqué ses petits trafics, et qui veut tout raconter, à la police, mais surtout à son père, le député, quel coup pour un élu, surtout de son bord politique qui est pour l'honnêteté ! Il faut subir, résister, ne pas craquer, surtout devant ces 3 filles qui aimeraient ça, qui rigolent déjà en le regardant !
j’enlève le morceau de tissus qui avait été débardeur, pince un peu les seins de Damien pour voir s’il réagit, « aïe » bon, « mesdemoiselles, maintenant, le bas - attendez deux minutes, il est trop dans son petit string ! » et la encore, humiliation suprême, elle le prennent en photo comme souvenir, chacune veut que l’autre la prenne à côté de Romain, avec juste le string, malgré la honte, Romain commence à avoir une petite érection, ce qui le fais avoir encore plus honte. Ça y est, elles se sont fais photographier, lui ont pincé les seins, se sont un peu amusées avec son corps, le string a du mal à contenir son érection. D’un coup je lui arrache le string, « alors, cochon, on dirait que ça te fais plaisir de te montrer comme ça ! - no… on, je … , j’ai … hon… te, je … - hé les filles, regardez, il a un collier ! Pour la tenir en laisse ! Elle partira pas, tu sais ! - Roxane, Virginie, et Sonia, vous allez voir ce que je fais de cet insolent ! Qui vous a fait du mal » Je prends le petit paddle, et donne un coup sec, pas trop fort entre les jambes de romain, bien sur les couilles « Wouahiiille ! … nooooooouille, … han, … » j’en suis au cinquième coup, il ne bande plus, je prends alors la cane fine, et commence à lui donner sur la queue, sans éviter les couilles, une dizaine de coups. J’arrête je ne veux surtout pas le faire pleurer, pas encore, les filles sont mortes de rire.
« On va passer à la suite » je lui mets la laisse au collier et je le détaches sauf les menottes pour pas qu’il tente de se cacher de ses mains, je le promène devant son public, il est tellement abattu qu’il ne tente plus rien ! Je le fais défiler en laisse le chien, à genoux, je le fais marcher comme ça, le tire un peu pour qu’il avance, qu’il se montre bine de devant, de derrière, maintenant je lui enlève les menottes et le fais mettre à 4 pattes, je le tiens en laisse comme un vulgaire chien, le promène, et là, tout commence vraiment.
J’avais préparé une chaise, je la place face au canapé, « Roxane, vous pouvez venir vous installer confortablement, sur la chaise, je vous amène le cadeau » une fois assise, je traîne Romain, qui vient de comprendre, fais placer Romain sur les genoux de Roxane, positionne son cul pour qu’elle puisse le fesser comme il faut, passe le bout de la laisse au pied de la chaise forçant Romain à rester la tête presque au raz du sol. « Vas y quand tu veux » Et Roxane commence à fesser, on dirait qu’elle a déja pratiqué ! Elle s’applique à faire rougir toute la surface des fessés, Romain se mord la langue pour ne rien dire, clap, clap, clap, clap, une quinzaine de claques, clap, clap, clap, Roxane prends son plaisir à punir celui qui l’a faite souffrir, il commence à gémir, les claques tombent sur son cul qui devient rouge, on doit en être à 60 ou 70 claques, il résiste, pour le peu de fierté qui lui reste, Romain ne veut pas montrer qu’il a mal, pas comme ça, pas devant Virginie et Sonia qui se moquent de lui. Au bout d’une vingtaine de minutes, il commence à gémir plus fort. Roxane done encore quelques claques et s’arrète, épuisée. Épuisée mais contente d’avoir non seulement vu Romain humilié mais d’avoir pu lui faire payer par une fessée, ce qui l’a défoulée, le fait d’avoir été trompée, et qu’il ne se soit servi d’elle que comme un objet, il a payé, c’est lui l’objet ! « J’espère que tu comprendra que tu m’as fait du mal, cette fessée doit te le faire comprendre Romain ! - snif, Ro, … j… je su…is désolé, pardon, pardon. Snif,snif - pousses toi que Roxane puisse se lever »
De suite, Virginie viens prendre la place de Roxane, je lui fais installer Romain correctement et elle commence à fesser, clap, clap, on voit qu’elle n’a pas l’habitude, mais essaye de faire comme Roxane, les claques tombent moins régulières, elle claque plus fort que Roxane, Romain gémit de plus en plus, essaye de gigoter pour échapper à ces claques, clap, clap, clap, CLAAP, clap, il respire très fort, Elle a pris le rythme, et de l’assurance, le gronde comme on gronde un gamin (de 21 ans ! ), lui a de plus en plus de mal à résister et « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... Arrê'... Aïe ! ...'te Aïe... Aïe ! noo … Aïe...on,… Aïe... Aïe » il commence à ressentir la douleur de son cul qui est maintenant violet. Virginie s’arrête, elle a fessé une demi heure, elle s’est défoulée, tant de pleurs, d’humiliations, qu’elle a subi de Romain, elle est contente, je prends la laisse, et fais mettre Romain au piquet, mains sur la tête pour qu’il nous montre ses fesses punies, il a les larmes au bord des yeux, il va se reposer un peu avant les deux dernières punitions ! « vous voulez boire quelque chose ? - Allez, oui ! » je regarde dans la cuisine, et porte 4 sodas.
Une heure plus tard, Sonia prend place sur la chaise, je lui installe Romain. Et la fessée reprend, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, clap, bien rythmé, et « Aïe... Aïe... Aïe... Aïe... ouuh... Aïe ! ...'te Aïe... Aïe ! noo … Aïe...nan,… Aïe... Aïe » sa fierté l'empêche de pleurer, mais il crie, gémit, gigote et Sonia ne l’épargne pas, les claques tombent de partout, même sur le bas du dos et la naissance des cuisses. Une bonne demi heure, et Sonia s’arrête, fatiguée. Je récupère Romain, le force à se lever, le fais défiler devant les 3 filles pour qu’elles voient bien son corps de puni qui a la tête basse et lui fais demander pardon à genoux devant chacune, « Pardon pour tout le mal que je t’ai fait, et merci de m’avoir puni, je l’ai bien mérité »
Maintenant, vous allez voir ma punition, je le mène à la chaise, lui attache les mains et les pieds aux 4 pieds de la chaise de sorte que son cul soit bien rebondi, et les jambes écartées. Je choisis le martinet de cuir, donne un coup en l’air pour le prendre en mains, et lui dit : « tu vas recevoir deux séries de 25 coups de martinet, tu comptes les coups ». Le premier coup tombe sur ses fesses déjà punies par les fessées, « Rhaaaah, … un … - on dit un, maître, tu recommence à compter - haaaah, un maître … rooooôh deux maître … Ouuuuh, trois maître … Aaaaaah, quatre maître » bientôt dix traces zèbrent les fesses. « Raaaaaaaaah, on…ze maître … Ouououou d…ouze maître … Ouuuuh, t…treize maître … Aaaaaarh, qua…torze maître » un peu plus bas, sur le haut des cuisses, il est pas loin de pleurer, le suivant tombe sur les reins « Ouuuuh, quin… snif … dix-sept, snif, … maît… » et il éclate en sanglots, no…o…on, vingt maître, … Woahahahaïe, vingt et un maître » je lui en donne sur les cuisses, le bas du dos « Ma…Mai…tre !, pardon, vingt cinq - tu as droit à 5 minutes de pause. » je me tourne vers les filles qui ont des mines réjouies, elles l’ont vu pleurer, sangloter, et ça, elles apprécient beaucoup ! Romain ne se retient plus, il n’a pas pleurer avec les filles, mais avec moi, il se laisse aller, les larmes coulent. Je reprends, sur le dos cette fois, « Bouuuh, vingt six maître, … bouuuuh, vingt sept, maître, … boouuuh, vingt huit, maître, ouuuuuh, …oinnnn, trente, maître, pardon, » il ne pleure plus, il ne peut plus, il gémit, il geint, il couine, « quarante six maître, … quarante sept, maître, … quarante huit, maître quarante neuffff, maître, … cinquan…te maître ».
Je le laisse, me tourne vers les 3 ex copines de Romain, « Alors ? Contentes ? - Oh oui ! - Bien sur - super génial, il a compris au moins. - Bien, je vous remercie d’être venues, - Merci à vous ».
Je le détache, l’envoie sous la douche. Je dois le laver, il est trop faible, le rincer, avec de l’eau tiède, je le sèche avec précautions, le prends dans mes bras pour le consoler un peu. « Alors Romain, tu me promets d’être sage ? D’obéir à mes règles ? - snif, je … sais pas … si je vais … y arriver, c’est trop dur ! - avoue que tu as bien mérité ta punition ! - Oui, surement, j’ai trop joué avec leurs sentiments, j’en ai pour aucune, elles étaient là pour le plaisir, uniquement, je pensais pas leur avoir fait du mal, je le reconnais maintenant. - Bien, allez, je vais t’habiller, et on va rentrer. Pour le moment, tu va rester au lit quand tu ira mieux, tu fera ta part de travail dans la maison. - Bien … - Tu as encore a être puni pour le racket, et aussi pour les autres méfaits, mais ça, ça peut attendre, tu ne sera pas puni tout seul. Ne me crée pas de problèmes et tout ira bien, autant avec moi que Lucien, et Damien, respecte Lucien, il me remplace quand je ne suis pas là, ne t’en prends pas à Damien, il est ton égal, vous êtes tous les deux punis, qui doivent m’obéir. Tu as compris ? - Oui, je crois. - oui qui ? - oui maître
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