J’arrive pour voir mes deux frangins, savoir comment s’est passée la soirée, la nuit, et mettre en place la suite. Je rentre dans la maison et trouve Lucien installé sur son canapé, Damien, quant à lui est dans sa chambre. En me voyant, Lucien se lève, et viens se mettre à côté de moi comme au garde à vous. Je le regarde et lui dis « Damien ? – Il est dans sa chambre, calme, je n’ai pas eu de soucis avec lui. Il m’a obéi. Mais il est faible, je l’ai laissé dans sa chambre. – Bon, j’irai le voir après, on a un petit compte à régler, tous les deux, ton mensonge. » D’un coup, je vois Lucien devenir tout pâle, se mettre à trembler. « vous … allez faire … - Tais toi. A poils et vite ! puis tu te mets dans la position que j’appelle du puni : à genoux, mains sur la tête, jambes légèrement écartées. Et tu attends que je statue sur ta punition pour ne pas m’avoir dit que j’aurais à éduquer Damien ! – Je … , - La ferme tu sais que si tu me mets en colère, la punition sera augmentée. »
Je le regarde, son corps est bien fait, mince, mais pas trop, une petite queue, des jambes presque pas poilues, comme le reste du corps, d’ailleurs. J’en fais le tour pour voir un joli petit cul. Il va dérouiller, il me donne envie de le corriger encore plus en le voyant. Je pense que lui, doit aimer ça. Je prends une chaise, et lui dit de se lever, d’aller à la chaise et de prendre la position, les mains sur le dossier, d’écarter les jambes, et je lui annonce « correction au martinet. Tu vas apprendre à ne pas mentir, avec ton frère, tu fais la paire. » Je prends le martinet, fouette l’air plusieurs fois pour délier les lanières et un premier coup, Lucien ne dit rien, il encaisse. Le coup n’était pas encore fort, c’était pour tester les réactions. Puis, une série de 10, il serre les dents, encore dix, il commence à faire des petits bruits mais, il résiste bien à la correction. Je change de côté, une série de 15 coups très rapprochés et plus forts lui tombe sur les fesses, il commence à gigoter et pousse des petits cris à chaque coup, son cul commence à prendre des couleurs, il rosit. Une série de 20 coups, les coups commencent à le toucher plus, on dirait qu’il a l’habitude d’en recevoir ! Et d’ailleurs, il a un début d’érection « alors petit cochon, tu aimes ça, le martinet ! Tu ne vas pas être déçu ! » Et je continue, en variant les endroits. Sur le dos, en bas du dos juste au dessus des fesses ce qui lui tire des cris, il commence à avoir mal, même s’il est endurant ! Il reçoit les coups sur le haut des cuisses, à la naissance des fesses, sur les fesses. En tout il a déjà reçu plus d’une centaine de coups, il bande complètement, « tu vas compter les 5 derniers en remerciant – Bien maître » et je les lui donne très fort à la naissance des fesses les 5 « Wouahhh, un, maître, merci maître, … Rhâaah, deux maître, merci maître, … Troiaaaaaille, maître, merci maître ; quatreeeeeeuh, maître, merci maître. Aaa aa aaa, cinq maître, merci maître – maintenant mets toi à genoux, dans le coin mains sur la tête. Je vais aller voir ton frère. » Je le vois aller au coin, là où Damien se met, il se place à genoux, avec le pieds, je lui fais écarter un peu les genoux, puis il se met les mains croisées sur la tête. Je l’observe quelques secondes, il est gêné de se trouver dans cette position, il préfèrerais voir Damien, c’est sur. Il doit s’attendre lui aussi a des punitions. Il m’a demandé, il doit se soumettre à mes règles.
Je laisse Lucien à son piquet et me dirige vers la chambre, ouvre et vois Damien assis sur le lit. Résigné. Je lui demande comment il va ce matin, il me regarde d’un petit air craintif, baisse les yeux. «Euh, Maître, je suis à vôtre disposition pour la punition – Damien, je ne te punis que quand tu as fait une faute, même si elle est ancienne. Je suis sévère mais juste. Ne crains rien. Pour l’instant, je te laisse récupérer un peu de ta grande punition. D’ailleurs, pour ce qui est de tes fréquentations et des trafics que vous faites, je ne suis pas pressé de te punir tu n’es pas seul en cause, et en plus, tout va dépendre de toi, comment tu te comportes. » A ce moment, Damien fond en larmes je m’assois sur le lit, lui fait signe de venir s’asseoir sur mes genoux, il viens pose sa tête sur moi, met ses bras autour de mon buste et se blottit tout contre moi, comme pour se mettre en sécurité dans mes bras. Je lui caresses doucement la tête, et le prends dans mon autre bras. Voilà qui est bien, j’attendais ce moment, il est trop mignon. Surtout comme ça, fragile. « allez, Damien, calme toi, tu as beaucoup appris en 3 jours, même s’il t’en reste à apprendre, tu es sur le bon chemin. » je le caresse le cajole, le console, lui prends la tête dans mes mains et le place en face de moi, avec les pouces, je lui essuie les larmes. « tu as du manquer de tendresse dans ta jeunesse ! – Oh oui, comme mes parents me laissaient faire tout ce que je voulais, je n’ai jamais été cajolé comme ça ! Jamais un geste d’affection, c’est normal, je leur en ai fait voir de toutes les couleurs ! je ne les ai pas épargnés, en retour, ils ne m’ont pas montré leur amour pour moi, plus ‘une fois j’ai pleuré dans mon lit, tout seul, mais c’est de ma faute, si j’avais été plus gentil … » et la, j’ai collé mes lèvres aux siennes et on est resté un moment à s’embrasser. Je l’ai ressenti encore plus craintif, pus il s’est laissé aller, s’est détendu et d’un coup, il s’est mis à bander je lui ai caressé le sexe, les couilles, très sensuellement, et a joui très rapidement. Je suis resté surpris de la rapidité de sa décharge. Je l’ai gardé serré encore un peu pour le cajoler. « Oh maître, je suis désolé, … c’est la première fois … que ça m’arrive comme ça, … je ne voulais pas, … excusez moi, … je … je … je … » et il rougit, il se mets à genoux devant moi pour me demander pardon « punissez moi d’avoir … » et il se remet à pleurer ! je sèche ses larmes avec mes pouces, « écoute moi, Damien, arrête de pleurer, ça ne sert à rien maintenant ! tu n’as rien fait de mal ! au contraire, tu as trouvé du réconfort et tu t’es senti bien, suffisamment bien pour que tu jouisses. Et après ? Je te l’ai déjà dit, je suis sévère, dur parfois, pour que tu respectes bien les règles, mais juste. Là, tu n’as commis aucune faute. Lèves toi, va te laver, prends une douche et viens dans le salon pour que je vous donne les règles à respecter tant que vous serez mes deux boys. Allez, file, et dépêches toi !
Je retourne au salon, dis à Lucien que son piquet est fini, qu’il se rhabille et vienne à côté de moi. On commence à préparer la suite, je veux qu’il s’affirme auprès de son frère. Damien vient nous rejoindre. Je lui tends un slip, « tiens, mets ça, viens t’asseoir à côté de moi, on doit discuter » je les place chacun d’un coté, je ne veux pas que l’on soit perturbés.
« Vous devez avoir des règles strictes pour progresser, toi, Lucien, tu es responsable de toi et de ton frère, ce qui veut dire que s’il fait une bêtise, tu le punis, et tu m’en fait le rapport, sinon, c’est toi qui sera puni. Je veux que vous soyez toujours présentables, c’est à dire quand vous sortez, un T-shirt propre et un bermuda en jean avec des sandales. Lucien, tu es en vacances encore combien de temps ? – Quinze jours – Bien, alors profites en pour montrer l’exemple à ton frère, puis pour allez travailler, tu te mets comme d’habitude, ne change rien, quand vous êtes dans la maison ou je jardin, un slip et rien d’autre, le bermuda doit rester près de la porte d’entrée pour être mis si quelqu’un – autre que moi – arrive. Quand vous êtes dans la chambre, c’est à poil. Des questions – Non – Non – Bien. Toi, Damien, tu as quinze jours pour trouver du travail, je ne veux pas te voir ici à glander. Tant que tu n’en as pas, tu feras toutes les tâches ménagères, et je viendrai vérifier. Tu dois obéissance à ton frère comme à moi, sous peine de fessée. Soyez propres, et attention à ce que vous faites. Je viendrai très souvent pour vérifier que tout se passe bien. – Oui maître – Bien maître – soyez gentils l‘un envers l’autre. Lucien, ton frère a besoin d’être cajolé, quand il est sage, et puni, même sévèrement quand il ne l’est pas. Je te délègue les fessées pour les petites bêtises, mais s’il fait une faute qui est plus sérieuse, tu me fais un rapport et je m’en occuperai. »
« Pour les repas, nourriture saine et équilibrée, tous les matins je veux que vous me fassiez, ensemble, une demie heure d’exercices de gym. Demain, je viendrai vous faire commencer et vous montrer ce que je veux. – je déteste ça, la gym – aaaïe, noOon » Une paire de gifles, part sur la figure de Damien, qui ne s’y attends pas, « mais … , ouaille, Eh ! » c’est qu’il me réponds l’effronté ! je vais te le calmer « si tu continue à me répondre, tu vas te prendre une fessée, attention – m’fait pas peur ! » c’en est trop, je l’attrape par le bras, le colle sur mes genoux, et commence une série de claques sur ses fesses, assez fort, toujours au même endroit de chaque fesse, elles commencent à chauffer, il ne dit rien, encaisse vaillamment, il a sa fierté ! Je lui enlève son slip qui tombe à ses pieds. Il est bloqué, ne peut pas bouger, et commence à gémir « pitié, … l’r’frai pas, … noon … » mais je le laisse dire et continue, il doit comprendre qui donne les ordres, je suis encore en colère. Je continue encore dix minutes, il gémit toujours, mais sa voix commence à chevroter, encore un peu, enfin, résigné, il accepte les dernières claques et commence à avoir les larmes aux yeux. Je lui donne les deux dernières très fort sur ses fesses bien rouges ce qui lui tire un cri à chaque, je le relève, lui colle 2 paires de gifles en pleine figure « suffit, mets toi à genoux devant nous, et fermes la. Tu es puni et dès que je pars, jusqu’à demain tu ne bougeras pas de ta chambre. »
« Lucien, si tu le punis ne te laisses pas attendrir par ses pleurs, tu fais ce que tu as décidé, va au bout de la punition, tu peux même en ajouter s’il est insupportable.
« Bien, maintenant concernant tes trafics avec ta bande de voyous, tu vas me dire qui ils sont, comment ils s’appellent, leur âge, ce qu’ils font, ce que vous avez fait ensemble, ce que tu sais d’eux, comment vous vous contactez, bref, tout ce dont j’ai besoin de savoir pour m’occuper de vous et vous faire passer l’envie de faire des trafics. – Non, je ne dirai rien, je ne suis pas une balance, punissez moi, mais je ne dirai rien ! – écoutes moi bien, petit merdeux, je ne le répèterai pas deux fois, soit tu me dis gentiment ce que je veux savoir, et tout se passera bien pour toi, sinon, j’ai tout une panoplie de techniques pour te faire dire ce que je veux, qui ne sont pas agréables pour toi. » je vais chercher dans mon sac une paire de menottes, que je donne à Lucien pour qu’il les mette devant Damien, la strap, mais aussi une cane, un paddle une cagoule, et des pinces. « Tu as le choix de tester tout ça, ou de parler de suite. – Heu, … j… j…j…e v…ais ré… – tais toi, Lucien mène le dans sa chambre, enferme le, demain, il sera peut être décidé. »
« Je reviens demain matin, mon Lucien. » Et je pars.
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