Le lendemain, je débarque chez les deux frères, pour en apprendre un peu plus sur cette bande de voyous que Damien fréquente, et éventuellement les punir comme il se doit, et peut être les récupérer, comme Damien. J’ai dans l’idée d’en faire une petite unité de protection du quartier où ils faisaient leurs bêtises. Qu’ils passent du côté utile et ne soient plus nuisibles. Mais c’est pas gagné. Il va déjà falloir que Damien parle, et tout dépend de ce que je vais pouvoir en tirer. Mais avec l’aide de Lucien, il va falloir que je lui dise que je commence à bien l’apprécier, qui à l’étoffe d’un bon second, je pense qu’on est sur la bonne voie.
« Salut mon Lucien, comment s’est passée la nuit ? - Bien maître, tout est calme. - Bon, tu me seconde bien, viens ici. » Il se met devant moi, inquiet, pensant avoir fait une bêtise. Je le regarde un instant et sans qu'il s'y attende plaque mes lèvres contre les siennes et lui donne un long baiser et en même temps le caresse, les seins, les fesses, je m’attarde sur les fesses, un doigt dans la raie, il s’égare et entre un peu dans son petit trou ! « Il faudra que l'on reprenne ça plus tard, mon grand ! Je veux que tu me dises bonjour et au revoir avec un baiser, c'est agréable ! » Je le laisse complètement sonné par cette scène et vais vers la chambre de Damien « Merci maître de vous plaire » j'ouvre la porte, trouve mon Damien encore endormi. Je lui donne une bonne paire de claque sur les fesses. « Debout Damien ! on se dépêche ! - Ah, Euh, Désolé maître, je… eeeuuuh - secoue toi, va te laver, et viens dans la cuisine déjeuner, tu vas avoir une journée importante. - Bien maître. - je t'attends. » Je retourne dans la cuisine avec Lucien « Prépare lui son petit déj. Ensuite, viens avec moi, on va installer la corde de punition au cas où il ne veuille pas nous parler de sa bande. Sort moi la strap, une cane et des liens. - Bien maître, je fais comme ça. »
Un quart d'heure plus tard, Damien arrive, je me place à côté de lui, il sent le propre, c'est bien. Il déjeune vite fais, puis je le rends par le bras et le mène au salon. « A genoux devant moi, Damien ! J'espère que tu as réfléchi à ce que je t'ai dis hier ! » Il se positionne, bien en face de moi, sa nouille pendante, mains sur la tête, je lui fais écarter les genoux de 10 cm pour que tout son paquet soit bien entre les jambes. Je fais venir Lucien à côté de moi, debout face à son frère. « Alors ? On t’écoute ! - Heu, j’ai réfléchi, … je … ne veux pas balancer mes potes, … je risque gros de leur part, j’ai pas envie, … non ! Je ne dirai rien sur personne. C’est pas bien. - Écoute moi bien, Damien, je n’ai pas de temps à perdre, tu es déjà puni parce que tu as participé à des vilains actes, avec tes potes, comme tu dis, tu me dois obéissance, ainsi qu’à ton frère, pendant tout le temps que j’estimerai devoir te corriger parce que tu dois être remis sur le droit chemin ! Je ne te le dirai pas une autre fois, tu as intérêt de nous dire tout ce qu’on veut savoir, on te laisse une minute pour te décider à obéir, sinon tu sera fouetté durement et tu finira par nous parler ! - viens Lucien, on va le laisser mijoter encore un peu, ce grand voyou ! Et on va préparer la suite. Tu as son portable ? - oui - vas le chercher, on y trouveras déjà des infos - non, vous avez pas le droit - Toi, ferme la et prépares toi tu n’as pas à discuter mes ordres ! - voilà maître je l’allume, tiens il a 2 sms en attente ? - regarde les ! Note les moi, regarde les noms qui reviennent souvent dans les appels. - On a déjà Rachid, Julien, Kévin. Les autres c’est les parents et moi et de l’occasionnel : Fayçal, Alexandre, Jérémy, Romain, Cyril, et deux filles Virginie et Aurélie. - Bien - tu as noté les sms reçus ? - oui, les 8 derniers. - OK, mène les, je les regarderai plus tard. - Alors, tu es décidé ? - NOÔON - Bien, tu ne me laisses pas le choix, tant pis pour toi. Lucien, attache lui les mains devant, puis amène le à la corde.»
Je vais vers Damien, lui fixe les mains à la corde, lui écarte les pieds avec le carton prédécoupé spécial, tend la corde jusqu’à ce qu’il soit sur la pointe des pieds, son corps bien tendu. Il ne dit rien, essaye de résister du mieux qu’il peut, il sait qu’il va déguster. Je me mets face à lui, prends ses couilles dans ma main et les serre fort, en les tirant vers le bas « Aiiïe - Toujours décidé à ne rien dire ? - … - tu vas avoir une série de 25 coups de strap, tu comptes les coups » je lui bande les yeux pour le déstabiliser un peu plus et le premier coup tombe sur ses épaules « Rhaaaah, un maître … rooooôh deux maître … Ouuuuh, trois maître … Aaaaaah, quatre maître » les traces apparaissent sur ses épaules, mauves, pour l’instant il encaisse la punition, bientôt dix traces zèbrent le haut de son dos. « Raaaaaaaaah, on…ze maître … Ouououou d…ouze maître … Ouuuuh, t…treize maître … Aaaaaarh, qua…torze maître » encore sur le dos, un peu plus bas, il est pas loin de pleurer, le suivant tombe sur les reins « Ouuuuh, quin… snif … quinze, snif, … maît… » et il écate en sanglots, je change de côté pour lui laisser 2 minutes de répit, et sans prévenir, ce sont 3 coups assez for qui tombent sur ses épaules, le compte se perd dans les pleurs, les 2 derniers coups tombent bien fort pas très loin des autres. Il a le haut du dos zébré de traces violettes.
Je le laisse 5 minutes respirer, quand les sanglots commencent à faiblir, je vais devant lui : « Alors, Tu vas être raisonnable et me parler, où il faut que je continue ? Tu vois dans quel état tu m’oblige à te mettre ! Sois sage, et si tu me dis tout, j’arrête, sinon je continue, encore 10 coups. - no…o…on, je … ne di…rai ri…pa…heu ? » Je prends une cane assez fine, la fait siffler dans l’air, je ne veux plus frapper son dos, il ne résisterai pas et un coup sec au milieu des fesses une belle marque fine et rouge, « Woahahahaïe » il ne s’y attendais pas, il a toujours les yeux bandés, le bandeau trempé, et n’avais pas vu la cane, encore 3 coups, au milieu des fesses, trois cris, 2 coups à la naissance des fesses en haut des cuisses, et un sur le bas des reins là ou la strap était déjà passée. « Ma…Mai…tre ! - Oui ? - arrê…tez, je v…ous en prie, je …j’ai … heu … dé… ci… dé de … vous expliquer, tout, … ce que je fais, qu’on a fait, … nos conneries … mais siouplait je serai gentil, frai ce qui vous fera plaisir, … arrêtez. » Je lui donne encore un coup de cane pour la forme, plus doucement sur les fesses, « MAAAAAÎTRE, pardon, … pardon de vous avoir fâché, siouplait ! »
Je m’approche de lui lui retire le bandeau, sèche ses larmes avec, « Lucien, viens m’aider, » j’enlève le carton, détache Damien de la corde, avec Lucien, on l'assoit sur une chaise en face de nous, « On t’écoute » Et il se mets à parler des ses 3 copains, des méfaits qu’ils ont commis, je note soigneusement toutes les informations, les noms, il y a Jérémy, Romain, Rachid et Julien, j’ai même, en prime leurs noms, leurs adresses, leurs âge, (ils ont 19, 21, 20 et 23) il me dit s’ils vivent chez leurs parents et même que Romain vit seul, et a 3 copines qui viennent le voir il se vante de les recevoir une après l’autre ! Il me parle de Jonathan, un jeune de 18 ans qu’ils raquettent, pour le plaisir de le voir avoir peur.
« Damien, tu as été courageux et fort. Mais tu vois, avec moi, ça ne sert à rien, quand je veux quelque chose, je l’ai. Viens ici » je lui enlève les liens sa ses mains, le mets à genoux par terre, et place sa tête sur mes jambes. Il se laisse aller et se remet à pleurer. Je le caresses, « tu vois, Damien, c’est mieux comme ça, quand tu es gentil, je t’aimes quand tu es comme ça, tout mignon » je vois le regard noir de Lucien, je continue à caresser longuement les cheveux de Damien.
« Lucien, ne soit pas jaloux, et viens m’aider à le porter sur son lit. Pendant 2 jours, tu vas lui pommader le dos matin, midi et soir, il est au repos et a le droit de ne pas faire ses tâches, toi, tu as le droit de t’amuser avec lui, quand tu le masses, de le caresser, de le sucer, de lui faire du bien. Pas encore de le prendre, il doit se reposer, je te demande d’être câlin avec lui, et surtout de noter tout sur le livre de bord. Je veux savoir ce que tu lui as fait, exactement. Je ne passerai que tard le soir une fois par jour, je vais m’occuper de sa petite bande de voyous. N’oublie pas que je dois m’occuper de ton corps quand je reviendrai. Allez mon Lucien, tu es gentil, … Ah, appelle tes parents, dis leur que Damien a eu du remords et qu’il a demandé d’être repris en mains, et qu’il ira, mais plus tard, leur demander pardon pour tout. Viens m’embrasser, je file»
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire