mardi 2 novembre 2010

Fayçal

Fayçal est élève dans le lycée de Jonathan, il viens d’avoir 18 ans, il est agité, voire perturbateur, dans la plupart des cours il bavarde et travaille mal. Un jour, Jonathan le surprend en train de se branler. En le voyant, il se fige la queue à a main, trop tard ! Deux gros jets de spermes lui dégoulinent le long du poignet. Il me regarde en baissant la tête. « Je, …heu, – Alors, Fayçal, tu aurais pu faire ça ailleurs. – Jonathan,  … ne dis rien, s’il te plait – Désolé, tu va venir avec moi voir le proviseur, je veux pas être ton complice – Non, s’il te plaît,  ne dis rien à personne, je suis perdu, mon père va me tuer s’il l’apprend, je ferai tout ce que tu veux, mais … – Tais toi. Dépêches toi et viens me trouver avant de partir que je décide ce que je ferai de toi. N’oublie pas, si tu ne viens pas, je fais un rapport et tu es exclu pour 3 jours … – Non, je serai là, je viendrai te trouver dès la fin des cours. 

Entre temps Jonathan m'appelle, pour que je m'occupe de son collègue ! 

A l'heure prévue, je rejoins Jonathan, je vois arriver Fayçal « Voilà mon maitre, il va te punir parce que tu le mérites. - Jonathan, noon, - tu vas faire ce que je veux sinon je parles au proviseur ! - Non, Jonathan, Monsieur, je suis prêt à être puni par vous, mais ne dites rien à personne. – J’ai une idée de punition, mais, tu dois être d’accord, tu as le choix d’accepter ma punition ou de te retrouver devant le proviseur, avec tes parents. – Non, s’il vous plait, j’accepterai tout si vous ne dites rien, - Bien, viens avec nous, » 

Je le prends à part, dans une pièce retirée, où personne ne peut nous déranger que Jonathan a choisi, à l’écart et très discrète. « Bien, tu dois être puni. Je vais te donner une fessée. – Pardon ? Pas çà, non ! – Alors tant pis pour toi, je vais devoir appeler tes parents, et faire mon rapport au proviseur. – Non, non, attendez, je …, j’a…, je suis d’accord si vous ne dites rien. – C’est toi qui vois. Ce n’est pas une petite fessée de gamin, Tu vas recevoir une fessée à la mesure de ce que tu as fait, tu as 18 ans, donc ce sera une fessée qui va te faire comprendre que tu ne dois pas faire  n’importe quoi, n’importe où. – Mais je ne faisais rien de mal, je l’ai déjà fait plusieurs fois sans problèmes, avant. – De mieux en mieux, allez, déshabilles toi. Et plus vite que çà, sinon c’est moi qui le fait. » 

Il hésite un peu, et doucement enlève ses habits. Il reste en shorty multicolore. Je l’attrape, et le bascule vivement sur mes genoux, commence à claquer ses fesses, il se mord la lèvre pour ne rien dire, il fait le dur, mais c’est une mise en place, je chauffe ses fesses, clap, clap, clap, clap, clap, en rythme, il commence à laisser échapper des petits cris, je continue, encore une vingtaine de claques. Il commence à renifler. 

« Maintenant la punition va commencer, Fayçal » je lui baisse le shorty, dégage ses fesses rougie que plus rien ne protège et clap, clap, clap, clap, clap, il gigote, il renifle, clap, clap, clap, clap, clap, il commence à demander pardon, dit qu’il a compris, qu’il ne le fera plus, clap, clap, clap, clap, clap, en rythme, les claques continuent, je vois ses fesses devenir écarlates, il fait son dur, essaye de se retenir mais n’y arrive pas, il se met à pleurer, clap, clap, clap, clap, clap, je veux le punir et qu’il se laisse aller, qu’il abandonne sa fierté d’adolescent, il sanglote, il ne dit plus rien, juste les pleurs, le visage plein de larmes, il ne bouge plus, je le sens se donner à la punition, clap, clap, clap, clap, clap, le jeune morveux fais place à un jeune soumis, qui se laisse aller et pleure sans plus de retenue. J’arrête, le relève, le fais mettre à genoux, prends son shorty pour lui essuyer les larmes, « Alors ? J’espère que tu as compris la leçon ! Tu en recevras encore si tu ne te tiens pas comme il faut. Avec tout le monde ! Si Jonathan me dit que tu as créé le moindre petit problème, je t’en colle une autre. – Snif, non, monsieur, je vous promets que je serai sage, toujours, - Tu as intérêt, sinon, tu sais ce qui va t’arriver ! – Oui monsieur, - Reste au piquet mains sur la tête un quart d’heure, puis rhabilles toi. – Ne dites rien à personne, monsieur, je vous en prie, je promet de me tenir tranquille. »

Un quart d’heure plus tard, je le laisse se rhabiller, et de tout le reste de l’année, il a été exemplaire. 

A la fin de l’année, il est venu me trouver, « Monsieur, merci pour la fessée, çà m’a permis de bien travailler. » 

jeudi 7 octobre 2010

Encore Damien et Romain

Quelques jours plus tard, j’arrive chez Lucien. J’entends des cris, des éclats de voix. « connard - sale chien - enculé - toi même - pourriture - … » je reconnais Damien, il est dans tous les coups foireux, et Romain. Ils se disputent, et même quelques coups de poing sont donnés. Je rentre dans la pièce, ils se figent, et je les vois tous deux qui se retournent. L’érection qu’ils avaient tombe d’un coup. Ils deviennent tout pale. « banjour maître - salut les merdeux, alors, je peux savoir ce qui se passe ? - ben heu c’est lui -non, c’est toi, - menteur - trou du cul - stop. Damien, va me chercher une cane et la strap - mais maître - de suite et va te mettre à genoux dans le salon. Toi Romain, va me chercher tous les autres, et viens te mettre à genoux dans le salon. De suite ! » 
Avant d’aller au salon et de m’installer, je fais un tour d’inspection dans la maison pour découvrir que la propreté laissait à désirer. Lucien m’en rendrait compte.
J’arrive au salon en même temps que Lucien, qui viens m’embrasser. « bonjour maître - salut mon petit Lucien, je venais vous voir et je trouve ces deux rigolos en train de se battre ! Et la maison qui est sale, tu crois qu’un baiser va me faire oublier tout ça ? - calmez vous maître, j’ai tout noté pour vous. Mais Damien et Romain doivent d’abord être puni sévèrement pour se battre. C’est toujours pareil. Damien cherche Romain, et Romain ne veux pas de lui alors ils se battent. - On va y mettre un terme. Ils seront punis et ils devront se  réconcilier chacun devant de faire un effort. Damien, je t’écoutes, dis moi ce qui s’est passé. - ben, je, heu, voulais, Romain, il me plaît, j’ai envie de lui, son corps, sa queue dans ma bouche, qu’il me jouisses dedans et que j’avales tout. Mais il veut pas. Il veut que je ne le touches pas, je ne lui plaît pas ! Ça me mets en colère et je le tape. Pardon maître, je ne devrait pas, je vous déçois … - Tu mérite une punition exemplaire. Mais je tiendrai compte de ta franchise. Et toi, Romain ? - Mais maître, je ne sais pas quoi dire de plus, il me cherche tout le temps, je n’ai pas toujours envie de lui, il ne m’attire pas, même si parfois … ben oui, il me fait de l’effet, je ne suis pas insensible ! Mais pas sur commande. Je n’arrives pas à lui faire comprendre qu’il doit me respecter. - Tu n’as pas à te  battre avec lui. Lucien et moi sommes là pour régler le problème - pas toujours, maître, sauf votre respect - tu peux toujours changer de pièce, ou l’éviter. Ne pas chercher à te bagarrer ! Tu sera puni sévèrement, - bien maître, vous avez raison, je m’emporte et c’est pas bon ! »   
« Lucien, tu en pense quoi ? - je leur donnerai bien une bonne fessée. - bon. Jérémy et Julien, vous en pensez quoi ? - Ben, heu, j’sais pas - heu, moi non plus - Ouais, vous ne voulez pas vous mouiller ! Soit ! Damien, tu recevra 30 coups de cane donnés par Romain, toi, Romain, 25 coups donnés par Damien, puis je vous fesserai sévèrement tous les deux. Pour vous punir par la où vous avez fais la faute, vous serez l’un à l’autre pendant une heure, je vous donnerai les directives pour ce que je veux vous voir faire. mais attention, vous vous baiserez ici devant nous. Ensuite à part pour aller travailler, interdiction de vous approcher l’un de l’autre pendant une semaine avec le port de la cage durant toute cette période. Si on vous voit vous rapprocher, c’est la strap !  - Bien maître, pardon maître - Bien maître, pardon maître - Damien, en position, mains sur le dossier de la chaise, jambes écartées, tu comptes les coups. Romain, à toi » 
Zip, un coups en l’air ; Zip « un, maître » Zwip « aïe, deux maître » zip « Ouille, trois, maître » Swip « Aïaïaïii, quatre, maître » il encaisse bien, faut dire que ces derniers temps, il en a reçu pas mal. Déjà 10 coups, 10 traces rouges sur les fesses et un Damien qui bande, il aime ça, le cochon ! Swip «Ahahaïe 15, maître » Zwip « Nooon, f’mal, aïe - tu as oublié, le coup ne compte pas - Pard…Ouille, 16 maître, … AAAïe, 17, maître, fais chier Romain Ouilleeeee ! 18 maître - non recommance à 15, pour ce que tu as dis à Romain - AAAAïe, 15 maître, pardon Romain, - Aïe 16 maître, Je suis désolé, mon Romai…  Ouille, 17 maître, Grrrr » il a des fesses zébrées de traces violettes qui se croisent. Il bande de plus en plus, sa queue ne bouge même plus sous les coups, elle est collée à son ventre ! Romain se régale et lui donne des petits coups secs sur toute la surface des fesses, il se venge. Pour les derniers coups, ils les donne à la naissance des fesses, ce qui arrache un cri à Damien à chaque fois. Mais pas encore de pleurs, il s’est endurci « Wouah 28, maître, … Iiiiiiiaïii, 29 maître, pardon … Ouch 30 maître. Merci de m’avoir puni, je sais que je le mérite - Lèves toi, prends la cane et prépares toi. Romain, à ton tour prends position » Damien est limite de jouir après cette correction, il prends la cane et à son tour donne les coups à Romain. « Romain, tu comptes - Oui maître. … Un maître, pardon Damien … deux maître, pardon maître de vo… trois maître vous avoir déçu … » Damien donne des coups pour la forme mais il aime trop Romain pour vraiment lui faire du mal  « Si tu continue comme ça, tu vas reprendre sa place et JE vais te fouetter, alors donne de vrais coups » Swip « Aïe, 5 maître, pardon … AAA six maître, pardon … Waouuuuuh maître 7, pardon » c’est parti, il reçois et des coups assez durs. « Aaaaïe 12 maître, pardon - Nooon, Rhâhhh Rhâaaah, aaah, ahh ! » et notre Damien qui vient de jouir dans un râle d’extase, il en a mis par terre, et jusque sur Romain « Damien, termine ton travail, puis tu nettoiera avec la langue tout ce que tu as mis par terre et sur Romain - Mais… - silence - bien maître » Les 13 derniers coups donnés, Romain était resté en position, Damien a léché son sperme sur le corps de son copain, puis lui a donné quelques coups de langue sur les fesses. Il a tout nettoyé et ils se sont mis en position à genoux, mains sur la tête pour attendre la suite des punitions.
Je les ai laissé attendre une demi heure, puis après avoir bu et grignoté avec les autres, je fais venir Romain sur mes genoux. Il tremble, je commence à lui caresser les fesses doucement, il se détend puis une série de claques sur la fesse droite, une dizaine environs, Romain ne dit rien, il serre les dents et les fesses. Je lui donne alors, toujours sur la même fesse mais avec un rythme aléatoire, il ne peut pas prévoir la claque sur la fesse, il est déstabilisé, il commence à geindre. Je tape plus fort, la fesse chauffe, il est en train de craquer « Aïe, Aîe, aîe aîe aaaaaîe bouuuuh, ouuuh, aaaâie, aîe, aaaaa, aaaaîeee, houuu, houuu, bouhhhh, houuu, par… aîe…don aîe … maî…aîe… ouuuh » il sanglotte, demande pardon, gigote, je change de fesse et claque régulièrement pour qu’il comprenne que je suis faché contre lui, il doit pleurer, et même aller plus loin, il y arrive doucement, il se trémousse, s’agite, pleure encore à chaudes larmes, et je fesse, maintenant alternativement les deux fesses. J’ai décidé de le fesser au moins 40 minutes. Il gémit, mais ne pleure plus, par contre il se met à bander plus je le fesse, plus son sexe est dur et il me jouit sur les jambes. Encore une dizaine de claques, et j’arrête le relève, lui fait nettoyer son sperme et le fait reprendre le piquet. Il me regarde avec des yeux tristes, je vais à coté de lui « ta punition n’est pas terminée. Je ne veux pas dans mon équipe des bagarreurs, et ça, tu dois le comprendre. » et il se remet à pleurer, je m’écarte de lui, vais m’asseoir sur la chaise, et fais signe à Damien de venir. Il se tiens la tête basse à côté de moi, je lui donne une paire de gifles. « tu es à l’origine de cette punition, tu réalises que c’est toujours toi dans les problèmes ? - pardon, maître, j’l’ferais plus - tais toi, je ne te crois pas, assieds toi sur mes genoux, … non, de l’autre côté, bien, maintenant, tu vas te pencher en avant et mettre les mains par terre, voilà, ton cul est offert à la fessée ! » je l’ai placé en position de la brouette, je le prends par la queue pour bien positionner son bassin, donc son cul et je commence à le fesser, les deux fesses en même temps, main droite sur la fesse droite et main gauche sur la fesse gauche. « Aaaaïe, aaaaah, ouille, aïe aïaïaïaïiiiiie, noooon, ouille, non maître, aaaah, aaaaha, aouououou, … » la fessée est surprenante, deux fois plus forte, mais je tape toujours au même endroit de chaque fesse pour augmenter la sensation. Au bout de 10 minutes, Damien pleure et sanglote, il a du mal à tenir sur ses bras, et finit par les plier, sa tête est à terre, mais il m’a mis en colère et je veux lui faire passer l’habitude de toujours faire des histoires là où il n’y en a pas. Je continue, pour une fois, pas il n’a pas d’érection pendant la fessée, il a bien mal. Au bout de 20 minutes, il commence à trembler. J'arrête. Il se relève avec difficulté, se met à genoux face à moi avec des yeux implorant. J’appelle Romain pour qu’il se mette à côté de lui, puis ils posent leur tête sur mes jambes, contre mon ventre. Je les laisse faire, leur caresse la tête doucement. « allez, les boys, vous avez été punis, c’est bon maintenant. Je ne veux plus vous voir vous battre, ni vous chercher. Vous avez vu ce qui se passe quand vous me désobéissez ! - pardon maître - oui, maître, pardon - ok, vous êtes pardonnés, embrassez vous, et venez sur le canapé. » je les fais se coucher l’un sur l’autre, Romain ne dis rien, et enlace Damien, ils s’embrassent et s’étreignent. Les fesses rouges en l’air ! Puis Romain, viens sucer Damien, je le fais se tourner pour que Damien puisse faire pareil, et chacun lèche et suce le sexe de l’autre. Quand je les sens prêts, je les arrête, les mène dans la chambre, ferme la porte et demande à Damien de me déshabiller, et à Romain de plier mes affaires. Puis, je m’allonge et ils viennent tous les deux me sucer, chacun de son coté. Je sens l’excitation, les repousse et fais mettre Romain à 4 pattes, je dis à Damien de le prendre et quand il a sa queue dans Romain, je li fais signe de ne plus bouger, et d’un coup de rein, je l'embroche, et je commence à le faire couiner, « vas y, bouge Damien ! » et donc je suis dans Damien pendant qu’il est dans Romain, Nous jouissons presque en même temps. C’était un bon moment. Je demande à Damien de venir me nettoyer, ce qu’il fait très bien. « maintenant, Romain, c’est à toi de prendre Damien ! » et c'est reparti. Romain a vaincu ses appréhensions et est heureux, maintenant. Damien, est aux anges. 

jeudi 9 septembre 2010

Punitions à deux, Dressage

COMPTE-RENDU fais par les deux soumis Kévin (K) & Quentin (Q) commentaires du Maître (M)

Q : Comme convenu avec Kévin je suis arrivé vers 13h00 avec 7 pièces de vêtements : écharpe, anorak, pull en laine, chemise, tee shirt, chaussettes, pantalon et chaussures (que nous n'avons pas considéré comme des vêtements). Je portais comme demandé le collier de chien caché sous l'écharpe, pas de slip, le collier de chat aux couilles et 6 mousquetons. Pour être sûr de ne pas louper le rendez-vous je suis arrivé environ 10 minutes en avance et j'ai tourné un peu dans le quartier. À 13h00 j'ai sonné chez Kévin.

K : Nous avions convenu qu'il arriverait à 13h00, puisque Le Maître  devait arriver à 14h00. J’avais, comme lui, chaussettes, pantalon de toile épaisse,  tee shirt, chemise, pull, veste genre anorak, écharpe. J’avais mon collier de chien au cou et celui de chat au couilles. Quentin est arrivé exactement à 13h00. J'ai su après qu'il avait un peu attendu devant la porte. Il est assez grand, mince et apparaît assez sportif, mignon aussi ! 

Je l'ai mené dans la chambre. 

Q : Il m’a enlevé les chaussures 

K : J'ai ensuite commencé à le déshabiller tout en pliant correctement les vêtements sur le lit : j'ai ôté dans l'ordre l'écharpe, la veste, le pull, la chemise, le tee shirt, le pantalon (comme moi il n'avait pas de slip) et les chaussettes. Ses vêtements étaient posés en deux tas sur le lit. 

Q : Il y avait aussi déjà préparé sur le lit, sa laisse, de la corde, le paddle, la cane, le martinet et le mètre.

Je l'ai ensuite déshabillé, il avait les mêmes vêtements que moi ; cela a été drôle de le voir ainsi habillé avec l'écharpe et son blouson. J'ai fait comme lui, il était en chaussettes. j'ai donc commencé par l'écharpe puis suis allé jusqu'aux chaussettes. Moi aussi j'ai bien plié les vêtements en deux piles à côté des siens.

K : JL avait apporté 6 mousquetons que nous avons posés sur le lit à côté des instruments de punition.

Q : Nous nous sommes mis à genoux face à face, et avec quelques difficultés. Nous nous sommes collés l'un contre l'autre... mon sexe a bandé par le contact, celui d’Kévin aussi. Nous avons (avec un peu de difficulté) accroché les colliers de chat par les mousquetons et ensuite j’ai mis la laisse que j'ai accrochée au pied du lit. Nous étions de profil devant un miroir. J'ai attaché ensemble les colliers de chien comme si nous avions deux têtes et un seul corps, oreille contre oreille. 

La position était dure, mais cela n'a duré qu'un peu plus d'un quart d'heure, je crois car est arrivé et nous a détaché. Pendant l'attente, nous n'avons pas bougé, ni parlé... nous étions punis. 

K : Oui, La position était assez dure à tenir et la promiscuité très forte... plus forte que je n'avais jamais eu avec un autre chien. Nos deux sexes bandaient. Cela était très bizarre... j'étais nu tout contre Quentin... c'était à la fois excitant et perturbant car il était plus proche de moi et pendant beaucoup plus longtemps que quiconque jusque-là. Nous avions décidé de ne pas parler... au fur et à mesure que le temps s'écoulait nos queues bandaient de plus en plus dur... ça a été un soulagement de ce point de vue de voir arriver Le Maître  car nous ne voulions pas juter à ce moment, mais j'ai ressenti son excitation, tout comme la mienne, de façon très très intense. Mes pensées étaient surtout destinées au départ à m'empêcher de bander, mais elles sont vite parties sur des punitions que j'avais reçues… notamment une fois où je suis resté à genoux sur une règle carrée pendant 10 minutes mains sur la tête et une autre fois où je suis resté à genoux paumes en l'air portant des dictionnaires… là encore pas très longtemps mais très stressant… risque de se faire fouetter si je bougeais de la règle ou si je faisais tomber les livres.

Q : Pendant que nous étions ainsi liés, Kévin et moi, j'ai ressenti une très grande promiscuité… je ne le connaissais pas et j'étais là comme un chien à genoux et tout contre lui… mais cette situation m'a aussi fait bander de plus en plus fort… Comme chaque fois que je bande et que je ne veux pas jouir je fixe mon esprit sur un décompte décroissant... je suis parti de 500 et j'ai descendu progressivement de un en un… Cela me calme et me permet de passer le cap où le risque de jouir est très important… 

K : Nous sommes restés comme cela environ 20 minutes sans parler, juste frissonnants par moments mais pas de froid et queue tendue l'un comme l'autre.

Le Maître est arrivé comme prévu à 14h00… j'avais laissé la porte ouverte. Il est arrivé dans la chambre.

M : Déjà de les voir tous les deux à poil queue contre queue en arrivant ! hummmmmmm! j'ai ri !

Q : Quand Le Maître est arrivé j'étais à 150 (je compte toujours très lentement cela ne fait clairement pas des secondes)… j'ai été soulagé.

K : Le Maître s'est installé dans un fauteuil que j'avais préparé pour lui. Il avait un verre à sa disposition. Je suis allé chercher le mètre de couturière et j'ai effectué les mesures sur Quentin.

Q :  C'était très dur de ne pas bouger pendant ces mesures... C'est Kévin qui m'a fais bander pour les mesures du sexe en érection en me branlant à la main. Le Maître a décidé que j'avais bougé 6 fois ce qui m'a valu tout de suite après la cane 30 coups. Je l'ai pris dans la position habituelle que je connais bien ! debout, penché en avant, cuisses bien écartées, mains tenant les chevilles. Je devais remercier pour chaque coup donné. Kévin a compté les coups.

Après un petit temps de repos imposé par le Maître , j'ai repris la position et lui le mètre pour la mesure. 

De la même façon, j'ai branlé Kévin pour le mettre en érection. Le Maître a considéré que Kévin avait bougé 8 fois ce qui a donné 40 coups de cane. Kévin a pris la même position que moi. Je comptais et il remerciait le Maître pour les coups. 

C'était très dur et humiliant.

Le Maître a fait une pause pendant laquelle nous sommes restés debout "au garde à vous" 

K : il nous a fait attendre environ 10 minutes. Puis Le Maître nous a fait mettre devant lui, à genoux, à environ 20 cm (mesuré par le mètre de couturière par le Maître )

Q : Nous avons alors pratiqué le jeu de la fessée 
« En une demi-heure, chacun devra donner le plus de claques sur les fesses de l'autre. Ne pas jouer mérite punition. Les claques doivent être données assez fort sur toutes les parties du corps possible de l'autre. Il est interdit de se dérober ». 

Nous avons bien claqué nos corps Kévin et moi, ça a duré longtemps. 

K : chacun a donné le maximum de claques à l'autre, ça faisait mal, mais c'était très excitant aussi. Après 30 minutes, Le Maître a fini par nous dire d'arrêter. 

Q : Nous attendions à genoux qu'il désigne le vainqueur mais en riant il a dit que nous étions ex-aequo. Le Maître nous a fait refaire une pause, de nouveau, pubis contre pubis attachés par les colliers de chat.

K : Nous avons donc pris la position demandée attachés par le collier de chat, nos queues et couilles entre les jambes de l'autre... Nous étions très excités. Nous avons attendu 10 minutes environ comme cela alors que Le Maître sirotait sa boisson. Puis il s'est levé et a pris le martinet et il nous a fouetté tous les deux en alternance... cela a duré longtemps probablement quelque chose comme 40 minutes

Q : j'ai pleuré le premier, mais Kévin a aussi pleuré. Nous avons supplié le Maître d'arrêter, mais il a continué.

K : Oui, nous avons tous les deux pleuré, mais Le Maître a continué malgré nos pleurs et nos demandes de grâce.

A ce moment, d’être attaché, cela a été plus simple car l'expérience de la première fois était là, mais cela a été dur car à chaque coup que recevait l'un, l'autre le ressentait. je sentais aussi sa peau frissonner lorsqu'il recevait les coups, et cela m'a fait frissonner... en fait j'ai eu l'impression de recevoir deux fois le martinet. 

Q : La fessée au martinet a été aussi très spéciale... je ressentais les mêmes sensations que Kévin je pense... moi ça m'a donné l'impression de recevoir en même temps que lui alors que Le Maître alternait.

La deuxième fois d’être attachés pubis contre pubis ne m'a pas tout à fait donné la même sensation que la première fois, la douleur des fesses y est pour beaucoup.

Enfin le dernier coup est tombé. Il nous a fouetté un coup l'un un coup l'autre.

K : Cela a cependant aussi créé une sorte de communauté entre nous de subir ensemble

M : Les séries de fessées et le jeu de la fessée a été très bien ! super bien aussi de les voir mutuellement prendre leurs mesures... chacun a dû masturber l'autre ! Ils ne se connaissaient pas ! mais ma foi ça a marché ! 
J'ai vérifié le résultat de leurs mesures à chaque fois ! Non mais ! 

K : Puis Le Maître nous a prévenu qu'il allait nous donner une longue fessée manuelle. 

Il m'a demandé d'aller chercher une serviette qu'il a posée sur ses genoux. Quentin a du se mettre à genoux en face de Lui et Le Maître m'a demandé de venir sur ses genoux.  Il m'a fessé longtemps à la main, cela faisait très mal. Il m'a bien fallu 15 minutes pour être "maté" et ne plus bouger juste pleurer... j'ai juté deux fois  pendant cette fessée ce qui a fait rire le Maître . Il m'a fait nettoyer la serviette avec ma langue avalant mon sperme. J’ai alors du aller chercher une autre serviette.

Q : La fessée de Kévin a duré au moins une demi-heure, je pense... À la fin Kévin recevait la fessée sans plus bouger... Puis j'ai pris sa place sur les genoux du Maître . La fessée a été dure pour moi aussi longue humiliante et pénible, mais j'ai juté aussi. J'ai donc moi aussi du lécher la serviette.

K : Le Maître m'a fait nettoyer les deux serviettes à la main.

Cela a renforcé la communauté entre nous deux d’avoir assisté à la fessée manuelle et à la jouissance de l'autre.

M : j'ai fait juter les deux à la dernière fessée manuelle ! J'aurais fessé plus s'ils n'avaient pas juté avant (largement) les 30 minutes ! là je me suis arrêté à 30 ! Hé ! Hé ! Ensuite j'ai pris mon petit plaisir !

K : Le Maître a demandé à Quentin de le sucer et à moi de le finir. Il a juté sur nos visages. En fait c’est le moment où je me suis senti le plus proche de Quentin, lorsque nous avons tous les deux sucés Le Maître et qu'il a juté sur nos figures.

Q : Nous sommes allés prendre une douche  

M : On était tous épuisés ! Crois moi ;  aussi j'ai invité les deux chiens à dîner au restau... dôle de les voir précautionneux en s'asseyant !

Q : Le Maître était venu en voiture et il m'a raccompagné une partie du chemin jusqu'à un métro.

K : Maître Merci Maître de ce dressage sévère mais justifié.

Q : Merci de nous avoir fait dresser

… … … … … …

4 jours plus tard : 

K : Salut JL comment vas-tu ? Tes fesses sont-elles encore rouges comme les miennes ? et as-tu encore du mal pour t'asseoir ? moi oui ! et pourtant c'était Dimanche ! wowo !

Q : Salut Kévin... Tu parles oui bien sûr... encore dur de s'asseoir même si ça commence à passer et mon cul est plus proche de la viande crue que d'un cul !

Quelle session hein ? pour moi c'était une première à plusieurs soumis... ce que j'ai bien aimé aussi c'est le contexte dressage punitif... j'aime lorsqu'il y a une raison à la punition ! 

K : salut... moi je déteste être puni pour quelque chose que je n'ai pas fait... pas de prétextes ; des fautes et des punitions, ça peut aussi être un "dressage" donc quelque chose fait pour te faire obéir à des ordres données (c'est ma définition) 

je te rassures mon cul est encore douloureux et violacé !

dimanche 29 août 2010

Romain puni à la strap

Le repas s’est très bien passé, Romain a fait tout le service pas de soucis, il s’est pris quelques claques sur les fesses en passant pour avoir renversé de l’eau sur la table et une autre fois pour avoir attendu qu’on j-lui demande la suite, mais sinon, pas de grosse bêtise, il semble qu’il ait envie de se faire pardonner par Jonathan. Jonathan qui se sent bien, il est arrivé à table avec Damien et Jérémy ils se tenaient trois les 3 par le bras. Et Jonathan s’était mis à l’aise en caleçon, un shorty multicolore. 
Après le repas, un temps de digestion, tranquille, assis sur les chaises de jardin, Romain, couché aux pieds de Jonathan. 
Julien, à tout débarrassé, nettoyé, et est allé se reposer. Un peu plus tard, je décide de finir les punitions pour passer, enfin, à la suite. J’envoie Romain, chercher tout le monde, il va recevoir ses 60 coups de strap. On rentre, je demande à Jonathan d’attacher les mains de Romain, puis de me le mener vers la corde, j’attaches la corde aux mains liées de Romain, je tire pour qu’il soit sur la pointe des pieds, il a insulté Jonathan, il va payer ! Je lui bande les yeux, prends la strap et lance quelques coups en l’air pour faire siffler les lanières, puis, je dis à Romain « tu vas compter les coups mais en demandant le coup suivant, tu dira par exemple, merci maître donnez moi le second coup, jusqu’à 30, tu aura droit à 10 minutes de pause et on continuera les dix derniers. - b … b … b … bien … m … m … mai … maîtr … maître et tu ajouteras, pardon Jonathan - prêt, Romain ? - o o oui maître - alors sois fort ! - Rrrrâaaah, un maître, pardon Jonathan, donnez moi le second, maître … Wouahahaha, deux maître, pardon Jonathan, donnez moi le troisième, maître - Ouille aaaah, trois maître, pardon Jonathan, donnez moi le quatrième, maître … » son dos commence à être marqué, 3, puis 4 et 5 belles traces violettes sur le dos. Je change de côté, la voix se fais plus rauque, Romain déguste, il m’a déçu, j’ai pas envie de le laisser recommencer, il doit comprendre. « WOOOOouh o …onze ma…itre, pa…rdon Jonathan, le… douzième, …maître, siouplait » encore une série de traces, elles se croisent sur le dos de Romain, il est vrai que je frappe fort, on commence la troisième série de dix, toujours sur le dos, mais plus bas, un peu plus haut que les reins. Il n’en peux plus, il pends au bout de la corde plus qu’il ne se tient debout, ses jambes ne le portent presque plus. « Râaahaahhaahh, vingt ahhh un maître, pa aaah ardon jona ahhh athan, maître, donnez moi le euh 22ème siouplait … » la vois se brouille, il est au bord des larmes. « Râaahaahhaahh, bouuuuh ouuuh vingt cinq maître, par bouuuuh ardon ouuuh Jona ahhh athan, maître, bouuuuh donnez moi ouuuuh le 26ème ouuuuh ouplait » Je décide de faire la pause pour qu’il se reprenne, il a les jambes molles, elles ne le tiennent plus, il est debout uniquement tenu par la corde. Son dos est marqué des 25 traces violettes qui se croisent « allez 10 minutes de pause, Damien, va nous chercher à boire - bien maître » 
Jonathan s’absente un instant, revient, puis Damien et Jérémy. Julien va se dégourdir les jambes. Lucien, en profite pour préparer pour le soir. Jérémy lui aide. 
Je bois tranquillement mon verre et je fais plein de projets pour l’équipe quand elle ne sera plus en phase de punition, bientôt, mais qu’elle veillera à la tranquillité des maisons, … je laisse mon imagination fertile s’égarer.  
« Eh, les jeunes, on reprend, venez vite ! » Tout le monde arrive, se replace comme il faut, et je reprends la starp, « Romain, Je te dispense de compter, il te reste 15 coups, Damien, toi comptes les coups » et slach le premier tombe «AAAARRRRH Bouuuuhh - un, maître WAAAAH ouuuhhhh ouuuh - deux maître, … » je délaisse le dos, je me suis concentré sur les fesses, elles deviennent vite mauve « OUOUOUUUILLLLE - dix, maître, - … NOOOOOON, - onze maître - ouuuuh, bouuuh, bouuuuh - douze maître - waaaahh, ouuuuuh, snif, ouuuuuh, ouuuuuuuuh, - treize, maître - bou… - quatorze, maître - ouuh … -quinze, maître. » j’arrête, je vais me placer devant Romain, en pleurs, qui sanglote, dans un souffle il me dit « maître, pardon. » la punition est terminée, je demande aux autres de le détacher délicatement, de lui passer la pommade sur son dos et ses fesses, indique à Lucien qu’il devra le faire pendant au moins 3 jours. Puis je libère tout le monde jusqu’au repas du soir. 
Après le repas, je demande à Jonathan s’il a pardonné à l’équipe, il me dit que bien sur, même à Romain, il est prêt à leur accorder toute son amitié. En échange, tout le monde l’assure qu’ils vont l’aider pour tout ce qu’il demandera. Puis il se lève et va vers Romain, lui caresse le visage, lui sèche ses yeux, lui dit, « t’inquiètes pas, Romain, je t’ai pardonné, c’est chaud, ce que tu as subi, je pensais pas que ce soit comme ça, excuse moi d’avoir demandé ça. » et il se couche à coté de lui, le caresses sur tout le corps. 
La soirée est joyeuse, tous ont bien compris la leçon. Je les laisses discuter, s'amuser et je vois Damien entraîner Jonathan et Jérémy dans la chambre. J’entends des gémissements de plaisir. On verra ça demain. 
Le lendemain matin, tout le monde, saur Romain que je laisse couché, se prépare, vient m’embrasser pour me dire bonjour. Ils se battent presque pour être le premier à coller ses lèvres aux miennes ! .

samedi 28 août 2010

Jonathan - la suite

Je décide de faire une petite pause avant de poursuivre. Je pense que Damien viens de réaliser ses erreurs, mais surtout de changer d’attitude.

« Jonathan, tu vois, déjà deux pour t’aider. Tu sais ce que tu me disais, il y a des méchants dans ton lycée, et dans ton quartier, nous allons nous en occuper. Je prévois d’utiliser les comiques comme chiens de garde pour la population, aider les personnes, leur faire tous les menu travaux et surtout assurer leur tranquillité, même en aidant la police. Les boys passent inaperçus, et sont de bons éléments. Je pourrai même avoir une place pour toi, si tu veux te joindre à nous. Les jeunes des zones que l’on se sera fixé devront bien se tenir ! - Excellente idée, je serai content de vous aider, il y a quelques jeunes, et moins jeunes, aussi, qui font plein de mauvaises choses. - Tu aura ta place dans l’équipe, à condition de respecter mes règles - heu, oui, bien sur ! »

Reprise des punitions, J’envoie Lucien chercher Romain, Jérémy et Julien. Ils arrivent, se mettent dans la position du puni.

« Romain, prends la position pour la cane, c’est Jonathan qui va t’en donner 25 coups. Tu as vu, Jonathan ? - Oui, je frappe où ? Où tu veux des mollets jusqu’en haut du dos, je te conseille la naissance des fesses, ici, et les cuisses,là, là et là, aussi les fesses, au milieu, là. - merci. Allez toi, - Romain, tu comptes et remercie. » Jonathan, se prépare, et un premier coup sur la fesse gauche « il compte pas, celui la, tu peux en faire deux ou trois pour prendre tes marques. » encore un pour rien,  le troisième bien fort au milieu des fesses « AAïe, un, merci Jonathan - recommence, dis merci maître ! - … Waille un, merci maître, … Aaaïe, deux, merci maître, … aïe, trois, merci maître. » c’est bon, Jonathan a pris le coup, et donne régulièrement sur les fesses, pas toujours au même endroit « AAAAA, dix, merci maître, … Iiiiille, onze, merci maître, … aïe, douze, merci maître » il s’enhardit et tape maintenant sur les cuisses « aïe aïe aïe, vingt, merci maître, … Aïe vingt et un, merci maître … » ça y est,

Romain n’a pas pleuré, il vient comme Damien remercier Jonathan mais Jonathan trouve qu’il se force un peu et n’a pas l’air sincère. Il lui donne deux grandes claques dans la figure « tu peux mieux faire - Jonathan, je suis désolé, je veux te dire que je m’excuse, mais je t’emmerde » il regrette de suite ses propos quand il me voit me lever, aller vers lui, le tirer par l’oreille « tu vas faire immédiatement tes excuses et retirer ce que tu as dit. - Ben, heu, je, … sais pas ce qui m’a pris, … suis désolé, … voulais pas dire ça, … je suis … je voulais être le premier à m’excuser et lui demander pardon, que je veux l’aider, mais … je … suis …… jaloux des autres, … - Jonathan, tu en pense quoi ? - je vais aller voir Damien, et je vous dirai après » deux minutes plus tard, Jonathan, revient, s’assois devant Romain qui pleure, maintenant, il est rouge de honte. « si vous êtes d’accord, Damien m’a promis de bien se comporter, qu’il a compris toutes les leçons, je souhaiterai que Romain prenne la place de Damien pour les coups de fouet. C’est pas Damien qui me l’a demandé, c’est moi qui propose. - hum, j’aimes pas trop ça, quand un de mes jeunes doit être puni, il ne peux pas y échapper, par contre les 30 coups de strap pour Romain, tout à fait d’accore, j’en ajoute encore 10  il aura droit à 40. - je vous le demande, pour Damien, je pense qu’il le mérite, il a déjà beaucoup subi, - Bon, Jonathan, j’accorde un sursis à Damien, vient ici, Damien, Devant l’intervention de Jonathan, que tu dois beaucoup remercier, plus tard, je t’accorde un sursis pour les 30 coups de strap. Mais à la moindre bêtise tu auras droit au double : 60 coups de strap. Tu reste en probation pendant quinze jours. Pas de nouvelle bêtise, pas la plus petite ! - Merci maître, merci Jonathan » et Damien se lève, m’embrasses fougueusement, se tourne vers Jonathan, « tu permets  ?  » et lui donne un gros baiser en le prenant dans ses bras. Jonathan, plutôt surpris, se laisses embrasser sur la bouche, et caresses même la tête de Damien.

C’est au tour de Jérémy d’être fessé par Jonathan. Ils s’installent, mais Jonathan n’a pas vraiment envie de fesser Jérémy, Il lui donne des petites claques sur les fesses, pour la forme, alors quand il a fini, j’attire Jérémy, le mets sur mes genoux et lui donne un complément, une vingtaines de claques sur la fesse gauche, qui le font gémir, autant sur l’autre, quelques coups bien placés sur le haut des fesses et le haut des cuisses, pour qu’il crie, s’agite, et finisse par se laisser aller à pleurer. Je l’envoie au piquet. Sur ma lancée, je fesse Julien, méthodiquement, en alternant les fesses, je lui rougit le cul, il accepte sans trop gémir, et au bout d’une cinquantaine de claques, « wouah, non,  aïe, j’s’rai aïe gentil, aïe j’l’f’rai aïe plus, aïe j’m’en aïe veux, aïe, j’ai honte aïe d’mettre laissé emporter avec eux, pardon, pardon à tous. - relève toi, va au piquet. » et il y va en reniflant.

« Alors, Jonathan, content ? - oh oui, j’m’éclates avec vous !

C’est l’heure du déjeuner, je libère les garçons, demande à Lucien s’il a besoin d’aide, il me répond qu’il avait prévu et donc que ce sera vite prêt. Je prends Romain, lui ordonne de mettre une table dans le jardin, et de la préparer pour le repas. Sauf pour lui, il restera par terre aux pieds de Jonathan pour le servir et il aura droit aux restes quand tout le monde aura fini. Puis, j’appelle Damien et Jérémy qui étaient en train de rigoler ensemble dans la chambre, « occupez vous de Jonathan, restez ensemble, apprenez à mieux vous connaître - maître ? - oui Damien ? - je garde la cage ? - tu dois la garder encore 5 jours, je te l’avais dit - mais, maître ! Siouplait ! - non Damien, n’insistes pas, tu sais ce que tu risque - oui, bien, maître, merci, maître » et il vient se coller à moi pour que je le prenne dans mes bras. « allez, amusez vous un peu. » Romain se dépêche, il met la table, nettoie bien au tour, Julien pendant ce temps est venu me demander s’il pouvait s’occuper du jardin, il aimes ça, il s’occupe des plantes, des légumes qu’il a mis, il enlève se sec, bine, taille, arrose. Je me suis installé sur le fauteuil extérieur en sirotant ma boisson et je regarde tout ce petit monde. J’entends les rires, des 3 comiques. Jonathan a été plus qu’accepté. Et il est devenu la mascotte de l'équipe.

jeudi 26 août 2010

Jonathan

Je récupère Jonathan, et nous arrivons. Ils viennent tous l’accueillir, lui dire bonjour, et se bousculent pour lui demander pardon, Damien en tête. Jonathan a un mouvement de recul quand il les aperçois, mais Lucien viens le prendre en charge, lui montre sa chambre, et lui propose à boire. 
Un moment après, je fais venir tout le monde, j’installe Jonathan sur le canapé à côté de moi, de l’autre côté il y a Lucien. « à poils tout le monde ! À genoux, position du puni. Les 4 crapules, de suite. Sauf pour les repas vous resterez comme ça, même dehors ! » Je regarde Jonathan, il rigole, il est heureux « Jonathan, ils sont à ton service tant que tu resteras ici, tu peux tout leur faire, ils n’ont pas le droit de refuser, par contre, pas de dérapages. Ils viendront te demander pardon, l’un après l’autre. - merci monsieur, vrai ? Je peux aller m’amuser avec eux ? - oui, tout ce que tu veux, ils ont ordre de te laisser faire. - merci » et il me saute au cou, me fais un bisou. Puis va vers Damien, lui colle une paire de gifles dans la figure, lui crache au visage, prends sa main, et lui étale bien tout. Il passe les autres en revue.  « Toi, viens ici » à l’endroit de Jérémy qui s’empresse d’aller à lui. « tu m’as fait me branler sous la contrainte des coups, vas y branles toi, pour me faire plaisir ! Et correctement ! » et Jérémy s’exécute, il jouit rapidement, par terre, « continue, t’arrêtes pas, putain, quel pied de te voir faire ! gros cochon, tu te souviens ce que tu me disais pendant que j’étais obligé de faire ça ? Que tu aimais voir un pauvre mec avoir honte que je n’étais qu’un sale bâtard, la tête de ma mère, tu va regretter, tout ce que tu m’as fait, t’arrêtes pas, branle, c’est toi le bâtard, pourri, sale chien » Jérémy avait mal, du mal à re bander, surtout avec les insultes, mais le Jérémy nouveau accepte toutes les humiliations, tête basse, et régulièrement demande pardon à Jonathan qui lui mets la main sous le menton, le force à le regarder dans les yeux, mais n’y voit que de la honte et une profonde tristesse. Jérémy vient de jouir à nouveau, Jonathan l’abandonne, Jérémy humblement se remet en position mains sur la tête, Jonathan passe à Julien, « Toi, connais pas, tu as pas l’air chien, prends ça, ça suffira ! » et il lui claque plusieurs fois la figure. Me regarde, visiblement heureux. Passe à Damien, « Tu te souviens ce que tu m’a fait faire ? Je vois que ta bitte est en cage, j’adore ça ! Tu dois déguster, tant pis pour toi, tu dois l’avoir mérité, moi, je te l’aurais brisée. - Damien, ici ! » je lui enlève la cage le fais allonger sur le canapé, les jambes écartées, aussitôt il est en érection. Je prends le martinet et commence à lui frapper les couilles assez fort, il se jouit presque de suite sur le ventre ! Je continue à frapper, la queue, le pubis, les couilles je lui fait écarter plus les jambes et avec la cane, je frappe dans la raie, Jonathan est mort de rire. Au point qu’il se pisse dessus ! Je demande à Lucien de l’amener se changer, Damien est en pleurs, « arrêtez, maître, j’ai mal, bouuuh, ouuuh, ouuuh ,ouuuh, ouuh » il a les parties toutes rouges. Jérémy, va me chercher des glaçons, je vais te le rafraîchir, moi ! Ce morveux ! » Je lui colle plein de glaçons sur le pubis, ils fondent ils coulent sur sa queue, maintenant molle, et ses couilles, il crie. Quand Jonathan revient je lui tends la cane, et il commence à le frapper comme il m’a vu faire. Une dizaine de coups puis il a quand même pitié de lui, « lèves toi et viens me sucer - il serait trop content, branle le, il dégustera plus, il aura mal là où il t’a fait du mal ! - Jonathan se met donc à branler Damien, chaque mouvement lui tire un cri de douleur. Et il jouit assez vite. Jonathan, fatigué, vient s’asseoir à coté de moi 
Lucien lui propose à boire, il accepte. Il est aux anges ! Bon, il est l’heure du repas, on passera à la suite des punitions après. « ah non, j’ai pas faim, je veux continuer à jouer - Écoutes, Jonathan, ici il y a des règles de vie très strictes, où tu acceptes ce que je te donne et tu t’adaptes, où tu t’en vas. - Mais, non, je veux rester - bien, alors on les comiques vont préparer la table pour le repas. 3 couverts, Lucien, Toi et Moi, ils nous serviront à table et mangerons après. - ok, ok, c’est bon » 
Le service a été parfait, Jonathan toujours servi le premier, il avait Jérémy, Romain, Julien et Damien à ses pieds, tous prêts à devancer ses moindres désirs. 
Après le repas, une petite digestion et Romain qui n’avait pas encore été le jouet de Jonathan, y est passé. « Alors, voyons ce qu’on peut en faire de celui là ! Hum, à 4 pattes, » et Jonathan s’est assis sur son dos comme sur un cheval, il lui a donné des claques sur les fesses, sur le corps, sur la tête. Ils sont restés plus d’une demie heure comme ça. Puis je les ai envoyés dans leur chambre. J’ai pris Jonathan à part. « Mon grand, tu as pu t’amuser avec tous ces vauriens, demain, on leur donnera la fessée, ce sera la punition pour tout ce qu’ils t'ont fait. Par contre, je veux te dire que Jérémy a bien changé et il veut devenir ton ami, sincèrement - pas possible, ce cochon là ? - oui, je jais le faire venir pour qu’il te le dise, - je le croit pas ! Lui, un ami ! - donne lui une chance, écoutes le, tu décideras après. - bon, ok, - Jérémy, ici ! - Oui maître - explique à Jonathan ce que tu m’as dit tout à l’heure - oui, raconte moi ça ! Que je rigole ! - Jonathan, je sais que tu vas avoir du mal à me croire, que je t’ai beaucoup humilié, regardes moi, je suis nu devant toi, je suis humilié devant toi, tu t’es amusé de mon corps, j’aurais fait pareil à ta place, je t’ai fais du mal, c’est très moche ce que je t’ai fait. Mais tu vois ces derniers jours, j’ai appris à devenir meilleur, aussi, je cherches à me racheter,  je ne veux pas être un de tes copains, je te demande comme une faveur ton amitié, je veux pouvoir te protéger de gens comme on était, tout faire pour toi, je crois que tu n’a pas de frère, je te demande, je te supplie, je t’implore de me laisser être ton ami, tu ne sera pas déçu ! » Jonathan a les larmes aux yeux « file Jérémy, il te le dira demain - mais, je sais pas quoi dire, il … - accepte, boy, tu verras, je lui fais confiance. »
Le lendemain, la séance fessée est prévue, Damien, aura droit à une fessée par Jérémy, Julien, Jonathan et je lui donnerai 30 coups de cane, Jérémy sera fessé par Jonathan, Romain recevra 25 coups de cane donnés par Jonathan, et je fesserai Julien. 

** 
Début de journée, tout le monde se lève, se lave, déjeune puis après avoir distribué les taches ménagères à accomplir, on se dirige, Lucien, Jonathan et moi, vers le canapé pour bavarder de la journée. Plus tard, quand tout est fait, On appelle Damien, à qui j’avais remis sa cage avant qu’il se couche, Julien, Jérémy et Romain. « Les comiques, voici la sentence, décidée avec Lucien et Jonathan : Damien va être fessé puis il aura 30 coups de cane. Comme il devait être fessé pour ne pas être allé au travail, je vais cumuler les deux punition, Damien, tu vas être fessé par Jérémy, Julien et Jonathan. Après tu aura droit à 30 coups de cane et 30 coups de strap par Lucien. - nooon, siouplait, je promets d’être gentil, pas tout ça » et il se jette à mes pieds. Je le relève sans ménagement, 
« Jérémy, viens ici, installe toi - bien maître - Damien, place toi. » Il sait qu’il n’y échappera pas et que s’il discute, la punition sera plus sévère, il se mets en position sur les genoux de Jérémy, qui devient tout pâle, il ne pensait pas qu’il doive faire ça. « Allez, Jérémy, courage, et fesse bien, - snif, oui maître ! » une première laque sur les fesses de Damien, il alterne fesse droite, fesse gauche puis essaye de fesser de partout, le cul de Damien rosit vite, Damien gesticule, mais ne crie pas, pas encore, il ne veut pas craquer sur les fesses de son copain qu’il est en train de haïr, il ne pensait pas qu’il lui donne la fessée, de grandes claques qui font surtout mal à son ego ! Après une dizaine de claques, il commence à crier un peu « aïe, aïe aaaaïe, wouahille, m’fai’mal, aïe aïe aïe noon, aïe , non, jérem, s’te plait ! Aïe s’te plaaaïe, aaaaaaaïe » une vingtaine de minutes comme ça, je le relève, en le tirant par les cheveux, le mets à genoux, le force à me regarder « j’espère que tu as compris, maintenant !  - snif, snif, oui - oui qui ? - oui, maître, que j’aimes bien. - Julien, prends place, et toi Damien va sur ses genoux ! Et fesse le bien, Julien - ne vous inquiétez pas, maître ! » Et la fessée reprends, des claques pas trop fortes mais très rapprochées sur la même partie de la fesse. « Ouille, ouuuh, aaaah, ouuuh , non, ouaïlle, nooooon, tu aïe, me aïe, fais aïe, maaaaal, ouch, » Julien fesse, méthodiquement, il applique des claques de plus en plus fortes, Damien sursaute à chaque fois, et commence à pleurer  « aïe, boouh, ouuh, aïe, … boooouuuuh, noon, … ouuuh, ‘rête, juju, arêèèèèèèète aaaaaïiiiie, bouuuuh, houuuu, houuu » 
Je fais arrêter Julien, mettre Damien au piquet 10 minutes, Jonathan, c’est à toi, tu vas y arriver ? - Je vais essayer, j’ai peur de lui faire trop mal, ou pas assez, comment ne pas rater la fesse, ou … - ça viendra tout seul ! Damien, ici, installe toi sur Jonathan ! - snif, bien, snif, mai… snif tre » et Jonathan de commencer à donner sa première fessée, hésitant, puis au fur et à mesure, il prends de l’assurance, ses claques sont modérées, mais sur les fesses déjà rougies de Damien, c’est vite un feu qui lui brûle le cul et Damien se mets à sangloter et demander pardon. Ému, Jonathan s’arrête. « c’est bon, je pense que t’as assez dégusté ! » Damien, va te mettre en position pour la suite, les mais qui tiennent bien le dossier de la chaise, les jambes écartées. Et dès qu’il est en place, zip, zip, la cane laisse vite des marques violettes sur ses fesses rouges, il gémit plus qu’il crie, ne pleure plus, « aïe aïe, aïe aïe aïe … » déja une quinzaine, je lui ai donné à la naissance des fesses, sur les cuisses, j'enchaîne les quinze suivantes sur le côté des cuisses, un à gauche, un à droite, j’alterne les dix coups, il a du mal à rester en place, il se trémousse, plusieurs fois il se remet en position  « aïe aïe, aïe aïe aïe … aïe aïe, aïe aïe aïe … » la strap sera pour la fin de la journée, il doit récupérer un peu, avant de recevoir la fin de sa punition. Je le fais mettre au piquet, mais avant, il va vers Jonathan, il se mets à genoux devant lui, le regarde en baissant la tête « Jonathan, Je t’ai fais du mal par le passé, tu m’as bien puni, je t’en remercie, tu as été gentil pour la fessée, tu aurais pu me taper bien plus, tu es un brave mec, je t’aimes bien, je te défendrai si tu en as besoin. Tu pourra toujours compter sur moi. » puis il me regarde « maître, je vous remercie aussi, je vais tout faire pour mériter votre confiance » puis il s’installe au coin.

Suite des punitions

Lucien arrive avec Jérémy. « Jérémy tu te mets à côté des autres, même position ! Lucien, on va régler la question de la chambre qui t’a valu la cage à toi aussi. J’ai décidé que seul Damien la garderai la semaine. Jérémy tu y échappes pour l’instant. Par contre, C’est toi, Lucien, qui va les punir pour la chambre. Ils ont demandé la fessée ou 10 coups de cane. Tu en pense quoi ? - La cane, c’est bien, 15 coups chacun, je pense que c’est suffisant. - bien, Damien est déjà en position, tu peux commencer ! » Lucien est allé chercher la cane, et sans prévenir « AAAAïe, … NooOOon, … Lucïllle, … m’fait maaaaah, … waaaïle, … Iiiiiiiiiie, bouhhhhh, ouinnnnnn, ouuhhh, aïe, ouuuhhhh, … ouille, houuuh … bouuh,booouhhh, bouuhhhh, booouuhhh, ouuuh » Je vais, donne deux claques bien fort sur ses fesses qui le font se relever je le retourne, et deux claques en pleine figure « tu ne mérites pas le mal qu’on se donne. Va au piquet, mains sur la tête, contre le mur »  
« Julien, prends place ! - Mais j’ai rien fait, moi - c’est de la prévention, si tu ne veux pas ranger, pense à ce que tu vas recevoir. Et si tu continue à discuter, c’est 5 de plus ! » Il se mets en place, et Lucien reprends, zip, zip, zip, Julien encaisse bien les coups sans rien dire, 10 coups. Lucien, veux quand même lui montrer qu’il commande, et donne un coup sur la naissance des fesses, « Waaaaïe - reprends la position » une second au même endroit « Ouille ouille ille » encore un « noooon, ouuhhhh,ouh ouh ouh, ouuuh » Lucien donne l’avant dernier au milieu des fesses et le dernier sur la cuisse gauche. Julien est en pleurs  « va au piquet, à côté de Damien. Romain, ici ! - non, s’il vous plaît, non, j’y suis pour rien. » Lucien, en colère l’attrape, le colle en position et lui dit « tu aura 5 coups de plus, Romain, pour avoir discuté » Et la séance commence, Romain craque de suite, au bout du quatrième coup, il est en pleurs, au bout du dixième, il sanglote, à quinze, il ne pleure plus, il gémit juste et au vingtième il s’effondre dans mes bras alors que je vais le prendre pour le mettre au piquet. Lucien me regarde « on fait quoi, maintenant, - c’est au tour de Jérémy - Il n’y est pour rien ! - je sais, mais il doit savoir ce qui arrive quand l’un ne range pas la chambre. Tant pis pour lui, c’est comme ça. - Lucien, je suis avec mes copains, il est normal que je soit puni, même si je n’ai rien fait, ne t’inquiètes pas, j’ai beaucoup appris ces deux derniers jours, je sais que même si je n’ai rien fait, ici, je le mérite pour tout ce que vous ne savez pas. J’ai besoin d’être puni, merci de me punir ! - Bon, dans ce cas, prépares toi » et il lui donne les 15 coups, pas trop fort, juste assez pour qu’il les sentent, et qu’il ait quelques marques. Mais Jérémy est en larmes à la fin et va se placer de lui même au piquet. « Voilà, Lucien, tu dois être plus sévère ! Je vous laisse, tu enlèveras les cages sauf à ton frère. - merci maître de votre confiance. » Il m’embrasse. 
Je suis fier de Jérémy, il a beaucoup appris. Il faudra le féliciter. 
Je vais à la recherche de Jonathan, le jeune de 18 ans qu’ils ont raquetté, pour le plaisir. Je le trouve à la sortie de son Lycée. Je m’approche, lui pose la main sur l’épaule pour qu’il me regarde. « viens à l’écart ! Jonathan ! - Qu…qui … ê …ê…tes …  v…ous ? - n’ai pas peur, je ne te veux aucun mal. - Ah ? C’est la première fois qu’on me dit ça ! - je connais les jeunes qui te font du mal, au moins une partie, la bande à Damien. - connais pas - normal, ils ne t’ont pas donné leur nom ! Regarde les photos - Ah oui, c’est les plus méchants, ils, … - vas y tu peux tout me dire, ils ne te feront plus aucun mal, moi non plus, je veux juste t’aider ! Et ils vont te rembourser tout l’argent qu’ils t’ont volé, je te l’assure - Vrai ? Super, génial ! J’aurais plus à me cacher, pour voler mes parents ! - tu as fais ça ? - heu, oui, j’en suis pas fier, mais,c’est pas bien, je sais. - on réglera ça plus tard. - raconte moi ce qu’ils t’ont fait, - plein de misères depuis 6 mois  ! Tout d’abord, des baffes parce que je voulais pas leur donner mon blouson, qu’ils ont déchiré, puis ils m’ont mis ma chemise en miettes, et toujours des baffes, de grandes claques dans la figure, ils me faisaient mal, et rigolaient de me faire mal, ils jouaient avec moi comme un ballon qu’on se passe de l’un à l’autre, mais à coup de gifles, puis ils ont commencé à demander de l’argent 20 puis 50 et toujours plus jusqu’à 100 par semaine ! En tout j’ai bien du leur donner 2 à 3 000 - oui, exactement 3 750 et puis ils m’ont fait des brûlures au briquet m’ont mis à poils et se sont amusés de me voir comme ça, un m’a même obligé à … non, je n’ose même pas le dire - à le sucer ? - heu, oui, puis à les branler, tous, et ils m’ont, … non, c’est trop dur, bouuuh, … - ils ont joui sur toi ? Ils t’ont branlé aussi ? - oui, c’est ça, les deux j’ai honte, trop honte, j’en ai pas parlé, à personne. Ils me l’on fait plusieurs fois pour que je n’oublie pas l’argent ! - je te propose de prendre ta revanche, de pouvoir les humilier et de récupérer tes sous, mais à 2 conditions - Oui, oui, oui, quoi ? Dites ! - Que tu me promettes de ne plus mentir à tes parents, que tu leur dise que tu avais prêté cet argent à un copain qui vient de te le rendre avec un petit plus, tu ne parles pas de la branle, ça, ça reste entre nous, et que tu leur dises que tu es invité ce week end chez un copain, c’est à dire demain soir je viens te chercher à la sortie, et je t’amène là où j’ai la bande sous la main. - Oui, mais, j’aurais besoin de votre aide pour une autre affaire. - Tu me raconteras ça demain. OK ? - OK, génial, super, je vais avoir ma revanche ! - doucement, calmes toi, Jonathan ! Allez, à demain » 
J’arrives chez Lucien, Jérémy viens le premier, m’embrasse, puis Lucien, Romain, Julien me fais une bise et Damien boude. « Damien, ici, viens dire bonjour ! - b’jour m’tre - viens ici - non, je veux pas - si je viens te chercher, tu vas dérouiller, attention à tes fesses - de toutes façon, je serai puni, alors ! - Lucien ? - Oui, il a refusé d’aller travailler aujourd’hui, pour qu’il n’y ait pas de problèmes avec le patron, Julien est allé à sa place, alors qu’il a son travail et est en congé ! - c’est très grave, Damien, on mange, toi tu restes au piquet, tu ne m’incites pas à enlever ta cage ! On va réunir un conseil exceptionnel. » 
Après le repas, je demande à tous de venir, chacun a gardé son slip, Lucien est habillé, comme moi et seul Damien est nu avec sa cage pour lui notifier encore plus son statut de puni. J’ai fais installer tout le monde sur des chaises en cercle, Damien à genoux, mains sur la tête au centre me regardant. « Bien, ceci est un conseil de punition. La punition sera publique, la faute est lourde. Qui veut défendre Damien ? Non, Lucien, pas toi ! Oui, Julien, bien on t’écoute - Hum, voila, Damien a eu honte d’aller au travail avec sa cage, il pense que tout le monde va le regarder comme un animal, au zoo. Et donc, il m’a demandé de le remplacer. Ce que j’ai fait. Il n’a pas commis de faute en soi. - Bien Damien, tu as quelque chose à dire ? - heu, ben, je, j’ai, j’ai pas, je voulais, pas, qu’on me regarde, j’ai fait un gros caprice comme un gamin, j’ai piqué une grosse colère et j’ai envoyé chier tout le monde, jusqu’à ce que Lucien me promette une punition exemplaire. Depuis j’ai boudé. Pardon Julien, je voulais pas te faire ça, c’est pas honnête, tu es un gars bien, tu sais - bien, Romain, tu as quelque chose à dire ? - oui, Damien a bien expliqué, il n’a pas dit qu’il a essayé de nous frapper, en se débattant, il tapait sur tout ceux qui s’approchaient de lui, même son frère a bien pris. - Merci, Romain, Jérémy ? Tu veux dire quelque chose ? - oui, maître, vous nous apprenez à devenir meilleurs, être honnêtes, et respectueux, je trouve que Damien n’a aucune de ces qualités, désolé, Damien, mais c’est la vérité, après toutes les punitions que tu as eu, tu n’as pas encore compris ! Ça me dépasse ! Tu devrais remercier à genoux tous les jours le maître de ne pas nous avoir livré à la police, pour tout ce que tu nous a fait taire, tu était notre chef, ne l’oublie pas, on t’a toujours suivi, maintenant, tu es seul, tu me dégoûtes, maintenant ! Deviens gentil, et on reviendra vers toi. - Merci Jérémy, Lucien ? - Je veux dire qu’il s’est mal conduit, une fois de plus, je sens que ma confiance en lui s’effrite de plus en plus. - passons à la punition. Vous allez noter sur un papier, sans marquer votre nom, ce que vous voulez lui appliquer comme punition, je déciderai avec Lucien et ce sera appliqué. » Je leur donne un moment pour noter
Je récupère les papiers, et lit à haute voix : « pour Damien, La strap, le martinet et la fessée, la strap, la fessée par chacun de nous. Donc, voilà ce que je décide Damien sera fessé par chacun de vous, puis, il aura droit à 30 coups de strap. Il restera enfermé à clé dans le WC assis dessus toute la nuit. Dans le noir, les odeurs, mains attachées derrière le dos et si l’un de vous doit y aller pour une fois allez dans le jardin, exceptionnellement. Je je délivrerai quand j’arriverai. Et la surprise c’est que je vais venir avec Jonathan. Ce sera la dernière punition collective sur vos agissements de sale voyous. Au fait, vous lui devez de l’argent, je l’ai retenu sur votre paye pour lui rendre avec un petit intérêt.

« Damien, viens ici, sale morveux, - non, pitié, noooon ! - tu n’avais qu’à y penser avant ! Laisses moi faire sinon c’est 5 coups de plus de strap ! - OOuiiiiinnnn, bouuuuh, ouin, naan, bouuuuh, houuu, - fermes là, - aïe - allez, viens ici, assieds toi. Tu est puni. Que ça te serve de leçon ! Tu vas rester enfermé ici jusqu’à demain - j’ve’paaaaas, bouuuuh, houuuuh - tais toi, si je t’entends, je viens te donner une fessée, autant de fois que tu en as besoin et à chaque fois c’est une heure de plus ! » Je l’enferme, réunit les autres, je leur explique que demain, Jonathan vient passer le week end alors qu’il devront être le plus gentil possible avec lui parce qu’il va décider de leur punition et même la donner. Rappelez vous ce que vous lui avez fait subir, et proposez lui la punition qu’il vous donnera, il décidera, de toutes façon ! Mais soyez à son service pendant tout le week end. On entends à travers la porte Damien qui couine comme un gamin, décidément, il est incorrigible ! Mais il finira bien par arrêter de faire le con ! Je décide de le laisser, faire. « Jérémy, viens ici, - oui, maître, tu es devenu un bon gars, je suis content de toi, ce soir tu dormira avec Lucien, tu peux profiter d’aller dans ses bras, il ne demande que ça, de te faire plaisir ! 
Le lendemain, je vais libérer Damien, le conduit tout droit à la douche, les autres sont à leur travail, je profite de le brusquer un peu. « Damien, tu pousses ma patience à bout, je ne suis pas content de toi. - maaais maître, c’est pas de ma faute, j’arrives pas à faire comme les autres, je me sens pas assez bien pour vous » Je le coupes de suite, il sait m’amadouer, et je ne veux pas lui donner ce plaisir « tais toi, viens ici, position du puni » je le caresses un peu entre les jambes pour faire monter l’excitation, qu’il ne peux que subir, il est toujours en cage, puis je lui dit « dis moi quelle punition te ferai suffisamment réfléchir pour que tu t’améliore ? - Je sais pas, maître, continuer à m’humilier, me fesser, me faire fesser par tous, je crois que je vais ravaler ma fierté, fessé par Jonathan, que j’ai humilié, me fera du bien. - Bon, tu vas appeler tes parents, leur dire que tu vas vivre désormais aec ton frère, et leur demander pardon pour tout. - non je ne peux pas faire ça ! Pas pardon ! - tu le feras, même si je dois te fesser jusqu’à ce que tu le fasses, d’ailleurs, c’est un acompte pour discuter mes ordres » et je lui colle des gifles, sur les joues, mais aussi sur les cuisses, les fesses. Il prends le téléphone et s'exécute. « Tu vas nettoyer toute la maison qu’elle soit nickel ! à ce soir, et soit sage ! »