Lucien arrive avec Jérémy. « Jérémy tu te mets à côté des autres, même position ! Lucien, on va régler la question de la chambre qui t’a valu la cage à toi aussi. J’ai décidé que seul Damien la garderai la semaine. Jérémy tu y échappes pour l’instant. Par contre, C’est toi, Lucien, qui va les punir pour la chambre. Ils ont demandé la fessée ou 10 coups de cane. Tu en pense quoi ? - La cane, c’est bien, 15 coups chacun, je pense que c’est suffisant. - bien, Damien est déjà en position, tu peux commencer ! » Lucien est allé chercher la cane, et sans prévenir « AAAAïe, … NooOOon, … Lucïllle, … m’fait maaaaah, … waaaïle, … Iiiiiiiiiie, bouhhhhh, ouinnnnnn, ouuhhh, aïe, ouuuhhhh, … ouille, houuuh … bouuh,booouhhh, bouuhhhh, booouuhhh, ouuuh » Je vais, donne deux claques bien fort sur ses fesses qui le font se relever je le retourne, et deux claques en pleine figure « tu ne mérites pas le mal qu’on se donne. Va au piquet, mains sur la tête, contre le mur »
« Julien, prends place ! - Mais j’ai rien fait, moi - c’est de la prévention, si tu ne veux pas ranger, pense à ce que tu vas recevoir. Et si tu continue à discuter, c’est 5 de plus ! » Il se mets en place, et Lucien reprends, zip, zip, zip, Julien encaisse bien les coups sans rien dire, 10 coups. Lucien, veux quand même lui montrer qu’il commande, et donne un coup sur la naissance des fesses, « Waaaaïe - reprends la position » une second au même endroit « Ouille ouille ille » encore un « noooon, ouuhhhh,ouh ouh ouh, ouuuh » Lucien donne l’avant dernier au milieu des fesses et le dernier sur la cuisse gauche. Julien est en pleurs « va au piquet, à côté de Damien. Romain, ici ! - non, s’il vous plaît, non, j’y suis pour rien. » Lucien, en colère l’attrape, le colle en position et lui dit « tu aura 5 coups de plus, Romain, pour avoir discuté » Et la séance commence, Romain craque de suite, au bout du quatrième coup, il est en pleurs, au bout du dixième, il sanglote, à quinze, il ne pleure plus, il gémit juste et au vingtième il s’effondre dans mes bras alors que je vais le prendre pour le mettre au piquet. Lucien me regarde « on fait quoi, maintenant, - c’est au tour de Jérémy - Il n’y est pour rien ! - je sais, mais il doit savoir ce qui arrive quand l’un ne range pas la chambre. Tant pis pour lui, c’est comme ça. - Lucien, je suis avec mes copains, il est normal que je soit puni, même si je n’ai rien fait, ne t’inquiètes pas, j’ai beaucoup appris ces deux derniers jours, je sais que même si je n’ai rien fait, ici, je le mérite pour tout ce que vous ne savez pas. J’ai besoin d’être puni, merci de me punir ! - Bon, dans ce cas, prépares toi » et il lui donne les 15 coups, pas trop fort, juste assez pour qu’il les sentent, et qu’il ait quelques marques. Mais Jérémy est en larmes à la fin et va se placer de lui même au piquet. « Voilà, Lucien, tu dois être plus sévère ! Je vous laisse, tu enlèveras les cages sauf à ton frère. - merci maître de votre confiance. » Il m’embrasse.
Je suis fier de Jérémy, il a beaucoup appris. Il faudra le féliciter.
Je vais à la recherche de Jonathan, le jeune de 18 ans qu’ils ont raquetté, pour le plaisir. Je le trouve à la sortie de son Lycée. Je m’approche, lui pose la main sur l’épaule pour qu’il me regarde. « viens à l’écart ! Jonathan ! - Qu…qui … ê …ê…tes … v…ous ? - n’ai pas peur, je ne te veux aucun mal. - Ah ? C’est la première fois qu’on me dit ça ! - je connais les jeunes qui te font du mal, au moins une partie, la bande à Damien. - connais pas - normal, ils ne t’ont pas donné leur nom ! Regarde les photos - Ah oui, c’est les plus méchants, ils, … - vas y tu peux tout me dire, ils ne te feront plus aucun mal, moi non plus, je veux juste t’aider ! Et ils vont te rembourser tout l’argent qu’ils t’ont volé, je te l’assure - Vrai ? Super, génial ! J’aurais plus à me cacher, pour voler mes parents ! - tu as fais ça ? - heu, oui, j’en suis pas fier, mais,c’est pas bien, je sais. - on réglera ça plus tard. - raconte moi ce qu’ils t’ont fait, - plein de misères depuis 6 mois ! Tout d’abord, des baffes parce que je voulais pas leur donner mon blouson, qu’ils ont déchiré, puis ils m’ont mis ma chemise en miettes, et toujours des baffes, de grandes claques dans la figure, ils me faisaient mal, et rigolaient de me faire mal, ils jouaient avec moi comme un ballon qu’on se passe de l’un à l’autre, mais à coup de gifles, puis ils ont commencé à demander de l’argent 20 € puis 50 € et toujours plus jusqu’à 100 par semaine ! En tout j’ai bien du leur donner 2 à 3 000 - oui, exactement 3 750 € et puis ils m’ont fait des brûlures au briquet m’ont mis à poils et se sont amusés de me voir comme ça, un m’a même obligé à … non, je n’ose même pas le dire - à le sucer ? - heu, oui, puis à les branler, tous, et ils m’ont, … non, c’est trop dur, bouuuh, … - ils ont joui sur toi ? Ils t’ont branlé aussi ? - oui, c’est ça, les deux j’ai honte, trop honte, j’en ai pas parlé, à personne. Ils me l’on fait plusieurs fois pour que je n’oublie pas l’argent ! - je te propose de prendre ta revanche, de pouvoir les humilier et de récupérer tes sous, mais à 2 conditions - Oui, oui, oui, quoi ? Dites ! - Que tu me promettes de ne plus mentir à tes parents, que tu leur dise que tu avais prêté cet argent à un copain qui vient de te le rendre avec un petit plus, tu ne parles pas de la branle, ça, ça reste entre nous, et que tu leur dises que tu es invité ce week end chez un copain, c’est à dire demain soir je viens te chercher à la sortie, et je t’amène là où j’ai la bande sous la main. - Oui, mais, j’aurais besoin de votre aide pour une autre affaire. - Tu me raconteras ça demain. OK ? - OK, génial, super, je vais avoir ma revanche ! - doucement, calmes toi, Jonathan ! Allez, à demain »
J’arrives chez Lucien, Jérémy viens le premier, m’embrasse, puis Lucien, Romain, Julien me fais une bise et Damien boude. « Damien, ici, viens dire bonjour ! - b’jour m’tre - viens ici - non, je veux pas - si je viens te chercher, tu vas dérouiller, attention à tes fesses - de toutes façon, je serai puni, alors ! - Lucien ? - Oui, il a refusé d’aller travailler aujourd’hui, pour qu’il n’y ait pas de problèmes avec le patron, Julien est allé à sa place, alors qu’il a son travail et est en congé ! - c’est très grave, Damien, on mange, toi tu restes au piquet, tu ne m’incites pas à enlever ta cage ! On va réunir un conseil exceptionnel. »
Après le repas, je demande à tous de venir, chacun a gardé son slip, Lucien est habillé, comme moi et seul Damien est nu avec sa cage pour lui notifier encore plus son statut de puni. J’ai fais installer tout le monde sur des chaises en cercle, Damien à genoux, mains sur la tête au centre me regardant. « Bien, ceci est un conseil de punition. La punition sera publique, la faute est lourde. Qui veut défendre Damien ? Non, Lucien, pas toi ! Oui, Julien, bien on t’écoute - Hum, voila, Damien a eu honte d’aller au travail avec sa cage, il pense que tout le monde va le regarder comme un animal, au zoo. Et donc, il m’a demandé de le remplacer. Ce que j’ai fait. Il n’a pas commis de faute en soi. - Bien Damien, tu as quelque chose à dire ? - heu, ben, je, j’ai, j’ai pas, je voulais, pas, qu’on me regarde, j’ai fait un gros caprice comme un gamin, j’ai piqué une grosse colère et j’ai envoyé chier tout le monde, jusqu’à ce que Lucien me promette une punition exemplaire. Depuis j’ai boudé. Pardon Julien, je voulais pas te faire ça, c’est pas honnête, tu es un gars bien, tu sais - bien, Romain, tu as quelque chose à dire ? - oui, Damien a bien expliqué, il n’a pas dit qu’il a essayé de nous frapper, en se débattant, il tapait sur tout ceux qui s’approchaient de lui, même son frère a bien pris. - Merci, Romain, Jérémy ? Tu veux dire quelque chose ? - oui, maître, vous nous apprenez à devenir meilleurs, être honnêtes, et respectueux, je trouve que Damien n’a aucune de ces qualités, désolé, Damien, mais c’est la vérité, après toutes les punitions que tu as eu, tu n’as pas encore compris ! Ça me dépasse ! Tu devrais remercier à genoux tous les jours le maître de ne pas nous avoir livré à la police, pour tout ce que tu nous a fait taire, tu était notre chef, ne l’oublie pas, on t’a toujours suivi, maintenant, tu es seul, tu me dégoûtes, maintenant ! Deviens gentil, et on reviendra vers toi. - Merci Jérémy, Lucien ? - Je veux dire qu’il s’est mal conduit, une fois de plus, je sens que ma confiance en lui s’effrite de plus en plus. - passons à la punition. Vous allez noter sur un papier, sans marquer votre nom, ce que vous voulez lui appliquer comme punition, je déciderai avec Lucien et ce sera appliqué. » Je leur donne un moment pour noter
Je récupère les papiers, et lit à haute voix : « pour Damien, La strap, le martinet et la fessée, la strap, la fessée par chacun de nous. Donc, voilà ce que je décide Damien sera fessé par chacun de vous, puis, il aura droit à 30 coups de strap. Il restera enfermé à clé dans le WC assis dessus toute la nuit. Dans le noir, les odeurs, mains attachées derrière le dos et si l’un de vous doit y aller pour une fois allez dans le jardin, exceptionnellement. Je je délivrerai quand j’arriverai. Et la surprise c’est que je vais venir avec Jonathan. Ce sera la dernière punition collective sur vos agissements de sale voyous. Au fait, vous lui devez de l’argent, je l’ai retenu sur votre paye pour lui rendre avec un petit intérêt.
« Damien, viens ici, sale morveux, - non, pitié, noooon ! - tu n’avais qu’à y penser avant ! Laisses moi faire sinon c’est 5 coups de plus de strap ! - OOuiiiiinnnn, bouuuuh, ouin, naan, bouuuuh, houuu, - fermes là, - aïe - allez, viens ici, assieds toi. Tu est puni. Que ça te serve de leçon ! Tu vas rester enfermé ici jusqu’à demain - j’ve’paaaaas, bouuuuh, houuuuh - tais toi, si je t’entends, je viens te donner une fessée, autant de fois que tu en as besoin et à chaque fois c’est une heure de plus ! » Je l’enferme, réunit les autres, je leur explique que demain, Jonathan vient passer le week end alors qu’il devront être le plus gentil possible avec lui parce qu’il va décider de leur punition et même la donner. Rappelez vous ce que vous lui avez fait subir, et proposez lui la punition qu’il vous donnera, il décidera, de toutes façon ! Mais soyez à son service pendant tout le week end. On entends à travers la porte Damien qui couine comme un gamin, décidément, il est incorrigible ! Mais il finira bien par arrêter de faire le con ! Je décide de le laisser, faire. « Jérémy, viens ici, - oui, maître, tu es devenu un bon gars, je suis content de toi, ce soir tu dormira avec Lucien, tu peux profiter d’aller dans ses bras, il ne demande que ça, de te faire plaisir !
Le lendemain, je vais libérer Damien, le conduit tout droit à la douche, les autres sont à leur travail, je profite de le brusquer un peu. « Damien, tu pousses ma patience à bout, je ne suis pas content de toi. - maaais maître, c’est pas de ma faute, j’arrives pas à faire comme les autres, je me sens pas assez bien pour vous » Je le coupes de suite, il sait m’amadouer, et je ne veux pas lui donner ce plaisir « tais toi, viens ici, position du puni » je le caresses un peu entre les jambes pour faire monter l’excitation, qu’il ne peux que subir, il est toujours en cage, puis je lui dit « dis moi quelle punition te ferai suffisamment réfléchir pour que tu t’améliore ? - Je sais pas, maître, continuer à m’humilier, me fesser, me faire fesser par tous, je crois que je vais ravaler ma fierté, fessé par Jonathan, que j’ai humilié, me fera du bien. - Bon, tu vas appeler tes parents, leur dire que tu vas vivre désormais aec ton frère, et leur demander pardon pour tout. - non je ne peux pas faire ça ! Pas pardon ! - tu le feras, même si je dois te fesser jusqu’à ce que tu le fasses, d’ailleurs, c’est un acompte pour discuter mes ordres » et je lui colle des gifles, sur les joues, mais aussi sur les cuisses, les fesses. Il prends le téléphone et s'exécute. « Tu vas nettoyer toute la maison qu’elle soit nickel ! à ce soir, et soit sage ! »