COMPTE-RENDU fais par les deux soumis Kévin (K) & Quentin (Q) commentaires du Maître (M)
Q : Comme convenu avec Kévin je suis arrivé vers 13h00 avec 7 pièces de vêtements : écharpe, anorak, pull en laine, chemise, tee shirt, chaussettes, pantalon et chaussures (que nous n'avons pas considéré comme des vêtements). Je portais comme demandé le collier de chien caché sous l'écharpe, pas de slip, le collier de chat aux couilles et 6 mousquetons. Pour être sûr de ne pas louper le rendez-vous je suis arrivé environ 10 minutes en avance et j'ai tourné un peu dans le quartier. À 13h00 j'ai sonné chez Kévin.
K : Nous avions convenu qu'il arriverait à 13h00, puisque Le Maître devait arriver à 14h00. J’avais, comme lui, chaussettes, pantalon de toile épaisse, tee shirt, chemise, pull, veste genre anorak, écharpe. J’avais mon collier de chien au cou et celui de chat au couilles. Quentin est arrivé exactement à 13h00. J'ai su après qu'il avait un peu attendu devant la porte. Il est assez grand, mince et apparaît assez sportif, mignon aussi !
Je l'ai mené dans la chambre.
Q : Il m’a enlevé les chaussures
K : J'ai ensuite commencé à le déshabiller tout en pliant correctement les vêtements sur le lit : j'ai ôté dans l'ordre l'écharpe, la veste, le pull, la chemise, le tee shirt, le pantalon (comme moi il n'avait pas de slip) et les chaussettes. Ses vêtements étaient posés en deux tas sur le lit.
Q : Il y avait aussi déjà préparé sur le lit, sa laisse, de la corde, le paddle, la cane, le martinet et le mètre.
Je l'ai ensuite déshabillé, il avait les mêmes vêtements que moi ; cela a été drôle de le voir ainsi habillé avec l'écharpe et son blouson. J'ai fait comme lui, il était en chaussettes. j'ai donc commencé par l'écharpe puis suis allé jusqu'aux chaussettes. Moi aussi j'ai bien plié les vêtements en deux piles à côté des siens.
K : JL avait apporté 6 mousquetons que nous avons posés sur le lit à côté des instruments de punition.
Q : Nous nous sommes mis à genoux face à face, et avec quelques difficultés. Nous nous sommes collés l'un contre l'autre... mon sexe a bandé par le contact, celui d’Kévin aussi. Nous avons (avec un peu de difficulté) accroché les colliers de chat par les mousquetons et ensuite j’ai mis la laisse que j'ai accrochée au pied du lit. Nous étions de profil devant un miroir. J'ai attaché ensemble les colliers de chien comme si nous avions deux têtes et un seul corps, oreille contre oreille.
La position était dure, mais cela n'a duré qu'un peu plus d'un quart d'heure, je crois car est arrivé et nous a détaché. Pendant l'attente, nous n'avons pas bougé, ni parlé... nous étions punis.
K : Oui, La position était assez dure à tenir et la promiscuité très forte... plus forte que je n'avais jamais eu avec un autre chien. Nos deux sexes bandaient. Cela était très bizarre... j'étais nu tout contre Quentin... c'était à la fois excitant et perturbant car il était plus proche de moi et pendant beaucoup plus longtemps que quiconque jusque-là. Nous avions décidé de ne pas parler... au fur et à mesure que le temps s'écoulait nos queues bandaient de plus en plus dur... ça a été un soulagement de ce point de vue de voir arriver Le Maître car nous ne voulions pas juter à ce moment, mais j'ai ressenti son excitation, tout comme la mienne, de façon très très intense. Mes pensées étaient surtout destinées au départ à m'empêcher de bander, mais elles sont vite parties sur des punitions que j'avais reçues… notamment une fois où je suis resté à genoux sur une règle carrée pendant 10 minutes mains sur la tête et une autre fois où je suis resté à genoux paumes en l'air portant des dictionnaires… là encore pas très longtemps mais très stressant… risque de se faire fouetter si je bougeais de la règle ou si je faisais tomber les livres.
Q : Pendant que nous étions ainsi liés, Kévin et moi, j'ai ressenti une très grande promiscuité… je ne le connaissais pas et j'étais là comme un chien à genoux et tout contre lui… mais cette situation m'a aussi fait bander de plus en plus fort… Comme chaque fois que je bande et que je ne veux pas jouir je fixe mon esprit sur un décompte décroissant... je suis parti de 500 et j'ai descendu progressivement de un en un… Cela me calme et me permet de passer le cap où le risque de jouir est très important…
K : Nous sommes restés comme cela environ 20 minutes sans parler, juste frissonnants par moments mais pas de froid et queue tendue l'un comme l'autre.
Le Maître est arrivé comme prévu à 14h00… j'avais laissé la porte ouverte. Il est arrivé dans la chambre.
M : Déjà de les voir tous les deux à poil queue contre queue en arrivant ! hummmmmmm! j'ai ri !
Q : Quand Le Maître est arrivé j'étais à 150 (je compte toujours très lentement cela ne fait clairement pas des secondes)… j'ai été soulagé.
K : Le Maître s'est installé dans un fauteuil que j'avais préparé pour lui. Il avait un verre à sa disposition. Je suis allé chercher le mètre de couturière et j'ai effectué les mesures sur Quentin.
Q : C'était très dur de ne pas bouger pendant ces mesures... C'est Kévin qui m'a fais bander pour les mesures du sexe en érection en me branlant à la main. Le Maître a décidé que j'avais bougé 6 fois ce qui m'a valu tout de suite après la cane 30 coups. Je l'ai pris dans la position habituelle que je connais bien ! debout, penché en avant, cuisses bien écartées, mains tenant les chevilles. Je devais remercier pour chaque coup donné. Kévin a compté les coups.
Après un petit temps de repos imposé par le Maître , j'ai repris la position et lui le mètre pour la mesure.
De la même façon, j'ai branlé Kévin pour le mettre en érection. Le Maître a considéré que Kévin avait bougé 8 fois ce qui a donné 40 coups de cane. Kévin a pris la même position que moi. Je comptais et il remerciait le Maître pour les coups.
C'était très dur et humiliant.
Le Maître a fait une pause pendant laquelle nous sommes restés debout "au garde à vous"
K : il nous a fait attendre environ 10 minutes. Puis Le Maître nous a fait mettre devant lui, à genoux, à environ 20 cm (mesuré par le mètre de couturière par le Maître )
Q : Nous avons alors pratiqué le jeu de la fessée
« En une demi-heure, chacun devra donner le plus de claques sur les fesses de l'autre. Ne pas jouer mérite punition. Les claques doivent être données assez fort sur toutes les parties du corps possible de l'autre. Il est interdit de se dérober ».
Nous avons bien claqué nos corps Kévin et moi, ça a duré longtemps.
K : chacun a donné le maximum de claques à l'autre, ça faisait mal, mais c'était très excitant aussi. Après 30 minutes, Le Maître a fini par nous dire d'arrêter.
Q : Nous attendions à genoux qu'il désigne le vainqueur mais en riant il a dit que nous étions ex-aequo. Le Maître nous a fait refaire une pause, de nouveau, pubis contre pubis attachés par les colliers de chat.
K : Nous avons donc pris la position demandée attachés par le collier de chat, nos queues et couilles entre les jambes de l'autre... Nous étions très excités. Nous avons attendu 10 minutes environ comme cela alors que Le Maître sirotait sa boisson. Puis il s'est levé et a pris le martinet et il nous a fouetté tous les deux en alternance... cela a duré longtemps probablement quelque chose comme 40 minutes
Q : j'ai pleuré le premier, mais Kévin a aussi pleuré. Nous avons supplié le Maître d'arrêter, mais il a continué.
K : Oui, nous avons tous les deux pleuré, mais Le Maître a continué malgré nos pleurs et nos demandes de grâce.
A ce moment, d’être attaché, cela a été plus simple car l'expérience de la première fois était là, mais cela a été dur car à chaque coup que recevait l'un, l'autre le ressentait. je sentais aussi sa peau frissonner lorsqu'il recevait les coups, et cela m'a fait frissonner... en fait j'ai eu l'impression de recevoir deux fois le martinet.
Q : La fessée au martinet a été aussi très spéciale... je ressentais les mêmes sensations que Kévin je pense... moi ça m'a donné l'impression de recevoir en même temps que lui alors que Le Maître alternait.
La deuxième fois d’être attachés pubis contre pubis ne m'a pas tout à fait donné la même sensation que la première fois, la douleur des fesses y est pour beaucoup.
Enfin le dernier coup est tombé. Il nous a fouetté un coup l'un un coup l'autre.
K : Cela a cependant aussi créé une sorte de communauté entre nous de subir ensemble
M : Les séries de fessées et le jeu de la fessée a été très bien ! super bien aussi de les voir mutuellement prendre leurs mesures... chacun a dû masturber l'autre ! Ils ne se connaissaient pas ! mais ma foi ça a marché !
J'ai vérifié le résultat de leurs mesures à chaque fois ! Non mais !
K : Puis Le Maître nous a prévenu qu'il allait nous donner une longue fessée manuelle.
Il m'a demandé d'aller chercher une serviette qu'il a posée sur ses genoux. Quentin a du se mettre à genoux en face de Lui et Le Maître m'a demandé de venir sur ses genoux. Il m'a fessé longtemps à la main, cela faisait très mal. Il m'a bien fallu 15 minutes pour être "maté" et ne plus bouger juste pleurer... j'ai juté deux fois pendant cette fessée ce qui a fait rire le Maître . Il m'a fait nettoyer la serviette avec ma langue avalant mon sperme. J’ai alors du aller chercher une autre serviette.
Q : La fessée de Kévin a duré au moins une demi-heure, je pense... À la fin Kévin recevait la fessée sans plus bouger... Puis j'ai pris sa place sur les genoux du Maître . La fessée a été dure pour moi aussi longue humiliante et pénible, mais j'ai juté aussi. J'ai donc moi aussi du lécher la serviette.
K : Le Maître m'a fait nettoyer les deux serviettes à la main.
Cela a renforcé la communauté entre nous deux d’avoir assisté à la fessée manuelle et à la jouissance de l'autre.
M : j'ai fait juter les deux à la dernière fessée manuelle ! J'aurais fessé plus s'ils n'avaient pas juté avant (largement) les 30 minutes ! là je me suis arrêté à 30 ! Hé ! Hé ! Ensuite j'ai pris mon petit plaisir !
K : Le Maître a demandé à Quentin de le sucer et à moi de le finir. Il a juté sur nos visages. En fait c’est le moment où je me suis senti le plus proche de Quentin, lorsque nous avons tous les deux sucés Le Maître et qu'il a juté sur nos figures.
Q : Nous sommes allés prendre une douche
M : On était tous épuisés ! Crois moi ; aussi j'ai invité les deux chiens à dîner au restau... dôle de les voir précautionneux en s'asseyant !
Q : Le Maître était venu en voiture et il m'a raccompagné une partie du chemin jusqu'à un métro.
K : Maître Merci Maître de ce dressage sévère mais justifié.
Q : Merci de nous avoir fait dresser
… … … … … …
4 jours plus tard :
K : Salut JL comment vas-tu ? Tes fesses sont-elles encore rouges comme les miennes ? et as-tu encore du mal pour t'asseoir ? moi oui ! et pourtant c'était Dimanche ! wowo !
Q : Salut Kévin... Tu parles oui bien sûr... encore dur de s'asseoir même si ça commence à passer et mon cul est plus proche de la viande crue que d'un cul !
Quelle session hein ? pour moi c'était une première à plusieurs soumis... ce que j'ai bien aimé aussi c'est le contexte dressage punitif... j'aime lorsqu'il y a une raison à la punition !
K : salut... moi je déteste être puni pour quelque chose que je n'ai pas fait... pas de prétextes ; des fautes et des punitions, ça peut aussi être un "dressage" donc quelque chose fait pour te faire obéir à des ordres données (c'est ma définition)
je te rassures mon cul est encore douloureux et violacé !
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