Fayçal est élève dans le lycée de Jonathan, il viens d’avoir 18 ans, il est agité, voire perturbateur, dans la plupart des cours il bavarde et travaille mal. Un jour, Jonathan le surprend en train de se branler. En le voyant, il se fige la queue à a main, trop tard ! Deux gros jets de spermes lui dégoulinent le long du poignet. Il me regarde en baissant la tête. « Je, …heu, – Alors, Fayçal, tu aurais pu faire ça ailleurs. – Jonathan, … ne dis rien, s’il te plait – Désolé, tu va venir avec moi voir le proviseur, je veux pas être ton complice – Non, s’il te plaît, ne dis rien à personne, je suis perdu, mon père va me tuer s’il l’apprend, je ferai tout ce que tu veux, mais … – Tais toi. Dépêches toi et viens me trouver avant de partir que je décide ce que je ferai de toi. N’oublie pas, si tu ne viens pas, je fais un rapport et tu es exclu pour 3 jours … – Non, je serai là, je viendrai te trouver dès la fin des cours.
Entre temps Jonathan m'appelle, pour que je m'occupe de son collègue !
A l'heure prévue, je rejoins Jonathan, je vois arriver Fayçal « Voilà mon maitre, il va te punir parce que tu le mérites. - Jonathan, noon, - tu vas faire ce que je veux sinon je parles au proviseur ! - Non, Jonathan, Monsieur, je suis prêt à être puni par vous, mais ne dites rien à personne. – J’ai une idée de punition, mais, tu dois être d’accord, tu as le choix d’accepter ma punition ou de te retrouver devant le proviseur, avec tes parents. – Non, s’il vous plait, j’accepterai tout si vous ne dites rien, - Bien, viens avec nous, »
Je le prends à part, dans une pièce retirée, où personne ne peut nous déranger que Jonathan a choisi, à l’écart et très discrète. « Bien, tu dois être puni. Je vais te donner une fessée. – Pardon ? Pas çà, non ! – Alors tant pis pour toi, je vais devoir appeler tes parents, et faire mon rapport au proviseur. – Non, non, attendez, je …, j’a…, je suis d’accord si vous ne dites rien. – C’est toi qui vois. Ce n’est pas une petite fessée de gamin, Tu vas recevoir une fessée à la mesure de ce que tu as fait, tu as 18 ans, donc ce sera une fessée qui va te faire comprendre que tu ne dois pas faire n’importe quoi, n’importe où. – Mais je ne faisais rien de mal, je l’ai déjà fait plusieurs fois sans problèmes, avant. – De mieux en mieux, allez, déshabilles toi. Et plus vite que çà, sinon c’est moi qui le fait. »
Il hésite un peu, et doucement enlève ses habits. Il reste en shorty multicolore. Je l’attrape, et le bascule vivement sur mes genoux, commence à claquer ses fesses, il se mord la lèvre pour ne rien dire, il fait le dur, mais c’est une mise en place, je chauffe ses fesses, clap, clap, clap, clap, clap, en rythme, il commence à laisser échapper des petits cris, je continue, encore une vingtaine de claques. Il commence à renifler.
« Maintenant la punition va commencer, Fayçal » je lui baisse le shorty, dégage ses fesses rougie que plus rien ne protège et clap, clap, clap, clap, clap, il gigote, il renifle, clap, clap, clap, clap, clap, il commence à demander pardon, dit qu’il a compris, qu’il ne le fera plus, clap, clap, clap, clap, clap, en rythme, les claques continuent, je vois ses fesses devenir écarlates, il fait son dur, essaye de se retenir mais n’y arrive pas, il se met à pleurer, clap, clap, clap, clap, clap, je veux le punir et qu’il se laisse aller, qu’il abandonne sa fierté d’adolescent, il sanglote, il ne dit plus rien, juste les pleurs, le visage plein de larmes, il ne bouge plus, je le sens se donner à la punition, clap, clap, clap, clap, clap, le jeune morveux fais place à un jeune soumis, qui se laisse aller et pleure sans plus de retenue. J’arrête, le relève, le fais mettre à genoux, prends son shorty pour lui essuyer les larmes, « Alors ? J’espère que tu as compris la leçon ! Tu en recevras encore si tu ne te tiens pas comme il faut. Avec tout le monde ! Si Jonathan me dit que tu as créé le moindre petit problème, je t’en colle une autre. – Snif, non, monsieur, je vous promets que je serai sage, toujours, - Tu as intérêt, sinon, tu sais ce qui va t’arriver ! – Oui monsieur, - Reste au piquet mains sur la tête un quart d’heure, puis rhabilles toi. – Ne dites rien à personne, monsieur, je vous en prie, je promet de me tenir tranquille. »
Un quart d’heure plus tard, je le laisse se rhabiller, et de tout le reste de l’année, il a été exemplaire.
A la fin de l’année, il est venu me trouver, « Monsieur, merci pour la fessée, çà m’a permis de bien travailler. »
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