jeudi 26 août 2010

Jonathan

Je récupère Jonathan, et nous arrivons. Ils viennent tous l’accueillir, lui dire bonjour, et se bousculent pour lui demander pardon, Damien en tête. Jonathan a un mouvement de recul quand il les aperçois, mais Lucien viens le prendre en charge, lui montre sa chambre, et lui propose à boire. 
Un moment après, je fais venir tout le monde, j’installe Jonathan sur le canapé à côté de moi, de l’autre côté il y a Lucien. « à poils tout le monde ! À genoux, position du puni. Les 4 crapules, de suite. Sauf pour les repas vous resterez comme ça, même dehors ! » Je regarde Jonathan, il rigole, il est heureux « Jonathan, ils sont à ton service tant que tu resteras ici, tu peux tout leur faire, ils n’ont pas le droit de refuser, par contre, pas de dérapages. Ils viendront te demander pardon, l’un après l’autre. - merci monsieur, vrai ? Je peux aller m’amuser avec eux ? - oui, tout ce que tu veux, ils ont ordre de te laisser faire. - merci » et il me saute au cou, me fais un bisou. Puis va vers Damien, lui colle une paire de gifles dans la figure, lui crache au visage, prends sa main, et lui étale bien tout. Il passe les autres en revue.  « Toi, viens ici » à l’endroit de Jérémy qui s’empresse d’aller à lui. « tu m’as fait me branler sous la contrainte des coups, vas y branles toi, pour me faire plaisir ! Et correctement ! » et Jérémy s’exécute, il jouit rapidement, par terre, « continue, t’arrêtes pas, putain, quel pied de te voir faire ! gros cochon, tu te souviens ce que tu me disais pendant que j’étais obligé de faire ça ? Que tu aimais voir un pauvre mec avoir honte que je n’étais qu’un sale bâtard, la tête de ma mère, tu va regretter, tout ce que tu m’as fait, t’arrêtes pas, branle, c’est toi le bâtard, pourri, sale chien » Jérémy avait mal, du mal à re bander, surtout avec les insultes, mais le Jérémy nouveau accepte toutes les humiliations, tête basse, et régulièrement demande pardon à Jonathan qui lui mets la main sous le menton, le force à le regarder dans les yeux, mais n’y voit que de la honte et une profonde tristesse. Jérémy vient de jouir à nouveau, Jonathan l’abandonne, Jérémy humblement se remet en position mains sur la tête, Jonathan passe à Julien, « Toi, connais pas, tu as pas l’air chien, prends ça, ça suffira ! » et il lui claque plusieurs fois la figure. Me regarde, visiblement heureux. Passe à Damien, « Tu te souviens ce que tu m’a fait faire ? Je vois que ta bitte est en cage, j’adore ça ! Tu dois déguster, tant pis pour toi, tu dois l’avoir mérité, moi, je te l’aurais brisée. - Damien, ici ! » je lui enlève la cage le fais allonger sur le canapé, les jambes écartées, aussitôt il est en érection. Je prends le martinet et commence à lui frapper les couilles assez fort, il se jouit presque de suite sur le ventre ! Je continue à frapper, la queue, le pubis, les couilles je lui fait écarter plus les jambes et avec la cane, je frappe dans la raie, Jonathan est mort de rire. Au point qu’il se pisse dessus ! Je demande à Lucien de l’amener se changer, Damien est en pleurs, « arrêtez, maître, j’ai mal, bouuuh, ouuuh, ouuuh ,ouuuh, ouuh » il a les parties toutes rouges. Jérémy, va me chercher des glaçons, je vais te le rafraîchir, moi ! Ce morveux ! » Je lui colle plein de glaçons sur le pubis, ils fondent ils coulent sur sa queue, maintenant molle, et ses couilles, il crie. Quand Jonathan revient je lui tends la cane, et il commence à le frapper comme il m’a vu faire. Une dizaine de coups puis il a quand même pitié de lui, « lèves toi et viens me sucer - il serait trop content, branle le, il dégustera plus, il aura mal là où il t’a fait du mal ! - Jonathan se met donc à branler Damien, chaque mouvement lui tire un cri de douleur. Et il jouit assez vite. Jonathan, fatigué, vient s’asseoir à coté de moi 
Lucien lui propose à boire, il accepte. Il est aux anges ! Bon, il est l’heure du repas, on passera à la suite des punitions après. « ah non, j’ai pas faim, je veux continuer à jouer - Écoutes, Jonathan, ici il y a des règles de vie très strictes, où tu acceptes ce que je te donne et tu t’adaptes, où tu t’en vas. - Mais, non, je veux rester - bien, alors on les comiques vont préparer la table pour le repas. 3 couverts, Lucien, Toi et Moi, ils nous serviront à table et mangerons après. - ok, ok, c’est bon » 
Le service a été parfait, Jonathan toujours servi le premier, il avait Jérémy, Romain, Julien et Damien à ses pieds, tous prêts à devancer ses moindres désirs. 
Après le repas, une petite digestion et Romain qui n’avait pas encore été le jouet de Jonathan, y est passé. « Alors, voyons ce qu’on peut en faire de celui là ! Hum, à 4 pattes, » et Jonathan s’est assis sur son dos comme sur un cheval, il lui a donné des claques sur les fesses, sur le corps, sur la tête. Ils sont restés plus d’une demie heure comme ça. Puis je les ai envoyés dans leur chambre. J’ai pris Jonathan à part. « Mon grand, tu as pu t’amuser avec tous ces vauriens, demain, on leur donnera la fessée, ce sera la punition pour tout ce qu’ils t'ont fait. Par contre, je veux te dire que Jérémy a bien changé et il veut devenir ton ami, sincèrement - pas possible, ce cochon là ? - oui, je jais le faire venir pour qu’il te le dise, - je le croit pas ! Lui, un ami ! - donne lui une chance, écoutes le, tu décideras après. - bon, ok, - Jérémy, ici ! - Oui maître - explique à Jonathan ce que tu m’as dit tout à l’heure - oui, raconte moi ça ! Que je rigole ! - Jonathan, je sais que tu vas avoir du mal à me croire, que je t’ai beaucoup humilié, regardes moi, je suis nu devant toi, je suis humilié devant toi, tu t’es amusé de mon corps, j’aurais fait pareil à ta place, je t’ai fais du mal, c’est très moche ce que je t’ai fait. Mais tu vois ces derniers jours, j’ai appris à devenir meilleur, aussi, je cherches à me racheter,  je ne veux pas être un de tes copains, je te demande comme une faveur ton amitié, je veux pouvoir te protéger de gens comme on était, tout faire pour toi, je crois que tu n’a pas de frère, je te demande, je te supplie, je t’implore de me laisser être ton ami, tu ne sera pas déçu ! » Jonathan a les larmes aux yeux « file Jérémy, il te le dira demain - mais, je sais pas quoi dire, il … - accepte, boy, tu verras, je lui fais confiance. »
Le lendemain, la séance fessée est prévue, Damien, aura droit à une fessée par Jérémy, Julien, Jonathan et je lui donnerai 30 coups de cane, Jérémy sera fessé par Jonathan, Romain recevra 25 coups de cane donnés par Jonathan, et je fesserai Julien. 

** 
Début de journée, tout le monde se lève, se lave, déjeune puis après avoir distribué les taches ménagères à accomplir, on se dirige, Lucien, Jonathan et moi, vers le canapé pour bavarder de la journée. Plus tard, quand tout est fait, On appelle Damien, à qui j’avais remis sa cage avant qu’il se couche, Julien, Jérémy et Romain. « Les comiques, voici la sentence, décidée avec Lucien et Jonathan : Damien va être fessé puis il aura 30 coups de cane. Comme il devait être fessé pour ne pas être allé au travail, je vais cumuler les deux punition, Damien, tu vas être fessé par Jérémy, Julien et Jonathan. Après tu aura droit à 30 coups de cane et 30 coups de strap par Lucien. - nooon, siouplait, je promets d’être gentil, pas tout ça » et il se jette à mes pieds. Je le relève sans ménagement, 
« Jérémy, viens ici, installe toi - bien maître - Damien, place toi. » Il sait qu’il n’y échappera pas et que s’il discute, la punition sera plus sévère, il se mets en position sur les genoux de Jérémy, qui devient tout pâle, il ne pensait pas qu’il doive faire ça. « Allez, Jérémy, courage, et fesse bien, - snif, oui maître ! » une première laque sur les fesses de Damien, il alterne fesse droite, fesse gauche puis essaye de fesser de partout, le cul de Damien rosit vite, Damien gesticule, mais ne crie pas, pas encore, il ne veut pas craquer sur les fesses de son copain qu’il est en train de haïr, il ne pensait pas qu’il lui donne la fessée, de grandes claques qui font surtout mal à son ego ! Après une dizaine de claques, il commence à crier un peu « aïe, aïe aaaaïe, wouahille, m’fai’mal, aïe aïe aïe noon, aïe , non, jérem, s’te plait ! Aïe s’te plaaaïe, aaaaaaaïe » une vingtaine de minutes comme ça, je le relève, en le tirant par les cheveux, le mets à genoux, le force à me regarder « j’espère que tu as compris, maintenant !  - snif, snif, oui - oui qui ? - oui, maître, que j’aimes bien. - Julien, prends place, et toi Damien va sur ses genoux ! Et fesse le bien, Julien - ne vous inquiétez pas, maître ! » Et la fessée reprends, des claques pas trop fortes mais très rapprochées sur la même partie de la fesse. « Ouille, ouuuh, aaaah, ouuuh , non, ouaïlle, nooooon, tu aïe, me aïe, fais aïe, maaaaal, ouch, » Julien fesse, méthodiquement, il applique des claques de plus en plus fortes, Damien sursaute à chaque fois, et commence à pleurer  « aïe, boouh, ouuh, aïe, … boooouuuuh, noon, … ouuuh, ‘rête, juju, arêèèèèèèète aaaaaïiiiie, bouuuuh, houuuu, houuu » 
Je fais arrêter Julien, mettre Damien au piquet 10 minutes, Jonathan, c’est à toi, tu vas y arriver ? - Je vais essayer, j’ai peur de lui faire trop mal, ou pas assez, comment ne pas rater la fesse, ou … - ça viendra tout seul ! Damien, ici, installe toi sur Jonathan ! - snif, bien, snif, mai… snif tre » et Jonathan de commencer à donner sa première fessée, hésitant, puis au fur et à mesure, il prends de l’assurance, ses claques sont modérées, mais sur les fesses déjà rougies de Damien, c’est vite un feu qui lui brûle le cul et Damien se mets à sangloter et demander pardon. Ému, Jonathan s’arrête. « c’est bon, je pense que t’as assez dégusté ! » Damien, va te mettre en position pour la suite, les mais qui tiennent bien le dossier de la chaise, les jambes écartées. Et dès qu’il est en place, zip, zip, la cane laisse vite des marques violettes sur ses fesses rouges, il gémit plus qu’il crie, ne pleure plus, « aïe aïe, aïe aïe aïe … » déja une quinzaine, je lui ai donné à la naissance des fesses, sur les cuisses, j'enchaîne les quinze suivantes sur le côté des cuisses, un à gauche, un à droite, j’alterne les dix coups, il a du mal à rester en place, il se trémousse, plusieurs fois il se remet en position  « aïe aïe, aïe aïe aïe … aïe aïe, aïe aïe aïe … » la strap sera pour la fin de la journée, il doit récupérer un peu, avant de recevoir la fin de sa punition. Je le fais mettre au piquet, mais avant, il va vers Jonathan, il se mets à genoux devant lui, le regarde en baissant la tête « Jonathan, Je t’ai fais du mal par le passé, tu m’as bien puni, je t’en remercie, tu as été gentil pour la fessée, tu aurais pu me taper bien plus, tu es un brave mec, je t’aimes bien, je te défendrai si tu en as besoin. Tu pourra toujours compter sur moi. » puis il me regarde « maître, je vous remercie aussi, je vais tout faire pour mériter votre confiance » puis il s’installe au coin.

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