J’amène Jérémy chez ses parents. Ils sont surpris de trouver leur fils avec un inconnu, surpris de sa tenue, et inquiets. En général, il les cherche soit pour de l’argent, soit pour leur taper dessus ou leur gueuler après. Surpris qu’il leur parle gentiment, aussi, mais je l’ai bien préparé, il sait qu’à la moindre incartade, il va déguster plus que prévu !
« Papa, Maman, je viens pour vous parler, n’ayez pas peur, Monsieur, m’a demandé de venir vous voir, et j’ai accepté. Venez au salon. - tu vas bien, mon chou ? - t’es pas souffrant ? - non, maman, non papa, venez. Asseyez vous. » Ils se mettent sur une chaise, l’un à côté de l’autre. Jérémy se met entre les deux, assez loin quand même, je lui donne une petite tape sur la tête « avance toi » il se rapproche d’eux « Papa, Maman, voilà, je n’ai pas été très gentil avec vous ces derniers mois, je vous ai fait beaucoup de mal, vous qui avez tout fait pour moi ! J’espère que vous me pardonnerez, j’ai besoin de votre pardon. Monsieur, m’a attrapé en train de voler dan les magasins, et m’a proposé de me corriger au lieu de me dénoncer. Il m’a fait rendre tout ce que j’ai volé, j’ai été humilié, je lui en ai voulu, j’avais mon orgueil, puis il m’a, … heu, puni, … sévèrement, ça m’a fait réfléchir, j’ai reçu le fouet pour mes conneries, à chaque coups, j’ai réfléchi, et je trouve que j’ai de la chance, il aurait pu être beaucoup plus sévère, il a raison, je m’en veux maintenant, je veux devenir meilleur, je vais rester avec lui pour qu’il me redonne la bonne éducation que vous m’aviez donnée, et je vous remercie. Vous voyez, j’ai reçu 25 coups comme punition, j’ai pleuré, j’ai supplié, j’ai sangloté, mais je suis surtout furieux contre moi, contre le mal que je vous ai fait. J’ai demandé une punition, … devant vous, le plus humiliant possible, une fessée, non, ne dites rien, laissez faire, c’est très important pour moi, je vous demande, Après une première punition, il a réfléchi et m’a demandé une faveur, de le fesser devant vous. Je vais donc procéder, ne vous inquiétez pas, c’est surtout son orgueil qui va avoir très mal. »
Je m’assois, lui fais signe d’enlever le T-shirt et le bermuda, et de venir. Il est en slip, je le fais placer sur mes genoux, et commence la fessée. Au début, je les claques tombent sur toute la fesse, en bas, en haut, au milieu, les deux fesses prennent et à chaque coup, il dit « pardon, pardon » une vingtaine de claques, puis je fais glisser le slip à ses genoux, et commence la vraie fessée. Je voie sa mère avoir mal pour lui, le père regarde en coin. Je vais le faire pleurer rapidement et continuer un peu. Il commence à gigoter un peu, j'arrête, le replace correctement, et commence une série de claques assez fortes sur la fesse droite, « Aïie, pardon … Aaaïe, pardon, … Ouaille, pardon, … Ouuulala, pardon, … pardon, … AAAAH, pardon, …, » une autre série sur la même fesse, en haut à la naissance des reins, et là, il se met à pleurer en silence « snif, pa… ardon, snif … sniff sniff, pa…a …rdon, snif… par…don, sniouuh, pa…r…don, - tu es dispensé de parlé, jérémy, - Wouaaah, … bouhh, aïiiie, aaaaaïe, bouuuh, je,aaïle, pro, aaaïiie met, de ouuuille, plus, aaaaïe, vous faire, noooon, wouaaah, du mal, pardon encore » et les claques alternent avec les pleurs. J’arrête, le fais remettre à genoux, en pleurs, surtout la honte de la fessée devant ses parents, et la, son père se lève, le tire par l’oreille « pour te pardonner, puisque la fessée as l’air de te faire de l’effet, je vais te donner celle que j’aurais du te donner depuis longtemps » et de flanquer son fils sur ses genoux, de lui donner des grandes claques très fort, sur tout ce qu’il peut, les fesses, mais aussi les cuisses, les reins, le côté. Jérémy essaye de gigoter, mais son père le tiens d’une main ferme et frappe, clap, clap; clap, clap, de grandes claques. Il se défoule sur les fesses de son fils, fa femme est en pleurs, Jérémy sanglotte « bouuuh, oouuuuh, ouhhhh p’paaaah, nooon, ouuuh, bouuuh, sniiiif, ouuuh, nooon, s’t’plais, ouuuh ‘rête, » et clap, clap,clap, xlap. Au bout d’un quart d’heure, fatigué, mais heureux, et soulagé, il arrête, et le fait basculer dans ses bras, essuie ses larmes avec ses pouces et le serre, heureux de retrouver un fils qu’il ne connaissait plus, il le couvre de bisous, et pleure. Jérémy se blottit contre lui en marmonnant encore des excuses, il lui met le doigt devant la bouche, je t’ai pardonné, fils, sois courageux, réapprends à être bon et honnête, tu as un bon maître, je lui fais confiance. Puis c’est sa mère qui calmée, le tire des bras de son père, lui colle une paire de gifles et le serre dans ses bras.
« Bien, nous allons vous laisser, je vous tiendrai au courant des progrès de votre fils, ne vous inquiétez pas. - Merci à vous pour tout. »
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